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Auteur | Message |
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demuylder bob Amiral
Nombre de messages : 3143 Age : 82 Localisation : 5550 Pussemange (Vresse-s-Semois) Date d'inscription : 07/05/2011
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Mer 3 Oct 2012 - 13:32 | |
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| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7681 Age : 69 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Jeu 4 Oct 2012 - 6:32 | |
| Expression qualifiant un espace exigu ou minuscule au XVIème siècle, il y avait une nette distinction entre le mouchoir de poche et le mouchoir de col. Le mouchoir de col était plus grand, pas très éloigné du foulard et se mettait autour du cou. Le mouchoir de poche, dont l'usage est progressivement entré dans les moeurs, était réservé à la haute société. Comme le gant ou l'ombrelle, le bout de tissu faisait partie de la panoplie vestimentaire de rigueur et servait aussi à se moucher. Par contre, ceux qui n'appartenait pas à cette classe noble comme les bourgeois qui lorsque leur nez coulait se servaient de la manche de leur vêtement et les gens du peuple de leurs doigts.Heureusement, ces habitudes ont mis du temps à disparaitre et le mouchoir de poche a connu des formes diverses jusqu'au XIXème siècle où il s'est standardisé. De nos jours, il existe le Kleenex, mouchoirs en cellulose apparus au début du XXème siècle |
| | | le Baron Amiral de division
Nombre de messages : 1583 Age : 59 Localisation : Liège (Bel) Date d'inscription : 17/08/2007
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Jeu 4 Oct 2012 - 8:50 | |
| - SCHOETERS CHRISTIAN a écrit:
- Par contre, ceux qui n'appartenait pas à cette classe noble comme les bourgeois qui lorsque leur nez coulait se servaient de la manche de leur vêtement
raison pour laquelle napoléon (je pense, à vérifier) avait fait coudre des boutons sur les manches de ses soldats, pour éviter qu'ils ne se mouchent dedans. cette coutume est passée dans les moeurs, c'est apparemment la raison pour laquelle on trouve toujours des boutons sur les manches des complets deux ou trois pièces qu'on porte aujourd'hui... |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7681 Age : 69 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Jeu 4 Oct 2012 - 10:51 | |
| Salut mon amis le baron la guerre des boutons est déclarée: réponse qui est vraiment des plus pittoresque: Napoléon Bonaparte a fait mettre des boutons aux poignets des uniformes de ses soldats pour éviter qu'ils s'y mouchent le nez. C'est pourquoi il y a des boutons sur les manches des vestons aujourd'hui. Chers amis, désolons-nous ensemble si vous le voulez bien! Qui est l'hurluberlu qui a eut cette idée? (Pas de mettre des boutons aux manches, mais cette histoire de mouchage, bien sûr). Car bien sûr cette affirmation est fausse. Le fait d'avoir des boutons aux manches a rien à voir avec le fait de se moucher, c'est une question d'évolution dans la mode...Évolution à laquelle notre cher Napoléon a rien à voir! Voici ce qui c'est passé... Si on remonte dans le temps, il y a eut des boutons aux manches sur plusieurs vêtements masculins aux XIIIe et XIVe siècle. Pas parce qu'on s'y mouchait...mais simplement afin de pouvoir avoir une manche bien moulée et ajustée sur l'avant-bras. Pourpoint original de 1360 conservé au Musée historique des tissus de Lyon, voyez à quoi servent ici les boutons... Dans les années 1660, un nouveau vêtement va faire son apparition: l'adjustaucorps. Les soldats du Régiment de Carignan-Salières en seront d'ailleurs vêtus. Ce vêtement avait des manches assez larges pour être repliées au coude. Certains modèles avaient même des petits boutons sur le bras pour retenir le tout. Peu à peu, ce repli va devenir en lui-même une pièce ajoutée et cousue au vêtement: le parement. Gravure des années 1660 d'un grenadier. Voyez le parement replié en haut du coude et boutonné. Ici un modèle étroit. Ensuite toute la transformation va se passer entre le XVIIIe et le XIXe siècle. Progressivement la manche va allonger, s'évaser et le parement s'agrandir. Si bien que rendu dans les années 1720-30 le parement de la manche du justaucorps va être immense, débordant allègrement sur le bras de son porteur et joliment retenu par des boutons. La manche est alors étroite en haut et plus large au poignet. Parement très haut et très large. (AMIGONI, Jacopo, portrait d'un gentilhomme, 1720-1730, collection privée) Puis, dans