Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

https://twitter.com/infobae/status/1022191942749368325

traduction google de l'article :

Citation :

Le Sénat a refusé de promouvoir trois officiers pour leur responsabilité présumée dans la disparition de ARA San Juan (25.07.2018)

Ce sont les contre-amiraux Pedro Eugenio Galardi, Osvaldo Vernazza et Eduardo Malchiodi. Ils avaient été proposés par Macri pour être promu vice-amiraux.

Le Sénat a rejeté la promotion de trois officiers supérieurs de la marine pour leur rôle présumé dans la disparition du sous-marin ARA San Juan le 15 Novembre 2017.

Ce sont les contre-amiraux Pedro Eugenio GALARDI, Osvaldo Vernazza et Eduardo Malchiodi, qui avait été nommé par Mauricio Macri pour monter au rang de vice-amiral. La hiérarchie maximale dans la marine, le rang d'amiral, est réservée au chef de la force.

La mesure pour rejeter les désignations trouve son origine dans une demande qu'un groupe de parents, représenté par Luis Tagliapietra, avocat et père d'un des marins disparus, a fait parvenir au président du Comité des résolutions du Sénat, Rodolfo Urtubey.

Les fondements soulevées par les familles des marins disparus indiquent que les contre-amiraux nommés font partie d'une enquête en cours. Le sénateur Odarda a plaidé en faveur des parents.

« En tenant compte du fait qu'une promotion militaire signifie la reconnaissance et l'évaluation de la performance dans la réalisation de ses fonctions. Nous comprenons qu'il pourrait y avoir des récompensés qui peuvent avoir eu des responsabilités dans cet événement malheureux », ont-ils fait valoir dans une lettre envoyée au Sénat.

Ainsi, le Comité des Accords du Sénat a accepté presque toutes les promotions militaires proposées par le Président, à l'exception de ces trois-là.

Source : infobae.com

Bonsoir Olivier,

Ton post de lundi :

« Les américains étaient bien présent (et en nombre) depuis le début de l'opération de sauvetage/recherche et on peut même dire que ce sont eux qui ont dirigé les recherches durant les 1ers mois de l'opération »

Tu as parfaitement raison, c’est étrange une fois de plus !

« Le sous-marin ne s'est quand même pas volatilisé !? Et même si l'explosion (ou l'implosion) a été ultra-violente, il doit quand même rester quelque chose du sous-marin, des fragments de la coque, une partie du kiosque, l'hélice, le gouvernail,... »

Dans l’eau, suite à une explosion, les débris ne « s’éparpillent » pas comme dans l’air : trop de résistance à l’avancement. Sais pas, mais un certain nombre de débris dispersés sur une zone relativement restreinte, ça aurait plutôt facilité la détection, non ?

Ton post d’aujourd’hui :

« Imaginez un peu, "Ocean Infinity" est finalement embauchée, et le 1er septembre l'entreprise (avec ses drones) commence la recherche (au rythme de 1.000 km² de fond marin scannés par jour) et le 4 septembre 'bingo' l'épave du sous-marin est localisée !!!

Je vous laisse imaginer la suite en pareil cas de figure... »

Et que penses-tu de cet autre cas de figure ?

« Imaginez un peu, "Ocean Infinity" est finalement embauchée, et le 1er septembre l'entreprise (avec ses drones) commence la recherche (au rythme de 1.000 km² de fond marin scannés par jour) et le 4 septembre 'bingo' l'épave du sous-marin n’est pas localisée !!!

Raisonnement par l’absurde une fois de plus ! Mais qui démontrerait alors que la zone de recherche n’est très probablement pas la bonne et, au point où nous en sommes, pourquoi pas oser imaginer que c’est précisément ce que certains ne désirent pas que l’on sache !
En cas de recherche infructueuse, il serait plus facile d’attribuer cet échec à une entreprise sous-équipée qu’à Ocean Infinity.

Bon, je divague un peu mais – au point où nous en sommes encore une fois ! – sait-on jamais ? On verra bien (j'espère !), mais s'ils ne signent pas avec Océan Infinity, ce sera éminemment suspect.

Bonne veille !

