Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

Un communiqué des parents des membres de l'équipage du ARA San Jan :

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1010267001472913409

traduction google du communiqué :

Citation :

21 juin 2018.

Nous, les parents de l'ARA San Juan nous veulons informer notre insatisfaction
en l'absence de législateurs aux sessions de la Commission Bicamérale,
construite pour l'enquête de ladite cause. Nous avons remarqué que dans les
derniers mois, plusieurs des membres de la Bicamérale non seulement ne
participent pas aux sessions, mais aussi le manque de recherche et le manque
de participation à cet égard. En même temps, la Bicamérale se conformait à
nous, les proches, afin de contribuer à la clarification des allées et venues
de nos proches à bord. Compte tenu de cela, nous considérons que la
Bicamerale et la plupart de ses membres démontrent qu'ils travaillent avec
sérieux ou engagement. Nous demandons que soit révisé cette situation et
que les mesures nécessaires sont prises pour que ces sessions n'arrivent pas
au point de ne pas se réaliser avec l'absence honteuse des législateurs comme
cela est presque arrivé, avant la déclaration du capitaine Gabriel Eduardo Attis
et le Contre-amiral Marcos Ernesto Henson, mardi dernier.

Merci

Les familles de l'équipage de l'ARA San Juan.

Bonjour Paul.

Merci pour ton petit mot de la fin ; moi aussi, je suis heureux de te retrouver.
Ceci dit, je partage entièrement ton point de vue.
Que dire de plus ; tout a été dit...
Quelle incurie, à tous les niveaux de la hiérarchie.
Quel courage, quand il s'agit d'assumer ses responsabilités directes ou indirectes.
Mais quel panier de crabe, aussi.
Heureusement, il y a la tenacité de madame le juge ; elle n'est pas prête de lâcher la morceau, à moins que...
Bref ; attendons la suite des évènements.
Amitiés.

Xavier

https://twitter.com/Minuto_Fueguino/status/1010844431954661377

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: en raison de plaintes, la recherche du sous-marin pourrait être retardée (24.06.2018)

Bien que la date limite pour les contestations ait expiré, le processus final d'embauche directe pour rechercher le sous-marin ARA San Juan, avec ses 44 membres d'équipage à l'intérieur, est impliqué dans un réseau de controverses, ce qui pourrait retarder le début de l'opération.

La mission a été pré-adjugée au début de ce mois à l'entreprise espagnole Igeotest Geosciences and Explorations SL, mais le Ministère de la Défense n'a pas encore confirmé la présélection. Selon leur environnement, le ministre Oscar Aguad s'est engagé à revoir même le moindre détail de l'offre, qui atteint 3,7 millions de dollars, pour garantir le respect de toutes les exigences requises.

En outre, le vénézuélien Hugo Marino, spécialiste des recherches sous-marines et dont la société SEA n'a pas dépassé la phase de présélection, a offert de témoigner devant la commission bicamérale créée au Congrès pour fournir des preuves et rejeter l'élection de la société espagnole dont Le directeur exécutif est le géologue argentin Marcelo Devincenzi.

Marino a objecté, principalement, que la société espagnole ne peut pas avoir un AUV (véhicule autonome sous-marin) dans l'immédiat, une exigence essentielle fixée par le ministère de la Défense pour accorder la concession de recherche.

"Mon intérêt n'est pas de bloquer le processus d'arbitrage, mais d'alerter les familles des 44 membres d'équipage du risque de ne pas chercher le sous-marin avec un AUV", a expliqué Marino lorsqu'il a justifié sa demande à la Commission bicamérale.

Devincenzi a nié l'impossibilité d'avoir cette technologie et a rejeté les accusations de son concurrent. "Nous avons été présélectionnés pour la" deuxième ligne du processus contractuel ", qui est avec l'AUV. Et il est disponible pour être mobilisé immédiatement en Argentine ", a déclaré le géologue argentin.

Toutefois, dans les documents soumis au ministère de la Défense, la société Igeotest minimise l'importance de l'AUV et est favorable à l'utilisation d'un sonar à ouverture synthétique (SAS). « L'efficacité du service ne passe pas par le véhicule qui est utilisé (bateau ou AUV), mais par l'utilisation de cet équipement  sophistiqué », a expliqué Devincenzi dans une lettre remise le 2 mai dernier au Secrétariat de la planification opérationnelle et du service logistique de la Défense.

Hugo Marino a été le plus médiatique de tous les soumissionnaires pour chercher le ARA San Juan.

