En quelle année êtes-vous rentré dans la ZM-FN ?

Moi aussi j'ai passé le tests de la centrifugeuse a Geruzet
Reginald

Puisque je devais faire mon service militaire, excusez les gars je n'étais pas volontaire, j'avais un boulot, donc puisqu'il le fallait autant porter un uniforme qui plaisait aux filles et j'ai donc fait ce qui me semblait le mieux pour y arriver. J"y suis arrivé et c'est comme ça que j'ai débarqué un matin à la gare d'Ostende.
La caserne Mahieu m'a paru sinistre et encore je n'avais pas vu St Croix.
C'était le 1er décembre 1951 par contre j'aimais l'extinction des feux en fantaisie et ça résonnait formidablement dans la cour, un moment d'extase et tout le monde applaudissait et en réclamait. Nous étions entré pour faire 24 mois mais en cours de route et à cause des révoltes dans certaines casernes les autorités supérieures ont décidés de diminuer la sanction.
Un peu d'histoire, ce que beaucoup de plus jeunes ne savent pas ou l'on oublié c'est que nous, les belges, quand nous rentrions de notre service, le travail pour lequel nous avions été formé, n'était plus disponible parce que, un étranger qui lui ne devait pas faire de service militaire était là pour occuper le poste que nous avions espéré. Moralité: L'absent à toujours tort!

Mon dada c'est l'injustice, je grimpe au mat.
Jacques (le vieux)

Merci Jacques pour tes récits.

Tu es entré en 1951, ce n'est pas longtemps après la guerre. Est-ce qu'il y avait encore les stygmates visibles de la guerre tels les bombardements sur Ostende par exemple ? Est-ce qu'il y avait encore des tickets de rationnement ??

En 1951 la vie en Balgique était revenue normale, à Ostende il ny avait presque plus de maisons à reconstruire. Le rationnement, donc les fameux timbres avaient été supprimés en 1947. La circulation automobile augmentait car la Belgique était riche et était le seul pays du monde sorti en positif du lend lesae américai (loi prêt et bail)grâce à l'uranium du Congo et les opérations du port d'Anvers, un des rares grands ports d'Europe à rester intact après la guerre. Un paquet de vingt cigarettes "Amiral", imitation luxembourgeise de cigarettes américaines coûtait 9 francs. Un paquet de 25 cigarettes Belga ou Bastos légères coutait 6 francs . Il y avait déjà p

En 1951 la vie en Balgique était revenue normale, à Ostende il ny avait presque plus de maisons à reconstruire. Le rationnement, donc les fameux timbres avaient été supprimés en 1947. La circulation automobile augmentait car la Belgique était riche et était le seul pays du monde sorti en positif du lend lesae américai (loi prêt et bail)grâce à l'uranium du Congo et les opérations du port d'Anvers, un des rares grands ports d'Europe à rester intact après la guerre. Un paquet de vingt cigarettes "Amiral", imitation luxembourgeise de cigarettes américaines coûtait 9 francs. Un paquet de 25 cigarettes Belga ou Bastos légères coutait 6 francs . Il y avait déjà parfois délà des files de voitures à partir de Asse pour rentrer à Bruxelles certains beaux dimanches d'été, il n'y avait bien entendu pas encore d'autoroute en Belgique. J'ai faitun rappel (quartier maître COR DEMS à Ste Coix en automne.

Merci Robert

Hello,

je suis rentré à St-Kruis comme milicien CSOR en 1990.
j'ai renoncé à mon statut CSOR pour pourvoir devenir naviguant.
j'ai donc fait ma formation de radariste avant d'embarquer sur le M920 Iris.

De la ,petite tracasserie administrative, je suis passé dans le cadre engagé volontaire, mais me suis retrouvé chez les kakis dans les transmissions au bataillon du Génie stationné à Westhoven (Allemagne).

Après 6 mois bonne nouvelle, un courrier me demandant de me présenter à St-Kruis pour intégrer l'ECSO comme CSOC.

Petit soucis de santé, et formation interrompue.
Retour à St Kruis après ma convalescence ou en attendant le début de la session suivante, je me suis retrouvé à aider les instructeurs pour la gestion des miliciens. (Notre amis Xavier1969 présent sur ce forum doit encore s'en souvenir).

1993 Mutation à bord du F913 Westhinder comme radariste pour un remplacement lors de la mission Mayex93.
A bord, coïncidence, de nombreux miliciens qui venaient de finir leur instruction à St-Kruis.