Le ministre de la Défense donne quelques précisions...

https://twitter.com/Politica_ln/status/1022316339338207232

traduction google de l'article :

Citation :

La nouvelle compagnie qui cherchera l'Ara San Juan ne percevra que si elle le trouve (25.07.2018)

Le ministre de la Défense, Oscar Aguad, a participé au programme télé "Terapia de Noticias" et il a donné des détails sur la poursuite de la recherche du sous-marin Ara San Juan. Ce lundi on ouvrira les enveloppes qui décideront quelle entreprise continuera le travail, parmi les quatre qui ont répondu pour y aller à leur risque.

"La sélection technique des quatre a été faite et ils ont été sommés de dire combien ils veulent percevoir si ils le trouvent. Un seul ira, mais tous nous ont dit que si ils étaient choisi, ce n'est qu'en août que la recherche commencera", a indiqué le ministre. Et il a détaillé : « Ils pourront chercher aussi longtemps qu'ils le veulent et nous n'allons pas délimiter la zone de recherche ».

Huit mois après la disparition, alors que de nombreuses familles de l'équipage avaient déjà demandé la reconnaissance de la mort, Aguad risquait: "Je suis convaincu qu'ils vont le trouver, car ils risquent de faire quelque chose qui coûte beaucoup d'argent".

Huit mois après la disparition, alors que beaucoup de familles des membres de l'équipage ont déjà demandé la reconnaissance de décès, Aguad a risqué : « Je suis convaincu qu'ils vont le trouver. Parce qu'ils viennent faire quelque chose qui risque de leur coûter beaucoup d'argent ».

Source : infobae.com

@PAUL a écrit:

Et que penses-tu de cet autre cas de figure ?

« Imaginez un peu, "Ocean Infinity" est finalement embauchée, et le 1er septembre l'entreprise (avec ses drones) commence la recherche (au rythme de 1.000 km² de fond marin scannés par jour) et le 4 septembre 'bingo' l'épave du sous-marin n’est pas localisée !!!

Raisonnement par l’absurde une fois de plus ! Mais qui démontrerait alors que la zone de recherche n’est très probablement pas la bonne...

Bonjour PAUL,

C'est une possibilité effectivement, mais bon les dernières précisions (voir l'article du dessus) données hier par le ministre de la Défense "Ils pourront chercher aussi longtemps qu'ils le veulent et il n'y aura pas de délimitation de la zone de recherche" laisse penser que cette fois l'entreprise qui cherchera mènera elle-même la recherche à sa guise !?

Mais la question cruciale reste quand même, quelle entreprise vont-ils choisir ???

On ne sait pas avec certitude quelles sont les quatre entreprises qui sont en course pour remporter l'appel d'offres, mais ça doit ressembler à ceci :

1 - Ocean Infinity
2 - Sistemas Electrónicos Acuáticos associé avec Ocean Floor Geophysics
3 - Williamson & Associates
4 - Falcon High Tech ou Igeotest (2 entreprises espagnoles)


1 - Si c'est "Ocean Infinity" qui est choisie, alors je suis convaincu, moi aussi, qu'ils vont le trouver, parce qu'au rythme de 1.000 km² de fond marin sondé (avec leur flotte de drones) par jour, ils vont pouvoir ratisser une zone immense par rapport à la 'petite' zone de recherche actuelle.

2 - L'entreprise du vénézuélien "Sistemas Electrónicos Acuáticos" (SEA), dont le gouvernement argentin doute de la capacité financière à pouvoir effectuer une telle opération. s'est alliée à la compagnie canadienne "Ocean Floor Geophysics" (OFG), un spécialiste dans la gestion et le maniement des drones sous-marins AUV. Mais est-ce que cette alliance du vénézuélien avec les canadiens sera suffisante pour remporter le contrat ???

3 - Williamson & Associates, qui sont ceux qui ont le plus d'expérience dans la recherche d'épave, sont toujours en course mais (comme on l'a vu dans le 1er appel d'offres) ils ne disposent pas de leur propre navire et ils ne travaillent pas avec des drones sous-marin mais avec un système de sonar remorqué !!!

4 - Par ce qui est des deux firmes espagnoles, elles ne disposent pas de leur propre navire, elles n'ont aucune expérience de la recherche d'épave ni de la manipulation/gestion de drone sous-marin...