Les clauses établies par le ministère de la Défense exigent expressément l'utilisation d '«instruments installés dans un AUV», avec la capacité d'opérer à des profondeurs allant jusqu'à 3000 mètres.

Igeotest soutient, en outre, que le délai pour libérer le secteur de recherche de l'ARA San Juan « est d'environ 110 jours pour le SAS installé sur l'AUV et il est réduit à 55 jours si on utilise le SAS remorqué [dans un bateau] plus puissante ».

"Ce n'est pas que l'autre système soit meilleur. Les deux sont bons, mais ce qui est vraiment important est le sonar à ouverture synthétique ", ont insisté les représentants de la société espagnole à LA NACIÓN.

L'exigence de l'AUV

Plus précisément, la caractéristique essentielle de l'AUV est son caractère autonome en matière de navigation sous-marine. Jusqu'à présent, les navires de la Navy utilisaient le ROV, un véhicule sous-marin télécommandé à distance, qui était fourni par des pays étrangers.

Comme l'a laissé entendre le spécialiste vénézuélien, la location d'un AUV revient à environ 40.000 US$ dollars par jour, le coût de plus de 120 jours de travail fixé par le ministère de la Défense pour la recherche s'élève à 4,8 millions $US. « À cela il faut ajouter le transfert de l'équipement, totalisant 380.000 US$, ce qui équivaut à 10% d'avance que j'ai sollicité dans mon offre », a dit Marino, qui avait promis de trouver le ARA San Juan dans les 100 jours. Cette exigence de l'avance a été une des causes pour lesquelles sa proposition a été écartée.

Le technicien vénézuélien s'est également opposé au délai fixé par le ministère de la Défense pour couvrir la zone de recherche. « Vous pouvez ratisser une superficie de 8600 kilomètres carrés à la vitesse de quatre nœuds, au besoin par les instruments de mesure de signaux dans 120 jours », a assuré Marino, qui insiste pour porter ses mises en garde à la Commission bicamérale.

Source : minutofueguino.com.ar

Aujourd'hui à 9h, la corvette ARA “Espora” a quitté Puerto Belgrano en direction de la zone de recherche du sous-marin Ara "San Juan"

https://twitter.com/Armada_Arg/status/1010882034967941120

quelle zone de recherche????
celle dictée par l'état major.?...où la zone des écoutes des sonnaristes?? et qui n'a jamais fait état de recherchent!!!
salut a tous

https://twitter.com/calabrote_blog/status/1010927884855336960

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: après presque un mois, la marine envoie un navire sur la zone de recherche (24.06.2018)

À la fin du mois de mai, la Défense a pré-adjugéé les travaux de recherche au groupe espagnol Igeotest Geoscience, mais le processus de signature de l'accord a été retardé plus que prévu.

Ce dimanche à 9 heures du matin, la corvette ARA Espora a quitté la base de Puerto Belgrano. Un voyage vers la zone de recherche du sous-marin ARA San Juan. Avec ce départ, la période proche d'un mois où il n'y avait aucun navire de la marine condamné à trouver le sous-marin disparu le 15 novembre est terminée.

La corvette Robinson avait été la dernière à participer à cette tâche, à la fin du mois de mai. A peine atteint le ratissage pendant une semaine, qu'un désagrément dans l'un de ses trois générateurs qui le conduisait était "à la limite" pour naviguer et devait revenir, avant l'heure, le 27 mai à la base navale située en face de Punta Alta , À 30 km de Bahía Blanca.

Un dysfonctionnement technique avait précédemment forcé le destroyer Sarandí, remplacé par la corvette Robinson, dans la zone de recherche mise en place par le Commandement des opérations d'entraînement et d'armement (COAA) de la Marine de Puerto Belgrano plus tôt que prévu.

Tout au long de leurs opérations interrompues, le Robinson et le Sarandí ont accumulé de nouvelles indications possibles sur la présence du sous-marin sur le fond marin. Aucun des contacts n'a pu être vérifié, pour savoir s'il s'agit du San Juan, car la Marine n'a pas le matériel pour ça, depuis le départ, le 2 avril, du navire océanographique Yantar et du mini-rov "Panther Plus", les deux de la marine de la Fédération de Russie.

Des sources officielles disent qu'il y a une douzaine de contacts à vérifier s'ils ont un lien avec le sous-marin. Cette tâche sera transférée à l'entreprise embauchée pour les tâches de recherche. À la fin du mois de mai, le ministère de la Défense a pré-attribué les travaux à la société espagnole Igeotest Geoscience Group, mais le processus de signature de l'accord a été retardé plus que prévu.