les années 1740-60, la mode va préférer un parement plus discrêt, mais toujours avec des boutons. La manche reste assez évasée. Un parement qui cesse maintenant avant le coude. (PERRONNEAU, Jean-Baptiste, portrait de Jacques Cazotte, 1760-64, National Gallery of London) Dans les décénnies 1770-80, le parement est rendu tout menu et les manches plus étroites et droites. Les boutons vont bientôt passer d'horizontaux à verticaux... Parement très étroit avec boutons horizontaux. (EARL, Ralph portrait d'Elijah Boardman, 1789, MET New York) Justaucorps qui devient progressivement l'habit...Ici avec boutons verticaux sur un tout petit parement dans les années 1785-90 (collection du V&A : http://collections.vam.ac.uk/item/O127156/coat/) Si bien que rendu en 1800 la manche moule franchement le bras et que pour y passer la main, les boutons doivent ouvrir et fermer une patte d'ouverture sur le poignet! Les boutons horizontaux qui retenaient le parement sont maintenants verticaux et plus seulement décoratifs. Cette mode va se poursuivre jusque dans les années 1840...au point de parfois couvrir le début de la main... Et lorsque les habits vont se mettre à avoir des manches plus larges...les boutons vont y rester! Homme élégant de 1898 de la collection du Musée McCord ( www.musee-mccord.qc.ca ) avec des boutons sur ses poignets! Et encore aujourd'hui la plupart des vestons pour hommes ont des boutons aux poignets. Ils sont soit fonctionnels avec une patte, soit seulement décoratifs. Un vestige des boutons des parements de justaucorps du XVIIIe siècle, puis des manches ajustées du début du XIXe siècle... Veston des années 2000 avec quatre boutons à la manche (http://thesartorialist.blogspot.com/) Et alors, le nez, il servait à quoi déjà dans cette histoire napoléonnienne de boutons? Ah, peut-être il y a t-il eut un mélange avec nez et Ney!!! |
| | | MIKE Amiral
Nombre de messages : 3012 Localisation : bruxelles Date d'inscription : 24/09/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Jeu 4 Oct 2012 - 20:16 | |
| salut quant on a fait des recherches sur le foulard marin dit de nelson,les cols.SEPT plis il en ressortait que c'est la royal navy qui serait a l'origine de boutons effectivement pour empêcher de se moucher dans le film la mer cruelle on voit bien le chef machines qui a ces boutons sur la manche |
| | | thierry0100 Amiral
Nombre de messages : 11015 Age : 55 Localisation : chatelineau Date d'inscription : 26/11/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Lun 8 Oct 2012 - 18:59 | |
| pour faire fructifier l'afflux de touristes venus photographier le navire échoué, l'île du Giglio a instauré une « taxe de débarquement » d'un euro par personne. L'île du Giglio, située en face des récifs où s'est échoué le Costa Concordia en janvier, craignait que la catastrophe fasse fuir les touristes. En réalité, la présence de l'épave semble avoir stimulé l'activité touristique de cette petite île de Toscane, qui tire du tourisme 90% de ses revenus. Chaque jour, sur les ferries venus du continent, des centaines de curieux se pressent sur le pont pour photographier l'immense épave du Concordia - 114.500 tonnes, 290 mètres de long - qui gît sur le flanc. Si les touristes sont nombreux (3000 débarquements par jour en juillet), peu restent sur l'île au-delà d'une journée. «Le Concordia a attiré 30% de visiteurs en plus par rapport à l'année dernière. Mais les gens ne restent pas. Ce sont les bars et les pizzerias qui en profitent. Les touristes sédentaires sont plus rares, à cause de la crise», remarque Fabio Matera, gérant d'un restaurant du port de l'île. Le maire de la commune, Sergio Ortelli, décrit dans La Repubblica «des hordes de curieux venus prendre en photo ce pachyderme couché sur les rochers», mais qui passent ensuite «deux heures sur l'île, mangent un sandwich et repartent en laissant derrière eux un sac d'ordures». Une «taxe de débarquement» Bien décidée à exploiter cet afflux de touristes, la commune a instauré début juillet une «taxe de débarquement» d'un euro par personne. Cette taxe, imposée aux compagnies maritimes Maregiglio et Toremar, est comprise dans le prix du billet d'embarquement sur les ferries reliant le village de Porto Santo Stefano et l'île du Giglio. En sont exemptés les habitants de l'île, les ouvriers qui effectuent les travaux de renflouage du Concordia, les étudiants, la police, les pompiers et les enfants en bas âge. «Au lieu de mettre en place une taxe de séjour, qui risquait de faire chuter le vrai tourisme, nous