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Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Lun 4 Fév 2019 - 14:16
Pour le projet de "Belgium Naval & Robotics" (Naval Group) la partie drones (toolbox) sera fournie par ECA :
USV (Unmanned Surface Vehicle - drone de surface)
Le mothership pourra embarquer 2 USV (drones de surface) de type INSPECTOR 120. Les USV sont modulables en plusieurs configurations selon la mission demandée :
USV Module 1 : USV équipé d'un sonar remorqué (en fait il s'agit d'un AUV A18-M qui se transforme en sonar remorqué et devient le T18-M) USV Module 2 : USV transportant des (ROV) robots sous-marins d’identification (SEASCAN) et de destruction de mines (K-STER C). USV Module 3 : USV transportant un AUV de taille moyenne A18-M (utilisé pour amener rapidement un AUV sur la zone d'opération)
Les USV sont mis à l'eau (et récupéré) via une porte de chaque de chaque coté du garage à USV :
AUV ou UUV (Autonomous Underwater Vehicle ou Unmanned Underwater Vehicle - drone sous-marin autonome)
Le mothership pourra en embarquer plusieurs drones sous-marin autonomes (AUV ou UUV) de type "A18-M" (moyen) et "A27-M" (lourd).
Les AUV sont logés dans containers installés sur la plage arrière du mothership. Les AUV sont mis à l'eau et récupéré depuis le container :
UAV (Unmanned Aerial Vehicle - hélidrone)
Sur l'image de présentation, l'hélidrone utilisé semble être un UMS Skeldar V-200 :
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Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Lun 4 Fév 2019 - 15:22
Il reste un 4ème acteur concernant la partie drones du projet proposé par "Imtech Belgium" (associé à Damen) qui utilisera le mothership de Damen et la partie drones (toolbox) sera fournie par l'israélien Elbit via sa filiale belge OIP Sensor Systems :
USV (Unmanned Surface Vehicle - drone de surface)
Le mothership pourra embarquer 2 USV (drones de surface) de type Seagull. Les USV sont modulables en plusieurs configurations selon la mission demandée :
USV Module 1 : USV équipé d'un sonar remorqué à ouverture synthétique KATFISH du canadien "Kraken Robotics" (pour la détection et la classification) USV Module 2 : USV transportant deux AUV "REMUS 600" (utilisé pour amener rapidement les AUV sur la zone d'opération) USV Module 3 : USV transportant un (ROV) robot sous-marin d’identification et des (ROV) de destruction de mines (K-STER C) produit par ECA.
Les USV sont mis à l'eau (et récupéré) via une porte de chaque de chaque coté du garage à USV :
AUV ou UUV (Autonomous Underwater Vehicle ou Unmanned Underwater Vehicle - drone sous-marin autonome)
Elbit, qui ne produit pas d'AUV, s'est associé avec Hydroid (une filiale du norvégien Kongsberg) afin de pouvoir fournir des AUV "REMUS 600" pour les nouveau navires MCM belgo-néerlandais.
Les AUV sont logés dans des containers installés sur la plage arrière du mothership. Les AUV sont mis à l'eau et récupéré depuis le container :
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Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Lun 4 Fév 2019 - 18:32
je me sens comme un homme préhistorique quand je vois ça, moi qui ai commencé ma carrière sur des bacs en bois, où tu montais ta gueule de quart "dans le trou" (machines)...
olivier Admin
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Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Lun 4 Fév 2019 - 19:06
Ah oui, on est tous perdu comme toi, Laurent, devant tant de technologie !
Et d'ailleurs, c'est tout de même surréaliste de voir à quel point notre minuscule et vieillotte marine va rajeunir et grossir d'un seul coup
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Sea Naval Solutions veut construire des nouveaux navires de lutte contre les mines en Belgique et en France (31.01.2018)
L'année dernière, Sea Naval Solutions s'est soudainement présentée comme l'un des participants au programme de remplacement des chasseurs de mines belges et néerlandais. Jeudi dernier, l'équipe franco-belge a donné une conférence de presse et des explications sur son projet. Le plus grand chantier naval en Belgique EDR est au cœur du projet.
Il y a quarante ans, que le savoir-faire pour la construction de navires de guerre belges a disparu. Les navires de la marine qui ont ensuite été ajoutés à la marine belge étaient des navires français et néerlandais. Il est possible que la construction de nouveaux navires revienne en partie en Belgique, grâce à la combinaison proposée par Damen et Imtech, mais également avec celle de Sea Naval Solutions.