Ce dimanche, la Marine s'est contentée de rapporter le départ de la corvette Espora, avec une centaine de membres d'équipages à son bord, sans toutefois préciser la zone assignée par la COAA à ratisser dans les prochains jours.

Source : clarin.com

https://twitter.com/DaniMColu/status/1010930760780574720

traduction google de l'article :

Citation :

Le PDG argentin de l'entreprise interrogé après l'appel d'offres de l'ARA San Juan s'exprime: "Ce sont des erreurs regrettables" (24.06.2018)

Le géologue diplômé de l'UBA a déclaré que les informations publiées "ne représentent pas la réalité".

Après l'enquête que PERFIL a publiée dans son édition d'hier, Marcelo Devincenzi, PDG du groupe Igeotest, a rompu le silence auto-imposé lorsque ce journal a communiqué pour la première fois avec sa signature pour connaître sa version. Le géologue diplômé de l'UBA a déclaré que l'information publiée "ne représente pas la réalité" et il a ratifié qu'il était prêt pour assumer la recherche de l'ARA San Juan.

-Pouvez-vous joindre l'achat ou la lettre d'intention de la compagnie qui prouve que vous avez l'AUV Kongsberg que vous avez offert dans votre proposition ?

-Oui, nous avons une lettre d'intention, mais je ne peux pas vous la présenter tant que l'affaire n'est pas définie. Avec Kongsberg, nous essayions d'acheter l'équipement et nous avons une offre pour l'acquérir, même s'il ne serait pas disponible à temps, ce n'est donc pas celui que nous allons utiliser.

-Kongsberg le contredit ...

-Ils se lancent dans une sujet commercial et confidentiel puisque Hugo Marino (le PDG de SEA Electronics Systems, une autre firme qui a soumissionné) serait très heureux de savoir qui sont mes fournisseurs. La société Igeotest Geociences SL, qui s'appelle en réalité "Contrôle et Prospections SL" est un nom commercial, elle n'existe pas. Cette société est dédiée à la géotechnique terrestre et elle est effectivement en faillite.

- Qui a commis l'erreur supposée pour charger une entreprise insolvable ?

-Je ne sais pas, mais ça nous fait du mal. J'y pense constamment. La Défense a communiqué avec nous pour éclaircir ce problème et il a été résolu. Ce formulaire contient l'erreur dans le nom et le numéro du NIF. Ce sont des erreurs malheureuses.

- Savez-vous qu'il y a une enquête interne sur ce qui s'est passé sur le site Web Compr.ar ?

"Non, mais je vais donner au ministère les informations nécessaires au cas où il y aurait eu un malentendu. Ils nous ont envoyé une lettre pour l'éclaircir et nous l'avons fait. Sinon, ils nous auraient virés en courant Ce serait de la fausseté documentaire, quelque chose de très grave."

-Pourquoi as-tu soumis ta firme au concours ?

-C'était une question stratégique. Nous avons eu à simplement renégocier une dette qui est trop élevée. L'entreprise a une continuité, continue d'agir. Le concours est dans sa phase finale.

-PERFIL a accédé au dernier bilan d'Igeotest Geosciences et Exploraciones, S.L (la société actuellement en cours d'adjudication direct) et on a constaté qu'il n'y avait pas d'activité commerciale durant 2015/2016 et qu'il n'y a pas de personnel salarié enregistré non plus. Est-ce comme ça ?

- Non, le bilan consolidé de l'ensemble du groupe dit que nous avons consolidé 8 millions 166 milles euros d'actifs et de passifs, plus un chiffre d'affaires moyen de sept millions et demi d'euros dans les cinq dernières années. Les comptes qu'ils ont ne sont pas audités et simplement on aura présenté cela parce qu'il fallait présenter un document.

- Pourriez-vous nous envoyer cette documentation ?

- La seule chose que je peux vous envoyer est une feuille de calcul.

- Regrettez-vous d'avoir postulé pour l'offre ?

- Je me sens mal parce que nous n'avons jamais eu ce genre de problèmes. Je comprends que cela a un très fort impact. C'est délicat. Je ne m'attendais pas à ce genre de bruit médiatique. Nous sommes un peu triste, mais nous gardons l'illusion dans le projet.