avons appliqué cette contribution, qui permet de soutenir les efforts de la commune pour rendre la vie sur l'île agréable», explique Sergio Ortelli au quotidien florentin La Nazione . La taxe sert à «améliorer la qualité de l'environnement, entretenir les chemins de randonnée et améliorer l'offre touristique de l'île». En juillet, 80.000 passagers ont débarqué sur place, rapportant donc 80.000 euros aux caisses municipales du Giglio. Selon le site local Giglio News, cette façon de «taxer à la source» les touristes de passage a le vent en poupe auprès des autres «petites îles» italiennes. Une «taxe de débarquement» s'applique ainsi à Ponza et à Capri. D'autres îles, comme Lipari et Lampedusa, envisageraient de l'appliquer. Reste que le tourisme macabre qui s'est développé au Giglio n'est pas du goût des habitants. «Les îliens veulent tourner la page. Lors du naufrage, nous avons ouvert nos maisons à ceux qui en avaient besoin. Mais maintenant, nous avons envie de revivre comme avant... Avec «nos» touristes, ceux qui louent des maisons, qui vont au restaurant, pas avec ceux qui viennent pour prendre des photos, acheter une bière et une tranche de pizza, et repartir aussitôt», relève Don Lorenzo Pasquotti, le curé du Giglio. Selon le projet d'enlèvement lancé en mai, «l'épave devrait s'en aller au printemps 2013», espère Sergio Ortelli. Jusque-là, les curieux continuent à se croiser, appareils photo à la main, au large du Giglio - ainsi que les plongeurs amateurs, malgré l'existence d'un périmètre de sécurité de 200 mètres autour du navire et d'une amende promise de 100 à 6000 euros. thierry |
| | | polinar Amiral
Nombre de messages : 45750 Age : 73 Localisation : Dison / VERVIERS Date d'inscription : 02/11/2009
| | | | Virlée Amiral
Nombre de messages : 2511 Age : 76 Localisation : Ham-sur-heure Date d'inscription : 26/07/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 13:45 | |
| Bonjour à tous, Petite question pour les férus en histoires Belge. Pourquoi y-a-t-il un drapeau belge sur les serpillières?????? |
| | | Vic nous a quitté
Nombre de messages : 1245 Age : 77 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 07/03/2011
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:09 | |
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| | | Virlée Amiral
Nombre de messages : 2511 Age : 76 Localisation : Ham-sur-heure Date d'inscription : 26/07/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:17 | |
| Salut Vic, très foooooooort . c'est plus simple que ça. |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7681 Age : 69 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:35 | |
| je pense tout simplement une manufacture belge qui fabrique ce produit |
| | | Archer Amiral
Nombre de messages : 28942 Age : 75 Localisation : LIEGE Date d'inscription : 09/03/2012
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:40 | |
| Suite à des problèmes survenus pendant la guerre 14-18, les symboles du nord du pays n'étaient plus reconnus comme des symboles nationaux. Des radicaux, pour contrer cette interdiction, achetèrent des torhcons blancs (serpillères) et y bordèrent le drapeau belge pour s'y essuyer les pieds, drapeau de cette patrie qui n'acceptait plus leurs symboles.
_________________ Laurent ---> voir ma présentation Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière. Une vie saine, au grand air et des rêves plein les yeux. |
| | | Virlée Amiral
Nombre de messages : 2511 Age : 76 Localisation : Ham-sur-heure Date d'inscription : 26/07/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:42 | |
| Salut Christian, Pas de manufacture mais ! |
| | | Virlée Amiral
Nombre de messages : 2511 Age : 76 Localisation : Ham-sur-heure Date d'inscription : 26/07/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 14:48 | |
| Salut Archer, plutôt du patriotisme mais ! |
| | | Virlée Amiral
Nombre de messages : 2511 Age : 76 Localisation : Ham-sur-heure Date d'inscription : 26/07/2010
| Sujet: Re: Le saviez-vous ? Sam 13 Oct 2012 - 15:05 | |
| Ne vous languissez plus. Voici la réponse. Dans les années 1930 pour contrer la vente de serpillières étrangère, des fabricants de torchons belges demandent un arrêté de loi, seuls les torchons aux couleurs Belges peuvent être vendus. C'est je crois du protectionnisme et ça marchait à 90% le marché belge était entre leurs mains. Hélas, tout se perd.... |
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| Sujet: Re: Le saviez-vous ? | |
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