Après coup, retour à l'ECSO pour reprendre ma formation de radariste, tout se passait bien jusqu'au moment ou, à un mois de mes 4 ans de services, l'administration et les TMAP ne viennent mettre un terme définitif à ma carrière

Bonjour à tous,

Comme l'a si bien expliqué Robert que je remercie au passage, je n'ai rien vu en ruine à Ostende mais il n'en était pas de même partout en Belgique, je faisais beaucoup de vélo et notre destination était surtout les Ardennes et dans ces endroits bien des petits village portaient encore des stigmates de la guerre, sans doutes parce que moins fortunés ces villages ne pouvaient pas reconstruire.
À cette époque nous pouvions acheter pratiquement tous mais ma plus grande surprise fût que nous n'avions que de la margarine à la FN, j'ignore si les Officiers avaient du beurre mais la troupe n'en recevait pas!!!

Salut à Cok Jacques. Bien dit cher ami, je n'avais pas évoqué les Ardennes, tu as raison, étant Vervietois d'origine, j'ai visité été en fin 45 à StVith avec des amis qui rachetaient äux Domaines des lots d'épaves de Kübel ou Schwim wagen pour les cannibaliser et en refaire quelques presque neuves et les revendre à bon prix (Une de celle-ci devenue pièce de collection ,existe encore et a d'ailleurs été figurante dans plusieurs films).
Revenons à la FN, je me souviens très bien des déjeuners et soupers à Mahieu, on recevait, préparées à l'avance trois épaisses tranche de pain militaire blanc (Très bon d'ailleurs et bien supérieur à bien des pain industriels d'aujourd'hui. Elles étaient surmontée d'un petit bloc carré de margarine( Environ 5 x 5 x 1 mm.)et de deux morceaux de sucre. S'y ajoutait au hasard des jours un peu de fromage, ou de confiture ou pâté ou coned beef pour les garnir. Ces rations n'étaient pas limitées, et les gros mangeurs pouvaient avoir du pain et de la margarine, en supplément (mais rien pour les garnir)
Il arivait certains soirs qu'un chahut se développaint au réfectoire et alors les bloc de margarine volaint bas ! Happy times, gone with the wind !

Encore moi, je me souviens encore très bien de cette appel dit de fantaisie, quand ses dernières notes s'arrêtaient, les dortoires étaient secoués par une grande ovation générale. Cet air de clairon n'était pas réllement une fantaisie mais bien la sonnerie (toujors entendue aujourd'hui) du très bel appel britannique du "Lst Post" qu'on peu encore entendre à la TV lors de cérémonies ou anniversaires patriotique, par exemple le 11 novembre ou lors des appels aux morts à la Porte de Menin à Ypre.

Salut Robert,
Je suis désolé de te contredire mais il y avait, tout les soirs le clairon sonnant l'extinction des feux mais certains autres soirs et nous ne savions jamais quand, un spécialiste, je dirais même un virtuose du clairon, nous le jouait en fantaisie, il y avait des modulations qui ne devaient pas être facile à produire.
De toute beauté.

Jacques

bonsoir a tous
je suis renté a st croix en février 64 j'ai connu le mt ledain et le 1er maitre nizet comme instructeurs a la dip
apres ce fut l'ecole nautique a lombatzei et ensuite muté sur le f904 debrouwer et ensuite mutation asser folclorique sur le bastogne en sautant de l'ecluse de zeebruges ensuite remutation a cedra parceque le bastogne allait a gibraltar mais moi j'étais demob
je le regrette maintenant
amitié maurice

Je suis rentré a St Kruis le 1 avril 1986 comme milicien, je devais être MP et je ne sais pourquoi je me suis retrouvé dans le bataillon des fusiliers marins.
Je suis resté 2 mois en instruction avant de rejoindre Zeebruges pour y acomplir le reste de mon service militaire.
J'ai été démob le 31/01/87.

Bonsoir à tous,

Je suis rentré à Sainte-Croix le 1er octobre 1956, comme V.C. pour 3 ans, âgé de 16 ans et 3 mois, après le C.I. et cours machines, mutation sur l'Euréka (Eupen) pour le reste de mon contrat.

René

bonjour moi je suis rentre a st croix le 1 octobre 1961 pour trois mois et ensuite pour le reste de mon service a bord du m 929 heist