Source : perfil.com

Ai rien pigé Ingeotest existe, oui ou non ? Et l'gars, il est l'pdg de quoi pour finir ? D'une entreprise fantôme en faillite ? Ai tenté de comprendre en relisant l'article en espinguin, suis resté au même point, c'est à dire nulle part. L'est fortiche quand-même, si ça se trouve il a vendu du vent.
Et puis, v'là l'autre, l'émigré vénézuélien qui rapplique !

Et cette corvette partie en solitaire vers la zone de recherche ? On lui donne combien de jours avant de revenir la queue entre les jambes avec l'un ou l'autre moteur ou générateur en carafe ?

Ah, ces argentins, pour franchir le mur du con, y a pas à dire, z'ont le style.

Et sont endurants avec ça ! : plus de sept mois que ça dure et c'est pas près de s'arrêter.

Salut @PAUL

moi aussi je n'ai pas trop pigé !

En tout cas, voici l'article en question publié par le journal le 23 juin, apparemment l'entreprise n'aurait pas d'AUV et elle serait même en faillite  

https://twitter.com/DaniMColu/status/1010378808262909952

traduction google de l'article :

Citation :

La recherche de l'ARA San Juan serait retardée par plusieurs irrégularités (23.06.2018)

"L'entreprise qui serait embauchée n'a pas l'équipement requis dans les spécifications. En outre, elle serait sous un concours de créanciers.

« Si elle ne répond pas à toutes les conditions techniques et sociétaires que nous demandons, nous l'annulerons. Nous n'allons pas embaucher sans passer par le Bureau anti-corruption et le Bureau du Trésor, » a indiqué à PROFIL le ministre de la Défense, Oscar Aguad sur l'embauche directe de Igeotest géosciences et Explorations, S.L. La société de Marcelo Devincenzi (un argentin de 62 ans) ne dispose pas de l'équipement requis par les documents contractuels qu'a disposé le Gouvernement, entre autres irrégularités qu'a constaté ce journal.

Comme indiqué dans la proposition qu'a envoyé Igeotest à la fin de mai au ministère de la Défense, il est précisé qu'il disposera d'un véhicule sous-marin autonome (AUV) du modèle Kongsberg HUGUIN. Ce journal a contracté l'entreprise norvégienne qui fabrique cette machine et sa réponse a été catégorique: « Kongsberg, n'a jusqu'à ce jour pas émis l'intention d'un contrat ou la location d'un de nos systèmes AUV pour tout projet en Amérique du Sud. »

Dans son plan, Igeotest mentionne un second équipement (SAMS MT-3000 ou SAMS DT-6000), mais avec une mise en garde: « Au moment de rédiger ce document le fabricant (iXBlue) nous offre une disponibilité au moins de 9 mois, ce pourquoi nous devons écarter cet équipement. Là, il offre un troisième équipement, un sonar semblable à celui qui a été déjà utilisé et qui n'a pas fait apparaître de résultats.

« L'efficacité de la recherche ne passe pas par le véhicule, mais par les instruments » soutient la société, contrairement aux règles de l'appel d'offres. Marcelo Covelli, capitaine de l'outre-mer, un spécialiste dans les opérations de recherche et de sauvetage qui a offert son témoignage devant le Commission du Congrès qui enquête sur la disparition du sous-marin ARA San Juan, a déclaré : « Il n'est pas recevable de permettre que les alternatives que présentent les soumissionnaires puissent se convertir en remplacement de ce qui était demandé dans les spécifications au lieu d'une extension ».

Un recrutement suspect

Dans un premier temps sur le site Compr.ar dépendant du Ministère de la Modernisation, a figuré la société Igeotest Géosciences S.L. Cette entreprise - de Devincenzi -, est également en cas d'insolvabilité de faillite volontaire dans le Tribunal de Commerce de Girona (Catalogne, Espagne), comme indiqué dans le Journal officiel espagnol (BOE). Le pli Bases et Conditions Générales dit que l'État argentin ne peut pas engager les faillis, débiteurs et interdits, tant qu'ils ne seront pas réhabilités. Actuellement, cette société n'apparaît plus sur le portail en tant que adjudicataire; du S.L., depuis le 12/06 est Igeotest Geociencias et Explorations, S.L, créé en 2013, dont le nombre CIF - B55178248- il est différent du premier – B17511940-.

L'un des avocats procureur, Valeria Carrera, en plus de contester il y a quelques jours l'avis de la Défense, a pénalement dénoncé au personnel du portefeuille d'Aguad et les membres du Bureau d'Embauches pour « falsification de documents publics, fausse déclaration et violation de fonctions d'un agent public, avec fraude au détriment de l'administration publique ». L'affaire a été portée devant le tribunal de Marcelo Martínez de Giorgi et est menée par le procureur fédéral Federico Delgado, qui a porté plainte.