Voilà, reste plus qu'à attendre l'ouverture des enveloppe lundi pour y voir un peu plus clair

traduction du tweet d'un internaute très concerné depuis le début de l'affaire :

Citation :

Chaque entreprise a exposé sa technologie et sa méthode de recherche. Certaines avec un plus grand nombre d'instruments, d'autres avec moins. Certaines avec plus de «cœur» et d'autres simplement avec une équation coût/bénéfice. Mais ce que personne n'a dit, c'est où il va chercher. Je doute fortement que ce soit dans la zone saturée (c'est à dire la zone de recherche actuelle).

https://twitter.com/DaniMColu/status/1022169555819474945

traduction du tweet :

Citation :

Si les événements signalés et les données iridium sont correctes. Tout suppose que le ARA San Juan serait à un maximum de 2h15 de la position IR150836 qui est de dire à un maximum de 13,5 milles; mais..... il y a eu neuf navires qui ont cherché là-bas avec des technologies différentes et ils n'ont pas détecté quoi que ce soit.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1022223180285575169

traduction du tweet :

Citation :

La question est la suivante :

l'ARA San Juan se trouve dans cette zone mais ils n'avaient pas la bonne résolution avec leurs sonars multi-faisceaux et à balayage latéral, et donc ils ne l'ont pas détecté ou il n'était pas là où ils ont fouillé. En analysant d'autres variables, le sous-marin n'était pas là où ils ont cherché puisqu'ils ont réussi à détecter un demi baril à 845 mètres de profondeurs !

https://twitter.com/DaniMColu/status/1022226471597891584

https://twitter.com/Politica_ln/status/1022719508727783424

traduction google de l'article :

Citation :

Ils vont ouvrir les enveloppes des offres pour chercher l'ARA San Juan: la compagnie choisie percevra seulement si elle le trouve (26.07.2018)

Après avoir annulé le premier processus pour la recherche du sous-marin ARA San Juan, qui a disparu le 15 novembre de l'année dernière, la Marine et le Ministère de la Défense vont ouvrir les enveloppes des soumissionnaires pour le nouvel appel, qui a eu des modifications par rapport au précédent.

« On ne leur donnera pas un sou à l'avance. Seulement, si ils réussissent. C'est zéro pesos jusqu'à ce qu'ils disent "il est ici" », a déclaré à LA NACIÓN un haut fonctionnaire du gouvernement qui suit de près tout ce qui concerne la recherche du sous-marin qui a disparu avec 44 personnes à bord.

Mais ce n'est pas la seule modification en ce qui concerne le processus qui a pris plus de deux mois de retard et qui est resté inachevé après les objections à l'entreprise espagnole Igeotest. "L'autre modification c'est qu'on ne leur a pas donné une zone de recherche délimitée, c'était une demande des familles, pour leur permettre d'agrandir la zone de recherche actuelle et de chercher ailleurs", ont déclaré les porte-parole.

Jusqu'à présent, il y a eu quatre entreprises qui ont décidé de se présenter en répondant à l'appel d'offres, comme a pu savoir LA NACIÓN. Toutes avaient déjà pris part à l'appel d'offres précédent. En outre, les entreprises ont fait une présentation devant le personnel de la Défense, les parents des membres d'équipage et les législateurs qui composent la Commission bicamérale spéciale d'enquête sur la Disparition, la Recherche et les Opérations de Sauvetage du sous-marin ARA San Juan.

Le jeudi 12 juillet, c'était au tour de l'entreprise "Ocean Infinity" et de l'entreprise "Falcon Hich tech America". Et le, mardi 17, ont fait de même les entreprises "Williamson & Associates" et celle du Vénézuélien Hugo Marino "SEA-Sistemas Electrónicos Acuáticos".

Cependant, la liste peut encore être allongée puisque le processus de «contrat direct par urgence» restera en vigueur jusqu'au matin du lundi 30 juillet. Juste une heure avant midi, on ouvrira les offres et on commencera l'étape suivante qui pourrait prendre jusqu'à dix jours.

"Après l'ouverture des offres, la commission travaillera à tout évaluer, mais comme jusqu'à présent ce sont les mêmes entreprises, l'évaluation technique sera beaucoup plus rapide, le travail se concentrera plus sur les coûts et la disponibilité pour commencer la recherche le plus tôt possible", ont-ils détaillé depuis la Défense.