Ce dernier est un consortium composé de Thales Belgium, des Chantiers de l'Atlantique et de Socarenam (français tous les deux) et d'e l'anversois Engine Deck Repair (EDR).
Sea Naval Solutions a présenté les plans de son projet à la presse belge et néerlandaise au havenhuis à Anvers, à quelques pas seulement du site EDR. Non seulement les détails de la proposition ont été partagés, mais l’énorme ambition de EDR est également apparue, ils voulant construire les douze navires de lutte contre les mines dans leur région et s’imposer comme un acteur international sur ce type de navire.
Conception française, radar néerlandais, drones suédois
Pour ce faire, EDR a besoin de connaissances venues de l’étranger. Et cela il obtient du constructeur de navires "Chantiers de l'Atlantique" (anciennement STX), principalement connus pour la construction de grands navires de croisière, ainsi que de porte-hélicoptères et de frégates. Cette société est également le principal contractant de Sea Naval Solutions.
Les concepteurs des Chantiers de l'Atlantique ont conçu le navire-mère. Il s’agit d’une conception entièrement nouvelle, qui utilise les connaissances des LHD, des frégates et des navires plus petits. Le navire mesure 91 mètres de long, a un déplacement d’eau d’environ 3 000 tonnes et atteint 16 nœuds avec une propulsion diesel-électrique. À bord, il y a de la place pour 63 personnes, l'armement est constitué d'un canon de 30 mm de FN Herstal.
Il existe une différence frappante avec les premières illustrations du navire-mère, apparues il y a un an dans les médias. Maintenant, le radar fictif a été remplacé par un dôme. Jeudi, il a été confirmé qu'il s'agissait bien du radar NS50 développé à Hengelo (Pays-Bas) qui arrivera sur le navire. Ce radar a été présenté par Thales en octobre. Un autre capteur de Thales est le Mirador, qui est actuellement sur les LCF.
Ce sur quoi Sea Naval Solutions a beaucoup travaillé ces derniers temps se situe à l’arrière, à savoir le système de lancement et de récupération (LARS) des drones (USV et AUV). Le système est actuellement en phase de test, mais selon les fournisseurs, il vaut mieux qu’un avec crochet, car il n’y a pas d’équipage à bord pour cliquer dessus (comme c’est actuellement le cas avec les RHIB).
Avec le LARS, les drones de surface (USV) sont mis à l'eau. Ces USV autonomes de 12 mètres de long proviennent de Thales et peuvent transporter divers drones sous-marins qu'ils laissent glisser dans l’eau dans la zone d'opérations. Il y a deux USV à bord, chacun peu emporter un sonar remorqué à travers une zone de mine. Étant donné que plusieurs sonars sont utilisés simultanément, ils peuvent compiler une image 3D. La détection et la classification des mines sont entièrement automatiques.
Les drones sous-marins autonomes (AUV) proposés par Sea Naval Solutions proviennent de Thales et de Saab. L'hélicoptère sans pilote (UAV) est également de Saab.
Le système de gestion de combat (SGC), qui assure que les personnes du centre de commandement obtiennent une image de l'environnement, peut déployer des armes et des drones, est basé sur le système Tacticos. Ce CMS développé à Hengelo est, selon Thales, le seul package complet sur le marché de la lutte contre les mines.
Construction en France et en Belgique
Où est Socarenam dans cette histoire ? Le constructeur des deux plus récents navires de la marine belge, les patrouilleurs Pollux et Castor. Socarenam a été amené par EDR et les Chantiers de l'Atlantique à ce projet de construction des douze coques. Ils peuvent le faire rapidement et ont l'espace et l'expérience pour le faire. La construction du premier navire doit déjà commencer en 2022.
Ensuite, cela commence à devenir un peu complexe. Parce que les Chantiers de l'Atlantique formeront le personnel d'EDR, celui-ci se rendra ensuite à Socarenam pour superviser la construction des coques. Ensuite, les coques seront expédiées à Anvers, où EDR construira la structure (en partie en acier, en partie en aluminium) et le LARS. Ils installeront ensuite la superstructure, les armes, les capteurs, le LARS et l’électricité à Anvers.
Selon le PDG d'EDR, Stijn van Doninck, EDR en fera progressivement plus par lui-même. "Nous allons passer par une école dès le premier navire, mais nous avons l’intention de voir de moins en moins les Chantiers de l’Atlantique devenir actifs, et c’est en fait partout que les nouvelles technologies doivent être appliquées à un moment donné. Engine Deck Repair, en collaboration avec Thales Belgium, ces deux parties se chargent de récupérer le dossier dans son intégralité. Nous espérons que nous serons spécialisés dans les meilleurs délais, avec un soutien, de manière à pouvoir le faire avec ces parties."