Réponse

Des Sources de l'entreprise ont ratifié et ont insisté sur le fait qu'ils disposent des machines de Kongsberg et ont qualifié comme une « erreur involontaire corrigible », qui est venu à l'entreprise insolvable. « Il n'y a eu aucun changement dans le nom de la société une fois fermé l'appel d'offres », ajoutent-ils. Aguad, pour sa part, a clarifié qu'il a demandé des explications au ministère de la Modernisation sur la raison du changement sur le portail Compr.ar.

Bilan dans la vue

Selon le dernier bilan présenté par Igeotest en 2016, auquel PERFIL a eu accès, l'entreprise ne dispose pas d'un tel patrimoine qui lui permet de poursuivre une opération comme la recherche de l'ARA San Juan.
Pendant 2015 l'entreprise a eu un patrimoine net total de 467.77 euros et en 2016 de 1.117, 35 euros. Il stipule également que "la Société n'avait pas de personnel salarié durant l'année en cours, ni au cours de l'année précédente ».

Enfin, il a dit qu'une autre société sœur appelée "Pro Prospecciones Igeotest, S.L." UTE (Union Transitoire d'Entreprises), basée à Saragosse, est également en faillite volontaire.

Si l'adjudication est accordée, elle devrait commencer à fonctionner dans les 30 jours, selon les estimations du gouvernement, mais des irrégularités dans le processus d'attribution pourraient retarder la recherche du sous-marin.

Source : perfil.com

La corvette Ara Espora a quitté Puerto Belgrano, après deux tentatives de surmonter les essais machines et le Girocompas. La destination finale est la zone assignée "papa-3" dans la zone de recherche du ARA San Juan mais auparavant, il passera sur ce qui est peut-être la coque du BP Rigel détecté par le BIP Angelescu.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1010939242309091330

Le SB-15 Tango de la Préfecture Navale s'est ancré dans la baie de Bahía Cracker en attente de meilleures conditions météorologiques pour aller sur la zone de recherche du BP Rigel à 110 milles nautiques de la côte.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1010977693465239552

@PAUL - @Xavier MONEL - @SCHOETERS CHRISTIAN

Salut à tous,

Alors pour essayer de résumer la situation de ce que j'en ai compris, l'entreprise espagnole ne disposerait finalement pas d'un drone sous-marin autonome (AUV) bien que son pdg dise le contraire et affirme qu'ils ont une lettre d'intention de Konsberg pour l'achat (ou la location) d'un AUV, le problème c'est que chez Konsberg ils disent qu'ils n'ont rien de prévu concernant un AUV en Amérique du sud !!!

Bref, comme ils n'ont pas ou n'auront pas d'AUV, l'entreprise espagnole préfère semble-t-il travailler avec un sonar (à ouverture synthétique) remarqué par un bateau, problème ils n'ont pas de navire et espère donc pouvoir disposer du navire de recherche argentin ARA Austral qui est toujours en phase de réparation !!!

Autre souci, l'entreprise espagnole n'a pas l'air d'être très clean dans ses comptes et elle se serait mise elle-même en faillite pour éviter la poursuite de ses créanciers !?

Plus le temps passe et plus le gouvernement argentin n'en fini plus de s'enfoncer

https://twitter.com/MiriamCusta/status/1011072726008811521

traduction google de l'article :

Citation :

Recherche du Rigel: vents forts et vagues de 6 mètres empêchent de vérifier le signe trouvé sous la mer (24.06.2018)

Il s'agit d'un contact situé à 90 mètres de profondeur qui pourrait être la coque du navire.

Des vents de 70 kilomètres à l'heure et des vagues allant jusqu'à six mètres de haut rendent difficile la recherche du bateau de pêche Rigel, qui a disparu le 8 juin au sud-est de la ville de Rawson chubutense, a informé dimanche une source de la Prefectura Naval Argentina (PNA).

Le porte-parole de cette force navale a déclaré à l'agence Telam que dans la zone de recherche du navire et de ses huit membres d'équipage manquants, il y avait des vents du secteur sud-ouest de 70 kilomètres par heure et des vagues de six mètres de hauteur ".

Ces conditions empêchent le déploiement des navires affectés à l'opération, qui sont déjà dans l'Atlantique Sud depuis plus de deux semaines.

