Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

olivier a écrit:

Et pendant ce temps là...

https://twitter.com/infobae/status/1037688366139994112

traduction google de l'article :

Incident à 40 kilomètres des Malouines: un navire argentin s'est approché des îles et un navire anglais est sorti pour l'intercepter (6.09.2018)

A quand la seconde guerre des Falkland/Malouines/Malvinas?.

Pauvre Argentine.


https://youtu.be/adUPdnzCAk8

Salut  

On fait beaucoup de tam-tam médiatique autour de la recherche du soum
et beaucoup de gens , notamment , les familles pensent que l'on pourra
déterminer les causes du naufrage si on le retrouve.
Le Seabed pourrait même remonter des pièces du soum mais il ne faut pas
se faire d'illusions , déterminer les causes du naufrage cela restera dans le
domaine des hypothèses . il faut se rendre compte de ce qui s'et passé ailleurs
et pour d'autres tragédies
Comme les naufrages de l'USS Tresher et de l'USS Scorpion. Avec les énormes
moyens et le fric qu'elle a l'US Navy est parvenue à découvrir les épaves et
à remonter des morceaux mais n'a pas pu à déterminer les causes et est restée
au stade des hypothèses et des probalités
De même pour le KOURSK. On a renfloué toute l'épave , on dit d'une torpille
qui serait tombée sur le quai et qui aurait quand même été embarquée et qui
aurait explosé des jours plus tard (?) ca sent l'à -peu-près...
Il en sera de même pour le SAN JUAN.
Ce que peut retrouvé le Seabed ce sera des morceaux déchiquetés par l'implosion
broyés par la pressions des abysses, éparpillés sur une grande surface , pour le Scorpion
il y avait des distances de 2000 m entre eux
Mais comme pour ces trois soums , il y aura toutes sortes d'histoires stupides et
saugrenues de torpillage , de sabotage , de suicide quand c'est pas les E.T s qui
sont passés par-là
Dont cry Argentina, tout ce qu'il reste à faire, c'est de respecter ce qui sera découvert
comme un lieu de sépulture

https://twitter.com/infobae/status/1037771569660088320

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: la Préfecture Navale a informé que le sous-marin n'était pas dans la zone que la juge a ordonné de ratisser (6.09.2018)

Aujourd'hui, le navire Ocean Infinity est arrivé en Argentine pour rechercher le navire de guerre disparu.

"Pas de nouvelles". C'est l'une des déclarations concluantes reçues par la juge fédérale de Caleta Olivia, Marta Yáñez de la part de la Préfecture Naval Argentina. Le message, bref, ne contient aucune clé secrète. Il informe simplement la juge d'instruction qui enquête sur la disparition de l'ARA San Juan et son équipage que le sous-marin n'a pas coulé dans l'une des zones ordonnées à ratisser.

Le navire de sauvetage modernisé PNA SB 15 « Tango » a été chargé de cette mission délicate, qui a duré deux semaines après que l'une des plaintes dans l'affaire, celle dirigée par les avocats Fernando Burlando et Valeria Carreras, l'ai demandé à la Juge

La demande, « a été fait dans l'ignorance de la cause et du langue navale, » selon l'avocat et père d'un membre de l'équipage naufragé, Luis Tagliapietra, était basée sur des informations qui avaient été incorporée au dossier il y a près de cinq mois, qu'a publié de manière exclusive Infobae en son temps, mais que la marine et le ministère de la Défense argentin, ainsi que la juge Yanez, avaient déjà écarté.

La raison de cette position assurait que "les sons métalliques similaires à des coups contre une coque compatible avec celle d’un sous-marin", qui avaient été enregistrés par un sonariste - qui a déclaré dans l’affaire entre le 20 et le 21 novembre 2017 -, c'est-à-dire six jours après la disparition d'ARA San Juan, "avait déjà fait l'objet d'une recherche donnant des résultats négatifs".

De plus, la zone "avait déjà été ratissée par des navires de la marine nationale et ceux des flottes étrangères qui ont collaboré à l'opération de recherche et de sauvetage", comme le Yantar appartenant à la marine russe.