La gestion du projet sera également progressivement prise en charge par EDR. Au vu des ambitions d'EDR, cela est compréhensible. Mais cela signifie que le chantier naval d'Anvers doit faire d'énormes progrès.
EDR
Depuis sa création, il y a une vingtaine d'années, EDR est devenue la plus grande entreprise de réparation de navires en Belgique. Depuis 2014, elle dispose d'une superficie de 37 hectares et dispose notamment de six cales sèches. Auparavant, le site de EDR appartenait à un chantier naval florissant de 9 000 employés. La construction de navires de guerre appartient au passé en Belgique, mais EDR souhaite la rétablir.
Pour ce faire, les démarches nécessaires doivent encore être entreprises lors d’une visite à l’entreprise après la conférence de presse. Le site a été longtemps négligé. Il n'y a pas de routes goudronnées, de nombreux bâtiments sont anciens et, malgré le travail acharné sur les navires intérieurs, l'environnement est en désordre. Mais EDR travaille sur un projet de rénovation majeur qui doit être achevé d’ici 2022. Quatre cales sèches sont en cours de rénovation, les routes sont durcies, la sécurité opérationnelle est améliorée, l'alimentation en électricité est en cours de traitement et de nouveaux bâtiments sont en construction.
Quelques nouveaux bâtiments sont déjà utilisés. "Dans cet atelier de 10 000 mètres carrés, le bâtiment peut être construit et installé plus tard", déclare fièrement Van Doninck. "Les sociétés belges avec lesquelles travaillent les autres consortiums candidats pour la construction des navires de lutte contre les mines sont situées sur un site plus petit que celui-ci."
Selon Van Doninck, le plus important est le début de la construction des navires de lutte contre les mines. En ce qui concerne également la sécurité du site, dit Van Doninck, une sécurité qui, actuellement, n’apparaît pas proche des chantiers navals en France et en Allemagne, par exemple. Mais les premiers pas ont été faits. Van Doninck: "Nous utilisons déjà des laissez-passer pour entrer dans le nouvel atelier, et des caméras y sont suspendues."
2,3 milliards pour la Belgique
Sea Naval Solutions espère ramener l'industrie maritime en Belgique en passant une commande et annonce que 2,3 milliards d'euros seront réinjectés dans l'économie belge dans les vingt prochaines années. Ce montant estimé est en partie basé sur les projets qui suivent la construction des navires de lutte contre les mines. Les concurrents Damen-Imtech et Naval Group-ECA affichent 1,9 milliard d’euros et 2,1 milliards d’euros respectivement.
Février - avril
Selon le plan initial, la Belgique devait annoncer fin décembre 2018 quel consortium pourraient construire les navires. Il y a maintenant un retard, mais la chute du gouvernement belge ne causera pas de problèmes majeurs, de même que les attentes. Le gouvernement actuel peut décider de ce projet jusqu'à la mi-avril au moins.
Il faut maintenant se dépêcher, car le remplacement du BNS Godetia ne peut plus être retardé. Si la Belgique opte pour Sea Naval Solutions, cela commencera immédiatement le lendemain, selon Van Doninck, et en 2022, la construction du premier navire commencera.
Nombre de messages : 2327 Age : 72 Localisation : Rendeux Date d'inscription : 01/01/2011
Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Lun 4 Fév 2019 - 21:55
Il faut vivre avec son temps. C'est vrai. mais moi aussi, j'aimai mieux les MSC en bois qui craquaient de partout par forte mer. Toutefois, ces lignes futuristes et ces technologies modernes "devraient" attirer les jeunes branchés. Je le souhaite pour l'avenir de notre force navale
olivier Admin
Nombre de messages : 46185 Age : 56 Localisation : Quaregnon (Bel) Date d'inscription : 27/06/2007
Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Mar 5 Fév 2019 - 10:32
Dans l'article de marineschepen (au-dessus) on sent bien que les hollandais mettent sur le chantier anversois EDR qui d'après eux n'a "probablement" pas toutes les compétences pour terminer la construction de navires aussi complexes !!! Alors que eux chez Damen, évidemment, ils ont toutes les compétences requises...
J'espère que le choix du vainqueur ne va plus trainer parce qu'aussi non la pression sur le gouvernement va devenir intenable !
