Les Sperbrecher allemands

Les mines avaient fait leurs preuves lors du conflit russo-japonais et les amirautés des grands pays maritimes avaint bien compris le ganger quelles représentaient. elles étaient bien larme du auvre comme l'avait prévu l'amiral Sint Vincent  cent ans plus tôt.
        Les amiraux allemands ne faisaint pas exception et ds 1903, le Sous Secrétaire d'Etat à la Marine, alors l'amiral von Tirpitz, décida la création d'une commissions d'études d'action et de défense pour un conflit futur. Le premer projet essayé fut un dispositif fixé à la proue de l'aviso SMS Rhein pour écarter les mines du navire mais les résultats de fuent pas excellents, néanmoins  l'appaeil fut amélioré pour les écarter plus nettement et même cisailler les orins pour permettre à des tireurs situés des deux bords pour les faire sauter. C'est ainsi que neuf vapeurs anciens furent désignés pour les en équiper en cas de conflit ce qui arriva. Le 10 août 1914 deux furent équipés les SS Bolivia et Westphalia furent équipés et baptisés Sperrbrecher pour former le I Sperrbrechergruppe basé sur l'Elbe pour la défense d'Héligoland. Ces navires etaient lesté d'une forte couche de sable et leurs cales remplies de barrils ou de tonneaux pour tenter de les mainenir à flot en cas le malfonctionnement du système, Ce qui arriva par la suite à certains Sperrbrechher au cours de leurs opérations.
         L'écarteur du SP 2 "Therapia" sur lequel on monte une amélioration du dispositif
       Au total trente bâtiments furent ensuite mis en service sans grosses pertes. Il faut noter que les Sperrbrecher ne pouvaient pas déminer une zone balisable d'une certaine largeur, mais seulement créer un petit couloir que leur convoi devaient suivre avec beaucoup d'exactitude, mais ceci était peu important car il était suffisant pour assurer le traffic le long de leurs côtes.
      Il y peu à dire sur leur utilisation au cours de la première guerre. Nous verrons que les conditions de la seconde leur apportera un rôle bien plus important quand ils seront joints à des dragueurs de mines classiques à dragues divergentes.

Voici le SP 2 Francken remorqué vers un port apès l'explosion d'une mine, il n'a en effet pas coulé
Sanut à tous. Robert

Trente Sperrbrecher furent équipés et mis en service pendant le conflit,trois furent coulés, deux mis hors service, trois réparés et un remis à son armateur. Parmi ceux qui avaient survécus et remis à leurs armateurs, deux grecs et un panaméen furent torpillés par des sous marins allemand pendant la guerre suivante.
       A leur mices en actionils durent opérer en paires pour assurer une plus grande sécurités à leurs équipage en cas de malfonctionnement.
        En juin 1917 quelques uns embarquèrent un hydravion pour l'observation et le repérage des mines, le premier fut attribué au Sp 9 "Lothar qui survécu pour être remis à ses armateurs pour mourir et mourir le 6 juillet 1943 dans le canal de Mozambique par les soins de l'U 198 du   Kaleu Werner Hartmann un grand spéciliste de l'océan Indien, honoré de la Croix de Chevalier avec feuilles de chêne et plus tard terminer sa catrrière comme capitaine de vaisseau dans la Bundesmarine
         Voici une photo de l'hydravion 1608, un Friedrichhfen FB 34 B, embarqué sur le Sp 9 "Grifhorn" pour opérere dans le golfe de Filande (résultats inconnus). Ironie du sort, le Griphor fut aussi rendu à ses armateurs. Devenu le panaméen, il mourut lui aussi par le U 191 d'un grand as, le CV Wol Wolfgang Lüth qui vait ajouté les Diamants à ses Feuilles  de Chêne et être accidentellement pas une sentinelle le 14 mai 1945, une semaine après la capitulation du Reich

Lire " Gifhorn"
et
"...devenu le panaméen "SS Plaudit" devant Port Elisabeth"
" U 191" mais bien " U 181". J'ai peut-être bu un whisky de trop ?"   Salut.

Bonjour et merci, Robert.
Amitiés.

Xavier

Je n'ai pas beaucoup à dire sur cette période, et pour cause, la marine allemande d'après guerre a subit les interdictions et les difficultés du Traité de Versailles, pour ne redevnire une véritable marine de guerre avec l'accession de Hitler.
       Rappellons brièvement les conditions imposées à la République de Weimarqui avait succédé à l'Empire par ce fameux traité :

Bonjour et merci Robert

Nous attendons la suite, avec impatience.
Mais prends ton temps, quand même.
Amitiés.

Xavier

L'adoption de la mine magnétique créa bien des problèmes aux flottes entrée dans le conflit de la seconde guerre. Créée par les Anglais en 1918, c'était d'abord une mine à orin classique mais à allumage magnétique. Elle aurait donc put -être draguée par des dragueurs classiques mais à coque en bois, comme une très grande partie des chaluliers du temps.
      Dans une étude d'un officier français en 1924 elle avait été jugée indragable si elle était mouillé en minde de fond. Ce ne put pas le cas mais la solution de son dragage caussa bien des projets et des essais. Ce fut la RN qui trouva la solution de base en 1940 par le "degaussing" et surtout la création de la drague double L et des MMS.
      La KM avait aussi ses dragues à électrodes remorquées mais les nécessités de ses déminages étaient autres que celles des Anglais. Bloquée en Mer du Nord par les Anglais, elle n'avait pas comme eux le besoins de convois oéaniques; qui groupaient de nombreux navires dans le trafic de ses estuaires et ses bases. Sa navigation côtière par caboteurs le long de leur côte est était aussi très inportantes, ils devaient donc déminer des zones entires assez larges. Le traffic allemeand était pour sa plus grande par le long des côtes européennes du Danemark   frontière espagnole et ses convois comportaient généralement peu de navires. 
        Le système fut donc recommencé, adapté et pas moins de 204 Sperrbrecher mis en service pendant tout le conflit.

Bonjour Robert.

Nous sommes comblés ; merci.
Ceci dit ; il avait la vie dure, ce navire...
Amitiés.

Xavier