Peut-être parce que la demande de Burlando est venue des médias, ou par crainte que cette plainte la récuse dans le dossier, comme une fois l'a suggéré son partenaire Carreras, Yanez a accepté d'effectuer la recherche près de 20 jours avant l'arrivée à Comodoro Rivadavia de l'imposant Seabed Constructor, de la société américaine Ocean Infinity, pour effectuer une fois pour toutes la recherche du sous-marin avec la technologie moderne AUV qui venait très en retard suite à l'échec du premier contrat, par une attaque qui avait été déposée par la même plainte de Burlando-Carreras.

La juge Yáñez l'a d'abord reçu de manière téléphonique il y a 48 heures, et ensuite a été écrite par la Préfecture, la notification que l'ARA San Juan n'était pas dans la zone de recherche marquée, comme elle avait été confiée.

Le PNA SB 15 "Tango" a également réalisé une cartographie soignée du fond océanique qui servira sûrement à la mission que, dans les prochains jours, entreprendra l'entreprise Ocean Infinity. Le navire embarquera quatre parents qui agiront en tant qu'observateurs. Parmi eux Tagliapietra, le tête visible d'une des trois plaintes qu'a la cause.

Le quatuor a déjà passé des examens médicaux et physiques rigoureux et dans les prochaines heures, ils embarqueront pour l'une des missions les plus émouvantes de leur vie: trouver le sous-marin ARA San Juan et, pourquoi pas, une trace de leurs proches.

Source : infobae.com

Les observateurs (les 4 parents) ont embarqué sur le Seabed Constructor :

https://twitter.com/claudiodela17PJ/status/1037784050038202368

Salut Titian,

Faut pas m’en vouloir, mais je ne suis pas tout à fait d’accord avec toi.

Il est parfaitement possible que l’examen de l’épave du San Juan puisse déterminer s’il y a eu implosion ou explosion (interne ou externe) ou encore, rien de tout cela. Raison suffisante pour qu’il y ait recherche. Et apparemment, je ne suis pas le seul à penser cela, non ?

Si, par chance, cet examen permet de conclure dans un sens ou dans l’autre, certaines hypothèses – et il y en a ! - pourront probablement être envisagées ou rejetées : pour tous mais pour les familles surtout, ça a de l’importance.

Et si la plus faible possibilité existe d’établir les responsabilités éventuelles, la recherche est parfaitement justifiée : ça aussi c’est important pour les familles : on ne donne pas quitus comme ça, par-dessus la jambe, à des gens qui pourraient avoir envoyé au tombeau 44 personnes par bêtise, suffisance et incompétence.

Par ailleurs, il y a peu de raisons pour que les restes du San Juan soient éparpillés sur le fond, il faudrait pour cela que l’événement ait été d’une puissance extraordinaire (densité de l’eau, résistance proportionnelle au carré de la vitesse etc. !).

Dans le cas du Scorpion, les éléments retrouvés à grande distance ont été déviés par leur « portance » en chutant dans l’eau sur plus de 3 km si je me souviens bien alors qu'ici, les fonds sont considérablement moindres.

Bonsoir les amis,

Essayons d'abord de le trouver, c'est ça le plus important pour le moment  

Et pour ça, comme nous sommes des anciens de la fn, nous avons de la chance, parce que nous allons avoir droit (quasi en direct) à une recherche sous-marine de grande importance avec des drones sous-marins autonomes, similaires à ceux qui équiperont nos futurs navires MCM

Et pour ce qui est de savoir ce qui s'est passé ? Ou dans quel état est-il ? On aura tout le temps d'en parler entre nous sur le forum quand on l'aura retrouvé

Salut Paul,
Comment t'en vouloir ?? A chacun son opinion ...

