Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

https://twitter.com/ElmarplatenseOK/status/1009474874216189954

traduction google de l'article :

Citation :

"La reconversion de la Marine commence par la recherche de l'ARA San Juan" (20.06.2018)

Cela a été souligné par les proches des 44 membres d'équipage du sous-marin, qui ont disparu depuis le 15 novembre, après que le ministre de la Défense, Oscar Aguad, ait avancé la mise en œuvre des changements en vigueur dans la Marinr. "Les garçons ne cherchent personne", se plaignaient-ils.

Sept mois se sont écoulés depuis la disparition de l'ARA San Juan et les familles n'ont toujours pas la certitude de ce qui s'est passé avec le navire et ses 44 membres d'équipage. Pour cette raison, ils ont besoin qu'on embauche une entreprise privée pour pouvoir poursuivre la recherche, en assurant qu'il n'y a pas eu d'avance dans la pré-adjudication annoncée il y a un mois par le gouvernement avec la signature de Igeotest Geoscienses.

« C'est une situation très difficile, beaucoup de temps s'est écoulé. Nous n'avons jamais imaginé que cela pourrait être si long sans avoir aucune nouvelle de l'ARA San Juan. Les jours passent et passent aussi les promesses que nous a donné Aguad (ministre de la Défense) le 16 Avril à la Chambre des représentants », a déclaré Claudio Rodriguez, le frère d'un officier du sous-marin, en dialogue avec Radio Mitre Mar del Plata.

En ce qui concerne l'embauche d'une entreprise privée pour effectuer des tâches de recherche du gouvernement « ils ont dit que cela allait être rapide, facile, et, malheureusement, aujourd'hui nous attendons toujours de savoir ce qui sera ». Pendant ce temps, celle Armée « les cherche sans technologie ».

"Il y a quelques jours, il y avait un navire de la marine qui travaillait à 25% et il n'avait rien pour vérifier ce qui est sur la carte. En Décembre nous avons demandé à ce que la Marine cherche avec ce qu'il fallait pour trouver le sous-marin, et ils nous ont dit que c'était avec des véhicules AUV et c'est pourquoi nous avons tant insisté pour l'embauche d'une entreprise qui a ce genre de technologie », a spécifié Rodriguez.

On a parlé d'abord d'une compagnie vénézuélienne qui prétendait trouver le sous-marin en une centaine de jours, mais les autorités ont opté pour une entreprise espagnole. Les parents "ne savent pas" si c'est la bonne compagnie, mais ils veulent qu'un contrat soit conclu "parce que personne ne cherche les enfants".

En ce sens, le frère de l'officier a dit que "nous ne faisons confiance à personne, car à partir du 15 novembre ils ont commencé à nous mentir". « Nous croyons qu'ils ont abandonné les garçons le 14, parce qu'on les a informé d'un début d'incendie et cela est quelque chose de catastrophique, mais la Marine a beaucoup tardé à aller les chercher quand l'intervention aurait dû être immédiate. Aujourd'hui, la marine continue d'agir de la même manière », a-t-il déclaré.

"Le sentiment des parents est qu'ils les ont abandonnés, qu'ils ne veulent pas les chercher. Il y a une chaîne de mensonges que doit démêler la justice et la commission bicamérale. Il y a beaucoup de mensonges comme l'incendie et que le sous-marin allait bien, et le juge arrive à la conclusion qu'il n'était pas en état », a-t-il conclu.

Source : elmarplatense.com

Bonsoir Olivier,

Je viens de visionner à nouveau le passage de Mazzeo devant la Bicamerale.
Ai toujours rien pigé naturellement, mais j’ai observé le personnage avec une attention particulière. Sais pas pourquoi, mais j'aime bien voir certaines personnes se prendre les pieds dans le tapis.
Tout d’abord, il s’est présenté en grand uniforme ! On aurait pu comprendre et admettre une telle attitude hautaine de la part d’hommes aussi différents mais pourtant proches au niveau « mérites » que Bigeard ou De Lattes de Tassigny par exemple.
Mais pour le p'tit Mazzeo mis à pied, handicapé comme il est par son air de sous-chef de service jaloux des prérogatives de son supérieur, ça ne passe pas du tout.
Malgré un self-control évident, il était visible à certains détails, dont des gestes motivés par la nécessité de cacher sa nervosité, qu’il ne faisait pas dans la franchise et la sincérité.
Vivement le second tour !

Rien à voir avec la prestation de Srur qui, lui, était autrement plus digne.

"Avec peu de législateurs présents, la Commission bicamérale de l'ARA San Juan s'est à nouveau réunie"

Un naufrage, 44 victimes, des causes à trouver, des responsabilités à chercher, des familles qui demandent un minimum de compréhension et de justice et la plupart des membres de la Bicamérale qui oublient eux aussi où est leur devoir ?!?