"Les bateaux ont dû chercher un abri en attendant que les conditions météorologiques défavorables s'améliorent tout au long du week-end", a indiqué la source.

Pendant ce temps, ils attendent que le SB-15 Tango, le bateau avec la plus grande technologie de la PNA, puisse reprendre la vérification, avec un véhicule submersible télécommandé à distance (ROV), d'un indice détecté il y a quelques jours par le navire Víctor Angelescu, de l'Institut National de Recherche et de Développement De la pêche (Inidip)

La contact détecté par le Angelescu coïncide avec la dernière position satellite du Rigel, à environ 200 kilomètres au sud-est de Rawson, et se compose d'un contact de 27 mètres de long par 10 mètres de large qui dépasse de cinq mètres du fond, à environ 90 mètres de profondeur.

La vérification de ce signe avec le ROV permettra d'établir si il s'agit bien de la coque engloutie du Rigel.

Malgré les conditions météorologiques, l'ANP a signalé que la recherche terrestre se poursuit, en se concentrant sur les zones de Chubut, de Playa Delgada, Magagna Beach, Santa Isabel et Punta Delfin.

Source : clarin.com

https://twitter.com/radiomega975/status/1011256894512562177

traduction google de l'article :

Citation :

Le juge de l'ARA San Juan a fait référence au statut de l'enquête (25.06.2018)

La juge fédérale de Caleta Olivia, Marta Yáñez, est responsable de l'enquête sur la disparition de l'ARA San Juan depuis plus de sept mois.

Bien qu'elle a fait peu de déclarations - selon elle, cela empêcherait la cause de s'enliser - ces dernières heures, elle a fait référence à l'état de l'enquête.

Elle a dit qu'il n'était pas encore prouvé que le sous-marin avait implosé et qu'elle cherchait à savoir s'il y avait eu des coups de coque le 22 novembre, une semaine après la dernière communication avec l'équipage.

"Je continue d'enquêter sur les prétendus coups dans la coque qui, pour certains, proviendraient d'un autre objet", a-t-elle dit, ajoutant que cette piste doit être approfondie après que des membres d'une corvette de la Maine eurent détecté des sons en avril dernier. Ils ont considéré que c'étaient des coups similaires à ceux effectués, par le protocole, en cas d'urgence pour un sous-marin sur le fond.

Tant l'anomalie hydroacoustique enregistrée le même jour de la disparition du sous-marin le 15 novembre dernier, que les coups entendus une semaine plus tard, occupent actuellement l'enquête au jour le jour.

Au sujet des coups, ce que la juge essaye de déterminer c'est s'il était bon que depuis Puerto Belgrano ils l'aient rejeté comme lieu de recherche considérant que c'était un son émis par un drone américain ou s'il y a eu un échec d'interprétation et qu'il s'agissait bien de sons émis par l'équipage de l'ARA San Juan.

"L'enquête est très avancée, j'essaie de poursuivre la recherche non seulement pour des raisons humanitaires, mais aussi en tant que devoir de la Nation pour ses fonctionnaires qui ont disparu dans l'exercice de leurs fonctions et leurs familles", a déclaré Yáñez.

Et elle a estimé fondamental la découverte du sous-marin pour pouvoir fermer sa ligne d'enquête. "Sa localisation constitue un test essentiel pour déterminer ou rejeter les hypothèses avec plus de certitude".

La juge suit de près le processus d'appel d'offres pré-attribué à la société espagnole Igeotest Geosciences and Explorations S.L. En outre, elle était favorable à l'accélération des délais et à une recherche en profondeur à court terme.

Le rapport

Le ministre de la Défense, Oscar Aguad, a déjà en son pouvoir les conclusions du rapport du comité d'experts qu'il a formé en décembre avec trois ex-sous-mariniers.

Le document complet, qui sera officiellement livré dans un mois, a 300 pages, 25 annexes avec des informations techniques et ne prendrait pas de statut public à moins que le président, Mauricio Macri, décide de déclassifier l'information.

Source : mega975.com.ar

La Commission Bicamérale du Congrès se réunit aujourd'hui (mardi 26/06) à 11h00 (16h en Belgique). Et vont y témoigner :

à 11h00 : le contre-amiral "Marcos Henson" (commandant de la zone marine australe) et le capitaine de vaisseau "Claudio Villamide" (commandant de la force sous-marine),

à 13h00 : le capitaine de frégate "Hugo Miguel Correa" (chef des opérations et de la guerre acoustique du commandement de la force sous-marine).

https://twitter.com/MiriamCusta/status/1011446409231552515