Suis pas d'accord avec tes explications .
Ce n'est pas le soum , ce qu'il en reste , qui donnera des preuves de responsabilités
Cà , çà doit être investiguer sur ce qui s'est passé avant le naufrage. Y avait-il
quelqu'un à l'Etat-major qui savait dans quel état était le soum ? L' a -t-on obligé à
rester en mer ? Un tribunal , même en Argentine , ne peut  pas condamner sur des
hypothèses , des probabilités ou des présomptions. Il faut des preuves ou des témoins
dignes de foi ou des documents. OR , la juge fédérale n'a rien de tout çà. Elle a des
témoins qui restent dans l'anonymat , des sources d'informations anonymes -celles de
l'avocat Burlando et tout le bordel laché par les médias.
Ce procès ne servira qu'à une chose. Comme soupape de surpression pour les familles.
Et çà va se terminer en eau de boudin.
Tout au plus, pourra-t-on reprocher à la marine d' utiliser des navires vétustes
Et encore , la marine fait avec ce qu'elle a. Manque de budget
Adresser vos reproches aux politiciens , c'est eux qui gère le fric national...

titian a écrit:

...
Suis pas d'accord avec tes explications .
Ce n'est pas le soum , ce qu'il en reste , qui donnera des preuves de responsabilités
...

Salut titian,

Rien ne dit que l'épave du sous-marin ne soit pas restée entière

Quand bien même l'épave serait entière.
Il y a pas les moyens de la renflouer , t'imagine ce que çà coûterait ?
le ROV du Seabed peut ramener des petits morceaux mais pas éventrer le soum
pour aller chercher où ? Dans le poste central ? Le livre de bord ? Ils auraient eu
le temps d'y noter ce qui s'est passé. Faut pas rêver ...

Mais je ne parle pas de renflouement, tout ce qui m'intéresse pour l'instant c'est de le retrouver, et peu importe son état.
Maintenant, c'est tout à fait possible qu'on ne sache jamais ce qui c'est passé, mais au moins on saura où il est

Ce qui m'intrigue c'est le comportement des Britanniques.
Ils gardent leur distance de cette affaire. Il y a des accords avec l'Argentine
dont tu as parlé plus haut mais autrement c'est no comment.
Et l'éventuel rapprochement avec les USA, çà doit les faire grincer des dents
Une autre intrigue , c'est le Seabed. Navire américain, équipage américain ,
pavillon norvégien. Et qu'on ne me dise pas que c'est parce que pavillon de complaisance
moins coûteux
cà lui permet de se mêler d'affaires où la marine américaine serait mal venue et mal vue.
AU service de la Scie-Aye-Hé ??

https://twitter.com/clarincom/status/1037851981065289728

traduction google de l'article :

Citation :

Comodoro Rivadavia : "Nous allons avec la meilleure technologie au monde pour trouver ARA San Juan et comprendre ce qui s'est passé" (6.09.2018)

Avant d'entamer une nouvelle recherche, dialogue avec les quatre parents des sous-mariniers disparus qui s'ajouteront à la mission.

A Comodoro Rivadavia, le vent est si fort qu'il semble parfois impossible de rester ferme. Il souffle tellement - et même plus dans le port - que les vagues explosent contre le quai et éclaboussent quiconque passe. C'est la nature dans son état le plus pur. Quatre parents de membres d’équipage du sous-marin ARA San Juan vont y faire face, participant à une nouvelle mission qui tentera de retrouver le navire: « Nous allons avec la meilleure technologie du monde, avec l'espoir de les trouver et pouvoir comprendre ce qu'il est passé ».

Contrairement à l’année dernière, lorsque les marins américains et russes ont partagé le port de cette ville pétrolière, avec leurs équipements, leurs navires et leurs grues, il y a maintenant du silence. Le navire "Seabed Constructor" (pavillon norvégien) est le seul qui y soit amarré et attend que ce vendredi, avant le coucher du soleil, il puisse commencer son voyage historique.

Avec beaucoup d'anxiété, ceux qui attendent ce moment sont les quatre parents des sous-mariniers qui participeront à la mission. Ils le feront sous la forme d’observateurs et de témoins, c’est-à-dire qu’ils seront les yeux du reste des familles qui resteront à terre en attendant les nouvelles. Ils sont Luis Tagliapietra (le père d'Alejandro), José Luis Castillo (le frère de Enrique Castillo), Fernando Arjona (le frère d'Alberto Arjona) et Silvina Krawczyk (la sœur Eliana Krawczyk, la seule femme de l'équipage du sous-marin).

