Qu'elles ont étés vos plus grosses tempêtes !

salut les matafs

j'en ai connu plusieurs dont deux memorables la premiere dans le golfe de gascogne ou on a prit un gite de 43° au giro compas et une casse moteur ou il a fallu aller chercher au pic avant les pieces pour reparer a fond de cale !!avec le chel Leclerc ,Gustin berwette ,monaville ,et moi on a repare en rade devant un port francais je connais assez bien "les bouchains" pour y etre descendu plusieurs fois 'car tout les outils etant demangnetisés on a fini par les attacher avec des bouts de corde pour terminer
l'autre je l'ai vecue avec Jean Michel et cormoran bleu et la 11/12 beauforts et impossibe de rentrer au port alors on a tourner en rond et moi dans la salle des machines ecoutille fermée j'ai aussi tourné en rond mais d'une autre facon !!! le pantalon rentre dans les chausettes je bonnet vissé sur la tete la veste de secours a portée de la main et le bruit des vagues !!! enfin cela etant passé on s'inquieta de l'arrimage des futs sur la plage avant un filin suplementaire y fut ajoutté et le soir "jupiler" fut servis dans ce qui restait des verres pour ma part mon gobelet d'aluminium fit l'affaire. a l'escale de "portsmouth le cuistot nous demanda de ramener des verres et le lendemain sur la table du mess il y avait le choix !!!il me reste deux trophées a savoir deux pintes d'un demi litre on n'etait jamais assez prudent !!! et vous les amis les trophées ne pourrait on en parler ?
Namurois

namurois a écrit:

et vous les amis les trophées ne pourrait on en parler ?

je préfère pas, non...

heureusement, on ne parlait pas encore de sida à l'époque

Ne comptez donc pas sur moi pour vous raconter mon pétage de frein à Lisbonne, avec désinfection par le doc que j'ai été réveiller à 0300, alors que j'étais complètement pété, le "doc" (adjudant à l'époque, full colon maintenant) n'ayant pas apprécié le réveil "secouage de cocotier", m'a désinfecté l'objet du délit avec "dukipik" en me disant "ça t'apprendra à mettre des capotes, connard!"

Outche, que ça fait mal!

J'en ai gardé une belle cicatrice de guerre, que je montre à toute créature qui aime ça, moyennant rendez-vous parce que je suis fort sollicité!

TSHAW !

Laurent

bonjour: mon plus mauvais souvenir de tempête, ce fut en 1964 dans les caraibes,à bord du frubel julia un bananier à vide, nous avons passe dans un cyclone.les toles striees dans la salle des machines volaient de partout.
les cabines des matelots etaient à l'arriere sur un deck surbaisse et etaient toutes noyees.ont a perdu le canot de travail qui etait amarre dans un berceau sur le pont principal. la j'ai vu des vieux marins bien malade.à+ jean

Salut Jean,
Avec le Frubel tu allais certainement en Equateur à Guayaquil et tu dois connaître l'Anita Bar chez Maria!!!!!

en reponse à bosco:le secret de l'anita bar ((une bonne chaude pisse))
mais ont s'amusaient bien quand meme à+ jean

et qui se souvient du "reviens des marins" en 71,72....le mataf ..victor que j'ai eu au bout du fil s'en souvient, ...et il doit en avoir d'autres qui se souviennent de tentures fermées et de la tenancière...à vous"vieux coquins

Pour répondre à Polinar, voici un souvenir qui a été placé par un membre du forum. En 1968 c'était Paulette et Solange qui oeuvraient dans ce temple de la débauche

génial que de souvenirs :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

J'ai été avec le 912 à Guayaquil en 79. C'est vrai que c'était un chouette bar l'Anita Bar, avec son juke-box protégé par des grosses barres de métal, à cause des bagarres.
Alain

le Baron a écrit:

Doggy a écrit:

L'avait raison, Polfliet, d'autant que dès qu'on touchait terre à Helgoland, c'était beuverie générale (que faire d'autre là-bas?!) et tous inop' pour les 2 premiers jours en mer..

crachait pas dessus, pourtant, l'animal!

je confirme

ça faisait tempête à quai!

avant la Force Navale, j'ai connu une belle tempête, j'avais 11 ans et demi, mon paternel avait obtenu (carte de presse..) 2 places pour le voyage inaugural du Jetfoil qui partait de chez nous pour aller jusqu'au centre de London, le pied.
Voyage aller annulé, on annonçait tempête et ils ne voulaient prendre aucun risque avec la presse. On nous a parqués dans des DC-4 (si je me souviens bien) affrètés en cata' par l'armateur, départ d'Oostende. On s'est assis aux seules places en avant des moteurs, ça pète moins, les autres n'ont pas rigolé.
Voyage retour, météo calme qu'ils disaient. On a pris une de ces branlées, génial! En prime, un des turboprops s'est bouché, on a tourné en rond pendant 15 minutes facilement, montant et descendant les vagues, rigolo
par la suite, toujours avec mon pater, aussi une belle branlée avec la malle Oostende vers je ne sais plus où dans le nord de l'Angleterre. Ca sentait le dégueulis partout, certains vomissaient même hors des wc, sympa. J'étais un peu plus âgé, alors j'éclusais à l'aise au bar, pas de concurrence pour les commandes de pintes

je pense que pour tous le golfe de gascogne n'était pas mal

Moi c'était en plein ciel, eh oui, aussi bizarre que ca paraisse, nous avions eu droit à un séjour balnéaire dans un camp de vacance militaire près de la plage de Solenzara en Corse, à la fin de notre annèe ECSO à St Kruis en juin 70.

Vol régulier en C119 Flying Boxcard (les C130 de l'époque) de la force aérienne à la base mixte franco-belge de Solenzara et séjour sous tente militaire sorte de club med militaire



Au vol de retour, il faisait chaud alors ils ont laissé la porte arrière gauche ouverte



Comme j'étais assis le près de la porte, le crew master a donné à mon voisin et moi-même un parachute et une bouée pour traverser la méditerrannée. Je suis à droite près de la porte ouverte.

Le décollage, impressionnant,



Le passage sur le mer, on peut voir que j'étais assis vraiment près de la porte dans le vide



Pour faire cette photo, ils m'ont laissé me mettre debout et faire la photo sans autre protection que le parachute. Mais à 20 ans on a pas peur

Il faut avouer que ces vieux coucous ne volaient pas très haut et il ne faisait heureusement pas froid. Arrivé dans le sud de la France, les turbulences à basse altitude furent très violentes, ils ont quand même fermé la porte, mais pas sans conséquence.

Arrivé au dessus de Bruxelles, grande excitation du crew master et des pilotes qui venaient à tour de rôle dans le cargo et discutaient, mais tellement bruyant que l'on n'entendait rien

Aucune consigne, on tournait en rond, les pilotes secouaient l'avion de temps à autre et nous avons vu le crew master enlever les tissus de protection près de l'aile et il a utilsé une énorme manivelle et avec l'aide d'un pilote dans un premier temps et un de nous ensuite ont commencé à tourner la manivelle pour faire descendre un des 2 trains d'atterrisage manuellement, ca a paru vachement long tellement c'était démultiplié.

Ce fut une sacrée expérience, et là j'en menais qu'en même pas large, une fois déployé on espérait que le train tienne à l'attéro !!

Ils n'ont dit après coup qu'ils avaient eu chaud eux aussi car avec les vents contraires, ils avaient consommé plus de carburant que prévu et qu'il était d'atterrir sams trop attendre.

Pour moi ma plus grosse tempête, au large de Douvre 12h00 à tournée en rond tellement la mer était déchaîne impossible de rentré dans le port , une expérience formidable, pour info c était à bord du Free entreprise " couler depuis"