Une fois les enveloppes ouvertes, le rapport technique doit être fait dans les quatre jours, c'est-à-dire pour le vendredi 3 août au plus tard. Et en cas de manque de documentation, l'entreprise concernée disposera alors de trois jours pour se conformer à cette exigence, puis il y aura un délais de cinq jours pour les évaluations. La durée de recherche minimale est de 60 jours et le maximum est de 4 mois.

Approuvé tout ce processus, le pli portant la signature du titulaire de la Marine, sera transmis au Ministère et au Bureau du Cabinet.

Un mois de camping

Parallèlement à ce processus, un groupe de parents de l'équipage a installé un campement en face de la Casa Rosada, sur la Plaza de Mayo, dans l'attente qu'une entreprise soit désignée pour rechercher le navire.

Dans une interview à "Terapia de Noticias" pour LN +, le ministre de la Défense Oscar Aguad a déclaré: « Je suis convaincu qu'ils le trouveront parce qu'ils viennent avec des risques pour faire quelque chose qui coûte beaucoup d'argent ».

Aguad a également noté que toutes les entreprises ont dit que, en cas d'attribution, elle pourraient seulement commencer à chercher à la fin Août, quand auront passé plus de neuf mois, sans savoir ce qui est arrivé à l'ARA San Juan.

Source : lanacion.com.ar

https://twitter.com/marcelopasetti/status/1023180612310642689

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: Un mois de camping des parents est accompli (27.07.2018)

Les parents des sous-mariniers continuent à camper sur la Plaza de Mayo. "Quand nous verrons que la recherche est organisée, alors nous levrons ce camp", ont-ils dit.

Depuis mois une vingtaine de parents de l'équipage du sous-marin ARA San Juan ont décidé de camper sur la Plaza de Mayo, et ils ont déclaré qu'ils ne bougeront pas jusqu'à ce que soit officialisé l'engagement d'une compagnie pour chercher le navire.

« Si nous partons et laissons tout à moitié fini, il est très possible que tout reste dans le néant. Jusqu'à ce que nous voyons que c'est signé, et que nous voyions l'entreprise qui va organiser la recherche, nous resterons ici », a déclaré Luisa Rodriguez, mère du maître Ricardo Rodriguez.

Stationné en face de la Casa Rosada, le siège du gouvernement, des mères et des épouses, des parents, tantes et sœurs secondent depuis le 27 juin passé de manière désespérée cette demande, à laquelle ils ont choisi de donner de la voix en se soumettant à la « précarité » ce qui signifie vivre dans des tentes de campagne, sous une couverture touchée par la pluie.

En un mois, ils ont rassemblé trois tentes séparées par une carpe, des couvertures, une salle de bain portable, une petite cuisine, des ustensiles de cuisine et même un chauffage improvisé, constitué dans une boite métallique dans lequel ils brûlent du charbon au milieu de l'hiver austral. Rodriguez a admis qu'il "n'a jamais" vécu dans ces conditions mais qu'il préfère le faire - en laissant sa maison dans la province du San Juan, à 1.120 kilomètres de la capitale argentine - avant d'abandonner la recherche de son fils et des 43 autres membres de l'équipage disparus depuis le 15 novembre 2017, qui, selon elle, "sont là en bas". "Disons, parce qu'en réalité nous ne savons pas où ils sont, ce qui s'est passé, nous ne savons rien. Ils sont dans la condition de disparu parce que personne ne nous donne de réponse, personne ne les cherche », a-t-elle insisté.

C'est la raison principale qui pousse ces familles à quitter leurs maisons et leurs proches, l'ignorance de la raison pour laquelle l'ARA San Juan a disparu, et c'est pourquoi elles se sont installées là en attendant que soit choisie une entreprise avec une nouvelle technologie pour le chercher.

Le submersible était en route vers sa base navale de Mar del Plata - à laquelle des membres de la famille se rendent chaque semaine pour prendre soin de leurs enfants ou de leur travail avant de retourner sur la place - lorsque la communication avec lui a été perdue, sans qu'on soit arrivé à confirmer le motif. "Nos parents s'inquiètent beaucoup car il est difficile de vivre ici, c'est très fort, et nous devons essayer de les soutenir et nous devons être fermes pour cela", a déclaré Marcela Moyano, épouse du machiniste Hernán Rodríguez.