Heureusement, ceux qui étaient présents semblent quand-même avoir quelque peu coincé le Capitaine Attis.
Pas triste non-plus, cet Attis ! Beau bouc, belle moustache, yeux de velours et paupières tombantes, ça oui : mais l’a plus l’air d’un homme des casernes que d’un grand guerrier !
Pas le genre idéal pour séduire la jolie senadora Ordara qui l’a mis sur la sellette. Vive les femmes, avec elles pas de faux-fuyants, droit au but !

Mais tout ça plus le reste, ça ne fait pas vraiment avancer les choses : sais pas où l'on va, mais on y va lentement ... 7 mois déjà !!!
Y a pas à dire, trois pas en avant puis 2 pas en arrière, c'est la procession d'Echternach !

Salut à toi et à tous.

D'après le chef de la Préfecture Navale de Mar del Plata, le navire de recherche VICTOR ANGELESCU aurait trouvé et localisé la coque du bateau de pêche RIGEL (qui avait disparu le 8 juin) à une profondeur de 90 mètres !

https://twitter.com/DaniMColu/status/1009614879018377216

On dirait que le président argentin et probablement sa clique ont d'autres soucis que le sort du San Juan.

Vu ce matin !

C'est à nouveau le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung qui a eu les documents en main. Ceux-ci donnent un aperçu des manœuvres internes du bureau d'avocats controversé, qui a dû fermer ses portes l'an dernier.
Il s'agit de courriels, de copies de documents d'identité, de données d'entreprises et de documents judiciaires. De nouveaux détails seraient donnés sur les constructions offshore entourant des personnalités comme le footballeur Lionel Messi ou le président argentin Mauricio Macri.

(Nouvelles révélations sur le Panama Papers )

Donc, le navire de recherche VICTOR ANGELESCU a détecté un objet sur le fond à 90 mètres de profondeur, et cet objet détecté aurait des dimensions d"environ 30 mètres de long sur 10 de large, ce qui correspond aux dimensions du bateau de pêche RIGEL qui a disparu le 8 juin. Le problème, il fait un temps exécrable sur la zone de recherche, ce qui fait que le "VICTOR ANGELESCU" a dû quitter la zone pour se rapprocher des côtes afin de se mettre à l’abri !

PS: comme les argentins ne disposent plus d'un ROV (depuis le départ des russes) je ne sais pas comment ils vont faire pour aller vérifier visuellement dans le fond si le contact détecté est bien le bateau de pèche ou pas ? 

https://twitter.com/RevistaPuertotw/status/1009738466098401281

https://twitter.com/pescaremdp/status/1009618913607471105

traduction google de l'article :

Citation :

Ils auraient détecté la coque du "Rigel (20.06.2018)

"Le "Víctor Angelescu" a trouvé un objet intéressant, dont la longueur et la largeur coïncident avec les mesures du bateau de pêche disparu. Reste à avoir une confirmation officielle.

La recherche de "Rigel" approche d'un résultat. Le navire de l'Inidep, le "Víctor Angelescu", a détecté mercredi un "contact d'intérêt" avec des caractéristiques similaires à celles du bateau de pêche disparu le 8 juin.

C'est un objet trouvé à 90 mètres de profondeur. Il mesure 27 mètres de long sur 10 mètres de large et dépasse du fond d'environ cinq mètres, selon les détails rapportés par Raúl Rodríguez, le chef de la Préfecture Navale de Mar del Plata.

"La découverte a été faite dans la zone de recherche où la dernière émission satellite a été enregistrée et sera étudiée avec plus d'intensité une fois que les conditions météorologiques se seront améliorées", ont-ils clarifié à travers une déclaration.

La position est située à 44º 06 'et 62 ° 49'. Maintenant, il faut attendre parce que le vent soufflait aujourd'hui à 26 nœuds au sud-ouest, provoquant des vagues de trois mètres, ce qui empêche le navire « TANGO » de la Préfecture Navale de se positionner et de descendre le ROV.

Les images qui capturent l'sans pilote à distance permettent de confirmer la sonde multifaisceaux objet ou non marqué par la « Angelescu » correspond à « Rigel ».

Les images que recueillera le véhicule sous-marin télécommandé (ROV) permettront de confirmer ou non si l'objet détecté par la sonde multi-faisceaux de l'« Angelescu » correspond bien au « Rigel ».

Les prévisions indiquent que les conditions météorologiques s'amélioreront vers vendredi, de sorte que le point vers une confirmation officielle sera prolongé au moins jusqu'au week-end.