Après avoir monté leurs sacs à dos dans les cabines du navire où ils vont vivre un temps indéterminé, les quatre ont bavardé avec Clarin et donné leurs sentiments. Tout en reconnaissant qu'il est presque impossible de les trouver en vie, ils ne l'écartent pas : « Nous ne savons pas comment ils sont, où ils sont et ce qui leur est arrivé. Au cours de ce voyage, nous avons l’espoir de connaître toute la vérité », ont-ils affirmé.

Les quatre ont été choisis démocratiquement par le reste des familles: "Nous avons créé un groupe WhatsApp et nous avons postulé à 17 personnes environ. En fin de compte, il y a eu un vote et nous avons été choisis. C'est une responsabilité car il nous appartient de remplir tout ce qui a été promis pour la mission. "

Ils n'auront aucune activité à l'intérieur du navire, au-delà de certaines tâches qui sont demandées de manière temporaire. Mais ils seront attentifs à trois points. La première est que le minimum de 60 jours de fonctionnement est bien respecté, ce qui signifie que si un jour une tempête empêche l'utilisation normale de la technologie, ce jour-là ne comptera pas. Même chose quand le navire devra retourner au port pour ajouter des provisions.

L'autre question est qu'il n'y aura pas de secteurs de travail exclusifs : « Le navire peut explorer la zone qu'il souhaite », expliquent les argentins. Et finalement l'entreprise Ocean Infinity, en charge de la recherche, sera facturée seulement si elle trouve le sous-marin : « La devise est "no cure no pay" qui signifie, si le navire n'est pas trouvé, il n'y a pas du paiement ».

Depuis que le "Seabed Constructor" s'est amarré jeudi dans le port de Comodoro Rivadavia vers 13h30, les proches des sous-mariniers ont pris connaissance des installations du navire. Pendant des heures, ils ont parcouru l'intérieur du navire et regardé où se trouve chaque lieu. Pour y entrer, ils devaient non seulement être choisis par les autres familles, mais ils devaient également surmonter une formation que l'entreprise leur demandait.

Ils ont effectué des tests sanguins, urinaires, électrocardiographiques, visuels et auditifs. Ils ont également passé des tests psychologiques et ont dû apprendre les concepts de base de la navigation. En outre, ils devaient avoir une connaissance de l'anglais, car c'est la seule langue parlée à bord du navire. En fait, à l'intérieur, il y a des gens de dix nationalités, comme des Américains, des Norvégiens, des Français, des Anglais et des Roumains, entre autres.

"Nous sommes convaincus qu'avec le sérieux et la logistique de cette société, nous pouvons les trouver", déclare Castillo. Tandis que Tagliapietra espère que l’ARA San Juan est toujours entier : "Si il s'était cassé, nous aurions trouvé des débris flottants et des taches de carburant", ajoute-t-il.

Sur la possibilité de les retrouver en vie, ils disent que seul Dieu sait où ils se trouvent maintenant: «Il y a des familles qui espèrent les trouver vivants. Nous n'excluons rien car nous ne savons pas ", poursuit Arjona, quelque peu contrarié par le frein à la recherche:" Je n'aurais jamais dû m'arrêter. Le gouvernement savait en décembre que cette technologie était nécessaire pour la recherche. En janvier, il y avait six budgets et ils n'ont rien fait. En février, le président a promis de le faire. La route était très longue et on ne comprend pas pourquoi nous avons cessé de chercher et pourquoi aucune autre mesure n’a été prise ou pourquoi aucune aide supplémentaire n’a été demandée. Il y a beaucoup de questions. "

Source : clarin.com

Comme prévu, la presse est montée à bord du Seabed Constructor et a reçu d'Ocean Infinity les infos sur le matos et l'opération

https://twitter.com/lanacionmas/status/1037936778093580289

traduction google de l'article :

Citation :

Pas à pas : voici comment va se dérouler la nouvelle expédition qui cherchera l'ARA San Juan dès aujourd'hui (7.09.2018)


1 - Comment est composée l'expédition ?

Le navire norvégien "Seabed Constructor" est équipé de cinq véhicules de surface sans pilote USV. Et chacun de ces USV sert de guide à un véhicule sous-marin autonome AUV qui effectue dans les profondeurs un balayage latéral du fond marin à l'aide de sonars et de divers capteurs.

clic pour agrandir



2 - Quelle technologie utilisent-ils ?