Maintenant, il faut bien comprendre que les hollandais font partie à 50% de ce programme à 2,2 milliards d'euro et donc ils auront évidemment leur mot à dire sur le choix final du vainqueur
_________________ olivier
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Guerre des mines belgo-néerlandaise : Sea Naval Solutions dévoile sa proposition (5.02.2019)
Le consortium Sea Naval Solutions, qui regroupe les Chantiers de l’Atlantique, Socarenam, le chantier belge EDR et Thales, a présenté le 31 janvier, à Anvers, son offre pour le renouvellement des moyens de guerre des mines des marines belges et néerlandaises.
Alors que les Pays-Bas sont en charge du programme des quatre frégates qui succèderont aux unités du type M (Karel Doorman) opérées par les deux pays, c’est la Belgique qui est en charge de piloter le remplacement des actuels chasseurs de mines tripartites (CMT). Ce projet porte sur la construction de 12 bateaux-mères (6 par pays) mettant en œuvre une "tool box" composée de système robotisés : drones de surface avec sonar remorqué ou robot télé-opéré, drones sous-marins et drones aériens. Ces moyens doivent entrer en service entre 2023 et 2030, le budget prévu étant de milliards d'euros.
Deux autres compétiteurs sont pour mémoire en lice : le groupe néerlandais Damen avec une tool box fournie par l'allemand Atlas Elektronik et/ou l'israélien Elbit, ainsi que le consortium "Belgium Naval Robotics" emmené par les français Naval Group et ECA.
Sea Naval Solutions propose un bateau-mère basé sur son concept de bâtiment de guerre des mines que nous dévoilions en novembre dernier. Le design a été adapté aux besoin exprimés par la Belgique. Il en résulte un navire de 92 mètres de long pour 16 mètres de large, avec une propulsion diesel-électrique et une vitesse de 15 nœuds. La coque est en acier, matériau plus résistant que le composite des CMT et traitée pour réduire sensiblement les signatures (électromagnétique, électrique et acoustique sous-marine) qui sont selon ses concepteurs d'un niveau comparable à celui d'une frégate.
Pour la tool box, la solution proposée est basée sur les développements conduits par Thales dans la cadre du programme franco-britannique MMCM, en cours et qui porte sur les futurs systèmes de drones de guerre des mines qu'emploieront la Marine nationale et la Royal Navy. Il y a là un drone de surface (USV) de 12 mètres capable de mettre en œuvre un sonar remorqué T-SAM équipé d'une antenne SAMDIS à ouverture synthétique, ou des robots télé-opérés (ROV) MuMNS, spécialement développés par le groupe suédois SAAB pour ce programme et qui présente la particularité de pouvoir neutraliser jusqu'à trois mines au cours d'une même mission...
Dernière édition par olivier le Mar 5 Fév 2019 - 11:41, édité 1 fois
Xavier MONEL Amiral
Nombre de messages : 10987 Age : 81 Localisation : 01480 MESSIMY SUR SAÔNE Date d'inscription : 23/07/2013
Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Mar 5 Fév 2019 - 11:28
Bonjour les amis.
Aujourd'hui, même le magazine "Mer et Marines", se fend d'un article traitant de la question... C'est bien la preuve que ça "chauffe". Amitiés.
Xavier
PS / je reviens sur la Frégate dont le croquis apparaît, ci-avant. Quel "Look" ! Tu vois, Olivier ; je commence à faire ma métamorphose (nous parlions des lignes de nouveaux navires de guerre).
PPS : Merci pour toutes ces explications ; le sujet devient de plis en plus complexe...
Dernière édition par Xavier MONEL le Mar 5 Fév 2019 - 11:40, édité 2 fois
olivier Admin
Nombre de messages : 46185 Age : 56 Localisation : Quaregnon (Bel) Date d'inscription : 27/06/2007
Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Mar 5 Fév 2019 - 11:29
Dernière édition par olivier le Mar 5 Fév 2019 - 14:38, édité 1 fois
VALKIRI Admin
Nombre de messages : 6085 Age : 86 Localisation : OSTENDE Date d'inscription : 27/09/2009
Sujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) Mar 5 Fév 2019 - 14:36
L O Il est bizarre que lors de la construction en BELGIQUEde 8 MSC's et 16 MSI's (période année 50) il n'y a eu aucun "matata" linguistique. Du swahili matata (« problèmes »). Ceux-ci ont étés construit à Ostende (M 930/31/32/33) Temse (M926/27/28/29) et à Kruibeke pour les 16 MSI's . Dont acte
_________________ Dans la vie il y a trois routes L'estime:l'idéal que l'on poursuit La route vraie:la vie réelle de tous les jours La route sur le fond:c'est le destin