Source : pescare.com.ar

PS: ben merde alors, la Préfecture Navale dispose d'un ROV mais pas la Maine

Voici le ROV de la Préfecture Navale, il s'agit d'un petit ROV de fabrication allemande, le Mariscope ROV Comander MK II qui peut descendre jusqu'à 500 mètres :

https://twitter.com/PrefecturaNaval/status/1006847179485581312

Ce que je ne comprend pas, si la Préfecture Navale possède un ROV qui peut descendre (selon les caractéristiques du constructeur) entre 100 et 500 mètres de profondeur, c'est pourquoi la juge Yanez n'a pas encore envoyé un navire de la Préfecture avec le ROV pour vérifier le fameux contact détécté et entendu par les sonaristes de la corvette ???

B'soir Olivier,

Jamais entendu parler de cet engin avant aujourd'hui !

Peut-être idem pour la juge après tout : en Argentine tout est possible.

Mais puisqu'il existait, pourquoi ne pas avoir au moins envisagé de l'utiliser pour lever le doute sur des détection à sa porté lors de la recherche ?

Quant à le faire pour inspecter le contact relevé (on peut rêver), faudra sans-doute attendre les conclusions des "experts" suite à l'audition des 3 sonaristes et à l'analyse de la fameuse clé USB et attendre aussi le témoignage des autres opérateurs (ceux de l'Almirante Brown je suppose ?).

Tout ceci dans l’hypothèse que ce ROV soit en état et opérationnel bien sûr.

Toujours pas de nouvelles des espagnols ?

Salut à tous.

Bonsoir @PAUL

Moi aussi je n'avais jamais entendu parler de ce ROV !!!

Faut dire que la Préfecture Navale n'a pas participé à la recherche du sous-marin, soi-disant parce que le San Juan n'avait pas disparu dans les eaux territoriales argentines !?

Pourtant, le bateau de pèche aussi n'était pas dans les eaux territoriales argentines quand il a disparu

https://twitter.com/sinsacoclaudio/status/1009585908125970434

Et voici la position de l'objet détecté qui semble e^tre le bateau de pèche :

Bonjour.

Alors là ; encore une fois, l'on croit rêver.
Qu'est-ce, encore, que cette histoire de ROV ?
Plus on avance, dans le temps, plus cette malheureuse histoire s'opacifie...
Décidément ; on nous mène en rond, mais dans quel but ?
Cordialement.

Xavier

https://twitter.com/elSnorkelcom/status/1010194979308748800

traduction google de l'article :

Citation :

La réparation de l'ARA Santa Cruz, le jumeau de l'ARA San Juan, n'a plus reçu de fond depuis un an (21.06.2018)

Dans la matinée de ce jeudi, le complexe industriel CINAR, composé de l'atelier naval Tandanor et du chantier naval Almirante Storni, a reçu la visite des législateurs Esteban Bullrich et Nilda Garré.

Ils ont été reçu par le titulaire du complexe industriel, le capitaine Jorge Arosa, avec une partie du directif et du personnelle des relations publiques. Arosa a profité de l'occasion pour leur montrer plusieurs vidéos institutionnelles sur le travail du complexe, qui traite principalement des navires marchands privés nationaux et étrangers, en plus de l'attention à la flotte de la Marine militaire et de la Préfecture Navale de l'Argentine.

Plus tard, ils sont allés sur le chantier naval "Almirante Storni". Ce complexe industriel a été construit dans les années 70, lorsque la Marine a tenté de démarrer la fabrication de sous-marins, pour laquelle elle a acheté en Allemagne non seulement un chantier naval "clé en main" mais aussi le brevet du modèle TR 1700, avec l'idée même de les exporter vers les marines de la région. C'est précisément à ce modèle que correspondent à la fois le San Juan qui a disparu ainsi que, celui actuellement en  réparation, le Santa Cruz.

Le sous-marin Santa Fé, dont la construction a été interrompue en même temps qu'on a abandonné le missile Condor, attend depuis 30 ans sur le même site, sur la base des accords que l'ancien président Carlos Menem a signés avec les États-Unis.

Une fois sur place, les législateurs ont reçu des explications du vice-amiral José Luis Pérez Varela - qui était responsable d'une grande partie de la réparation de l'ARA San Juan - sur les généralités de l'opération d'une unité sous-marine. «L'amiral ne nous a pas encouragés à monter sur le navire car tous les points qui nous intéressaient n'étaient pas désarmés, mais il a répondu à toutes nos questions», a déclaré l'un des conseillers.

Un autre des protagonistes consultés a détaillé à Infobae : "Bien que nous puissions éclaircir quelques doutes, les marins sont très réticents à donner des informations, il est nécessaire de demander et de contre-interroger afin qu'ils apportent des données qui servent à nos fins".