Tant les USV que les AUV ont une autonomie de 45 à 60 heures. Le AUV peu descendre jusqu'à 6 000 mètres de profondeur et a une vitesse de fonctionnement comprise entre 5,5 et 9 km/h.

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vue externe >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> vue interne


3 - Où la recherche sera-t-elle effectuée ?

Le lieu de ratissage se compose de trois zones situées à 430 kilomètres de Comodoro Rivadavia, où la trace de l'ARA San Juan a été perdue.

clic pour agrandir



Le navire norvégien Seabed Constructor a achevé aujourd'hui 7 000 kilomètres de navigation depuis le Cap et il est arrivé cet après-midi dans le port de Comodoro Rivadavia. Là, la nouvelle opération de recherche du sous-marin ARA San Juan, qui a coulé il y a dix mois, à environ 430 km du golfe de San Jorge, avec 44 membres d'équipages à bord, sera lancée. Quatre membres des familles embarqueront en tant qu’observateurs dans l’expédition qui sera menée par Ocean Infinity, qui assumera le risque de la recherche.

Source : lanacion.com.ar

Récapitulatif de la situation

- le "Seabed Constructor", qui s'est réapprovisionné et a embarqué le reste du personnel, attend la marée haute pour quitter le port de Comodoro, ce sera donc tard ce soir ou tôt demain matin ?
- ensuite il naviguera durant 24h (ou plus) pour rejoindre la zone de recherche,
- et dimanche soir ou lundi matin, l'opération de recherche débutera réellement avec la mise à l'eau des 5 drones sous-marin et des 5 drones de surface dans le secteur 1 de la zone de recherche (si la météo le permet évidemment !?),
- ensuite les drones sous-marins (guidés par les drones de surface) vont ratisser avec leurs sonars et leurs différents capteurs le fond marin du secteur 1 durant environ 48h, puis ils seront ré-embarqués sur le Seabed Constructor où on changera leurs batteries et où on récupérera les images sonar (en haute définition) qu'ils ont enregistré sur leur disque dur, cette opération de remise à niveau des drones prend +/- 12h,
- une fois l'opération de remise à niveau terminée, les 5 drones sous-marins et les 5 drones de surface sont remis à l'eau pour reprendre l'opération là où ils l'avaient arrêté, et ils ratisseront de nouveau le fond durant 48h, et ainsi de suite jusqu'à ce que le secteur 1 soit entièrement ratissé, et si il n'est pas là alors on passe au ratissage du secteur 2, et puis au 3 (d'après le PDG de Ocean Infinity cela demandera 10 jours de ratissage avec les drones pour ratisser entièrement les 3 secteurs),
- alors entre-temps à bord du Seabed Constructor, dès que les images sonar (en haute définition) des drones ont été récupérées, elles sont visionnées et analysées sur des grands écrans par une équipe de spécialistes, et cette opération d'analyse très pointue demande au minimum 48h puisqu'il y a 48h d'images enregistrées !

Citation :

Remarque : on en a déjà parlé sur le forum, à la différence d'un sonar remorqué qui lui est relié au navire par un câble, un drone sous-marin autonome n'est relié à rien du tout et donc il ne sait pas transmettre ses images sonar (en HD et en continu) en temps réel au navire, ces données sont beaucoup trop lourdes pour pouvoir être transférée dans l'eau !

Et voici la carte de la zone de recherche avec dedans les 3 secteurs à ratisser, dans le secteur 1 le point A représente la position du dernier contact avec le sous-marin. Dans le haut des secteurs 1 et 2, on aperçoit bien le fameux canyon (une grosse faille sur le fond profonde de 2 à 300 mètres et longue de plusieurs kilomètres) :

Mise à jour de l'heure du départ du Seabed Constructor :

Suivant les dernières infos, le "Seabed Constructor" devrait quitter le port de Comodoro cet après-midi durant la deuxième marée haute. Alors, j'ai vérifié sur le web et à Comodoro la deux marée haute aura lieu à 15h23 (20h23 en Belgique) donc le "Seabed Constructor" devrait appareiller vers 20h30 (heure belge)  

Source : tablademareas.com/ar/chubut/comodoro-rivadavia