Une fois le dialogue terminé, Moyano s'est approchée avec un sac de biscuits et de céréales qu'un citoyen venait d'apporter sur la place, sur les barreaux des grilles de plus en plus de drapeaux bleus et blancs voient le jour, des photographies des disparus et des phrases revendicatives sont concrétisées sur des affiches. "C'est le peuple argentin qui nous contient et nous soutient dans ceci", a-t-elle déclaré.

Le ministère de la Défense s'est chargé de porter en avant le premier appel d'offres pour continuer la recherche du sous-marin dans l'Atlantique, où il n'y a plus de navires pour cette mission, mais après la sélection de la compagnie espagnole "Igeotest" le processus a été contesté et annulé. Maintenant, le ministère a délégué l'embauche à la marine argentine, pour laquelle une nouvelle liste de conditions a déjà été préparée et publiée, elle a été préparée conjointement avec les membres des familles. Ceux-ci ont montré leur approbation avec cette démarche, malgré le fait qu'ils demandent depuis des semaines la signature d'un décret d'urgence qui permettrait d'accélérer l'embauche mais que le gouvernement a décidé de ne pas appliquer. Avec ce décret, "cela aurait pu être résolu avant", a déclaré Moyano.

Source : lacapitalmdp.com

Bonjour Olivier.

Bien sûr, ce que tu dis là, est plein de bon sens.
Mais comme "ils" ne veulent pas que l'on retrouve ce pauvre "soum"...
Amitiés.

Xavier

salut a tous

je suis revenus

"Il est que, du plus profond de leurs appréciations, ils considèrent que "il y a beaucoup de gens qui ne veulent pas connaître la vérité" de ce qui s'est passé avec l'ARA San Juan. Et parmi eux, bien sûr, les hauts fonctionnaires du gouvernement national."

ce qui est mon opinion depuis le début.
ces amiraux et autres licenciés de l'armée
C-Q-F-D ""
plus de paye , dégradés et honneur perdus en deux mots" RUINER" fini de pavoiser.

https://twitter.com/Nexofin/status/1023804138830942208

traduction google de l'article :

Citation :

La recherche de l'ARA San Juan est réactivée (29.07.2018)

Quatre entreprises seront en concurrence pour décrocher un contrat stipulant qu'elles ne seront payées que si elles trouvent le sous-marin perdu

Huit mois après la disparition du sous-marin ARA San Juan, avec 44 personnes à bord, il y a du nouveau depuis le ministère de la Défense.

Dans ce domaine, il a été décidé de reprendre la recherche, mais sous une forme nouvelle: désormais quatre entreprises (une européenne, deux américaines et une qui est un partenariat entre celle du Vénézuélien et une autre d'argentine) vont se concurrencer pour décrocher un contrat qui stipulera qu'ils seront seulement payés si ils trouvent le sous-marin perdu.

Selon le magazine Noticias, le lundi 30 juillet au matin, les «enveloppes seront ouvertes» pour voir quelle est la meilleure offre. Et si il est trouvé, la récompense de l'exécutif sera entre six et sept millions de dollars US$. C'est un pari risqué pour les entreprises: parce que pour chaque jour de navigation en mer, cela leur coûtera environ 40 à 50.000 dollars US$.

Le ministre Oscar Aguad est optimiste avec cette nouvelle modalité: "Je suis sûr que nous allons le trouver, nous espérons avoir des résultats avant la fin de l'année".

La recherche, jusqu'à présent, a coûté à la Défense plus d'un milliard de pesos (= environ 36,5 millions de dollars US$), un chiffre significatif pour un portefeuille auquel a été affecté 116.000 millions de dollars US$ pour l'ensemble de 2018.

Source : nexofin.com

Ça y est, les enveloppes ont été ouvertes !!!

https://twitter.com/infobae/status/1023950888434581506

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: seules deux sociétés ont soumis une offre pour rechercher le sous-marin (30.07.2018)

L'ouverture des enveloppes avec des offres privées a été réalisée.

À 11 h, c'est dans le service de gestion des finances publiques de la Marine qu'a eu lieu l'ouverture des enveloppes avec des offres privées pour répondre à une nouvelle recherche du ARA San Juan.

Enfin, seules deux entreprises se sont présentées pour participer à l'opération visant à retrouver le sous-marin disparu le 15 novembre dernier.