La plupart des interrogations concernaient la «célèbre» valve E19, qui aurait probablement échoué à déterminer l'entrée d'eau de mer dans le secteur des batteries. Selon les explications reçues, les législateurs ont l'impression qu'il n'y a aucun moyen qu'elle puisse s'ouvrir accidentellement en navigation et encore moins en état d'immersion. Pérez Varela a montré aux visiteurs que la valve en question (qui avait été démontée ex profeso) a fait des tests manuels pour démontrer sa résistance à la pression extérieure. Il a également précisé que même s'il y avait eu un échec signalé, à aucun moment le commandant Fernandez n'a demandé une réparation par écrit.

Dans une autre partie de son discours, le vice-amiral Varela lui-même a déclaré que l'ancien chef de la force sous-marine, le capitaine Villamide, a expliqué que la mention d'une défaillance dans cette pièce importante était due à une erreur du commandant du sous-marin, le capitaine de frégate Pedro Fernández, qui avait été clarifiée verbalement avant la levée de l'ancre. Ces données doivent être confirmées par Villamide lui-même lors de sa déclaration au Sénat mardi prochain.

Un autre sujet d'intérêt concerne la formation des déversoirs où l'eau qui pénètre dans le sous-marin depuis l'extérieur et la capacité de drainage (extraction de l'eau entrant dans le sous-marin) s'arrête. Ce qui a le plus dérangé les visiteurs a été la force avec laquelle ont leur a expliqué qu'il est pratiquement impossible que la capacité d'extraction de l'eau soit dépassée, devant une entrée de liquide à travers les tuyaux de ventilation.

Les autorités du chantier naval n'ont pas hésité à dire que pendant plus d'un an, la marine n'a pas financé la poursuite de la réparation du Santa Cruz, qui est pratiquement paralysé. À cet égard, de nombreuses sources indiquent qu'il n'y aurait pas de volonté politique de continuer à réparer un sous-marin dans cette usine industrielle, alors qu'il n'est pas encore clarifié que la tragédie du San Juan n'a rien à voir avec les tâches qui y sont accomplies.

A l'époque où Nilda Garré était ministre de la Défense, l'idée de mettre un terme à la construction du Santa Fé avait été esquissée, risquant même l'hypothèse de le doter d'une propulsion nucléaire, mais le projet n'a jamais prospéré.

L'un des experts navals consultés par Infobae a dit qu'il est difficile de comprendre comment, si tout était en parfait état, personne n'a dans ce chantier la moindre idée de ce qui aurait pu arriver au San Juan et à ses 44 membres d'équipage.

Les législateurs étaient accompagnés des conseillers d'Ojeda et d'Odarda, et certains des spécialistes convoqués ad hoc par la Commission Bicamérale.

Source : infobae.com

Salut Olivier,

Merci pour ces nouvelles nouvelles ! Comme la traduction Google est parfois étrange, j'ai aussi lu l'article originel, je commence à piger l'espagnol !

« la mention d'une défaillance dans cette pièce importante était due à une erreur du commandant du sous-marin, le capitaine de frégate Pedro Fernández, qui avait été clarifiée verbalement avant la levée de l'ancre »

Comment oser dire ça alors que le dernier message (le dernier message connu en tout cas !) du San Juan signalait « entrée d’eau de mer par le système de ventilation vers bloc batteries n°3 a provoqué court-circuit et début d’incendie (…) batteries de proue hors- service, naviguons en immersion.

Mensonge imbécile s'il en est ! La « clarification verbale » n’a jamais existé, sauf, peut-être (au point où point en est !), sous forme de chantage de la part des supérieurs du Cpt Fernandez . On ne lève pas un doute aussi grave uniquement par des paroles ! Dans la marine comme partout ailleurs, les paroles s’envolent, les écrits restent (à moins qu'on les fasse disparaître).

Je me souviens du chef Paspont qui a surgi comme un diable de son antre pour demander une décharge écrite au Commandant Lelarge qui avait décidé de pousser la machine du Stavelot au maximum pour gagner de vitesse la marie-salope et ainsi lui prendre la priorité en rentrant à Zeebrugge ( je ne sais pas maintenant, mais à l’époque il n’y avait pas d’éthylotest à la passerelle - suis-je clair ?);

Mazzeo d’abord, la clique du chantier naval maintenant ! Ils vont donc tous s’y mettre pour se décharger de leur incurie sur le dos d’un absent, même en niant l’évidence ?

L'un des experts navals consultés par Infobae a dit qu'il est difficile de comprendre comment, si tout était en parfait état, personne n'a dans ce chantier la moindre idée de ce qui aurait pu arriver au San Juan et à ses 44 membres d'équipage.

Ben tu m’étonnes !

Les législateurs étaient accompagnés des conseillers d'Ojeda et d'Odarda. Ah, si la jolie conseillère d’Ordara faisait partie de la mission, j’suis content !

J'suis aussi content de retrouver l'ami Xavier.