le saviez-vous

Le découpage du temps

Anciennement, seule la cloche du monastère rappelait les grands moments. Elle sonnait prime au lever du soleil, tierce au milieu de la matinée, sexte à midi, none au milieu de l'après-midi et vêpres au coucher du soleil (de vesper, le soir en latin). La nuit venue, elle sonnait complies, puis les nocturnes vers minuit, les matines vers quatre heures du matin et les laudes avant l'aurore. C'était là la seule indication dont on disposait.

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bien trouver René :

Au sujet des cloches qui sonnent, ici, chaque matin, à 6h00 elle sonne l'angélus pendant au moins 8 minutes et avec la cloche qui sonne le plus fort. Je ne vous dit pas, lorsque la fenêtre de la chambre est ouverte, réveil en sursaut à tout les coups. Le mécanisme était en panne et cela fait 3 ans que le maire l'a fait réparer avec l'argent des contribuables et ce sont les mêmes contribuables qui doivent subir un réveil plus que brutal. Je maudit ces cloches et le Maire qui, pour la tradition, n'a rien à foutre du sommeil de ses concitoyens.

Salut Roland
Pour les cloches : tu ne crois pas que nous en sommes et des fameuses Cloches
Si elles te fond perdre le sommeil : mets des bouchons. par contre ton réveil matin, sa sonnerie ne te fait pas de mal?????

Ok ; tu est a la retraite , comme nous alors, l'aise sonner les cloches.( un goût champêtre si non la ville et KLAXONSSSSSSSSSSSS)


Amicalement et sans rancunes.

SCHOETERS CHRISTIAN a écrit:

Salut Roland
Pour les cloches : tu ne crois pas que nous en sommes et des fameuses Cloches
Si elles te fond perdre le sommeil : mets des bouchons. par contre ton réveil matin, sa sonnerie ne te fait pas de mal?????

Ok ; tu est a la retraite , comme nous alors, l'aise sonner les cloches.( un goût champêtre si non la ville et KLAXONSSSSSSSSSSSS)


Amicalement et sans rancunes.

Bien entendu Christian, sans rancune et au plaisir de nous revoir pour

On croit souvent que les cinq couleurs des anneaux présents sur le drapeau olympique représentent les cinq continent. Il n'en est rien. Infosports.be vous donne ce mardi quelques explications sur ce drapeau sportif bien connu.



Le drapeau olympique a été créé en 1913 par le baron Pierre de Coubertin. Père des Jeux Olympiques Modernes, Pierre de Coubertin avait besoin d'un symbole d'universalité du sport, et le drapeau olympique en est le plus bel exemple.



Souvent, on associe un continent à chaque couleur des anneaux: le bleu pour l'Europe, le noir pour l'Afrique, le jaune pour l'Asie, le rouge pour l'Amérique et le vert pour l'Océanie. Cependant, le musée olympique (Lausanne, Suisse) indique clairement que les couleurs ne sont pas associée aux continents. Contrairement à ce que l'on pense, ce ne sont en effet pas les couleurs qui désignent les cinq continents de la planète unis par l'esprit olympique mais bien le nombre d'anneaux.



Les couleurs ont en réalité été choisies pour une autre raison. Avec le blanc (couleur de fond) et les cinq couleurs des anneaux (bleu, jaune, noir, vert et rouge), de Coubertin s'assurait en effet que chaque drapeau des nations existant à son époque avait au moins une couleur représentée sur le drapeau olympique.



De Coubertin disait d'ailleurs lui-même: "le drapeau olympique, on le sait, est tout blanc avec, au centre, cinq anneaux enlacés : bleu, jaune, noir, vert, rouge ; l’anneau bleu en haut et à gauche à côté de la hampe. Ainsi dessiné, il est symbolique ; il représente les cinq parties du monde unies par l’Olympisme et ses six couleurs d’autre part reproduisent celles de tous les drapeaux nationaux qui flottent à travers l’univers de nos jours" (Coubertin, Textes choisis, II, p. 470, 1931).



Le drapeau olympique est apparu pour la toute première fois lors des Jeux Olympiques d'Anvers (1920). En effet, après sa présentation officielle en 1914 le drapeau devait servir lors des Jeux Olympiques de Berlin (1916). Mais la Première Guerre mondiale empêcha la tenue de ces Jeux et c'est Anvers qui reçu l'honneur de voir le premier drapeau olympique flotter.

En réponse à René

je n'aurais pas voulu être le moine qui tirait sur la corde pour faire sonner la cloche, car 8 fois par jour ce pauvre homme devait aller faire sa corvée cloche et ce aussi pendant la nuit ! j'espère pour lui qu'il avait sa paillasse à côté de sa corde !!!

Je crois que ces bons moines devaient "monter le quard".
Nous "Marins" (Moines de la mer) on piquaient les heures.

Il y a quant même une question qui me turlupine mais peut être que René à une réponse: celui qui devait faire sonner la cloche toutes les 3 heures pour que les autres puissent savoir l'heure qu'il était, comment savait il l'heure exacte ? peut être que c'était le seul qui cachait une montre en dessous de sa robe de moine !!!!

bonne question
peut être il avait un sablier comme montre placer au dessus de son lit avec un récipiant rempli d'eau , une fois le sablier vide le récipient lache son eau et réveille notre bon moine.

tu gagne un point Christian !

Madame Desmed-Thielemans, Conservateur des Archives à Bruxelles, a recherché l'origine du fonds dénommé " Extraits mortuaires de soldats belges morts aux armées françaises (1789-1817)" et démontré du même coup son intérêt. Ces documents ont été transmis aux Archives Générales du Royaume, le 17 décembre 1897, par les soins du Ministère de l'intérieur dont relevait alors cette institution. Ils venaient de Paris, don du gouvernement de la République Française. L'Archiviste générale honoraire M. Tihon, croit se souvenir que les Français, à la veille de détruire les liasses départementales, ont préféré donner aux anciens départements belges celles qui les concernaient. Les extraits du département de Jemappes sont actuellement aux Archives de l'Etat à Mons (n° 41 à 53). On relève dans les extraits les décès de conscrits originaires des différentes communes du département.
Ces extraits renseignent la date et lieu du décès du soldat, la date et lieu de naissance, le nom des parents, le métier, l'année du tirage, le signalement, le Régiment,les affectations diverses et la cause du décès.
Certains décès n'ont fait l'objet d'aucune transcription dans la commune d'origine du conscrit.

SCHOETERS CHRISTIAN a écrit:

bonne question
peut être il avait un sablier comme montre placer au dessus de son lit avec un récipiant rempli d'eau , une fois le sablier vide le récipient lache son eau et réveille notre bon moine.

M'enfin, pas du tout
Simplement, à un rythme régulier, le moine de quart comptait jusque 10.800 ... (10800"=3h) pour garder le rythme, il se tapait l'arriére de la tête d'où l'apparition d'une tonsure.
Pratique exécutée, jusque l'invention du téléphone avec l'horloge parlante.
.....

salut René
tu n'était pas moine avant de rentrer a l'armée???? (tonsure).
Par contre ,dans ton bureau, on ne savait pas volé l'horloge fixée au mur.

Salut a tous,en lisant touts vos écrits je constate l'exellence de votre culture monastique,quand a moi cette culture se limite a la dégustation d'une bonne Orval,ceci dit je me demande si le sonneur de cloche, de transpirer après ce dur labeur n'en profitait pas pour s'enfiler une bonne choppine au nez et la barbe de ceux qui roupillaient! Ou il y a de la gène il n'y a pas de plaisir et charité bien ordonnée commence par soit meme! A bientôt.