L'une des sociétés est la célèbre "Ocean Infinity" et l'autre est "Sistemas Eelectrónicos Acuáticos" (SEA), du Vénézuélien Hugo Marino.

Maintenant, nous devrons attendre l'analyse technique et administrative que la commission d'évaluation de la Marine doit effectuer. Dans les deux cas, le montant de l'offre ne sera payé que si le résultat de la recherche est positif.

Cet appel à propositions vient après avoir échoué à la fois avec l'offre d'une récompense à tous ceux qui pourraient fournir des données fiables sur l'emplacement du sous-marin, comme avec le 1er appel d'offres international lancé en Avril.

Les délais pour cette nouvelle embauche ont été raccourcis suite au camping qu'un groupe de parents (de l'équipage de l'ARA San Juan) a monté sur la Plaza de Mayo.

S'il n'y a pas de problèmes, dans un délai maximum de 10 jours, la Marine sera en mesure d'attribuer les tâches.

Compte tenu du montant des offres, ce seront le chef de cabinet, Marcos Peña, et le ministre de la Défense, Oscar Aguad, devront signer la résolution respective.

Le gouvernement veut qu'avant des fins du mois d'août on entame effectivement les tâches, qui exigeront au moins 100 jours.

Et, pour éviter les soupçons, il a été convenu que l'entreprise gagnante n'aura pas de zones de recherche délimitées à un certain secteur géographique.

De même, les membres des familles pourront placer des veilleurs à bord du navire qui effectuera la tâche.

Source : infobae.com

Alors, d'après le site officiel comprar.gob.ar voici les deux offres :



Les 2 offres sont quasi similaires !

https://twitter.com/Politica_ln/status/1023987854513299456

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: deux compagnies ont déposé une demande pour chercher le sous-marin et percevoir seulement si elles le trouvent (30.07.2018)

Le deuxième appel d'offres pour la recherche du sous-marin ARA San Juan, qui a disparu le 15 novembre, a pris fin et seules deux compagnies ont soumis leur offre pour effectuer la tâche sans percevoir à moins qu'elles ne trouvent le navire.

À 11 heures, la date limite pour les offres a pris fin et les enveloppes des candidats ont été ouvertes. Ceux qui restent dans la course sont deux firmes d'origine américaine: Ocean Infinity, qui travaillait encore récemment dans le Pacifique à la recherche de l'avion disparu de la Malaysia Airlines; et SEA-Sistemas Electrónicos Acuáticos, dont la référence est le vénézuélien Hugo Marino.

Les deux propositions qui ont été exposées respectivement les 12 et 17 Juillet devant les autorités nationales et les parents des victimes seront désormais évaluées officiellement, techniquement et économiquement pour définir quelle sera l'entreprise retenue.

LES CHANGEMENTS PAR RAPPORT AU PREMIER

« On ne leur livrera pas un sou à l'avance. Seulement, si ils réussissent. Ce sera zéro pesos tant qu'ils ne diront pas « il est ici », a dit la semaine dernière à LA NACIÓN une source élevée du gouvernement qui suit de près tout ce qui est lié à la recherche du sous-marin qui a disparu avec 44 personnes à bord.

Mais ce n'est pas la seule modification en ce qui concerne le processus qui a pris plus de deux mois de retard et qui est resté inachevé après les objections à la société espagnole Igeotest. "L'autre, c'est qu'on ne leur a pas donné de zone de recherche délimitée, c'était une demande de la part des parents, pour leur permettre d'agrandir la zone ou de regarder ailleurs", ont précisé les porte-parole.

"Après l'ouverture des offres, la commission travaillera à tout évaluer. Mais étant les mêmes entreprises que lors du 1er appel, l'évaluation technique sera beaucoup plus rapide, le travail se concentrera plus sur les coûts et la disponibilité pour lancer la recherche dès que possible", ont-ils détaillé depuis Défense.

Le rapport technique doit être dans quatre jours, c'est-à-dire le vendredi 3 août au plus tard. En cas de manque de documentation, l'entreprise dispose de trois jours pour se conformer à cette exigence, puis cinq jours pour les évaluer. La durée de recherche minimale est de 60 jours et le maximum est de 4 mois.

Approuvé tout ce processus, le pli portant la signature du titulaire de la Marine sera transmis au Ministère et au Bureau du Cabinet.

Source : lanacion.com.ar