2 nouveaux patrouilleurs pour la marine belge !?

salut Stan et les autres
je ne pense pas que les français travaillent avec les hollandais
même si nous avions eu un contract CMT TRIPARTITES
les hollandais: AAAAAH les Hollandais = base navale  DEN HelDER et autre
Ostende = terminer vers  Zeebrugge = :
et encore câle séche pour frégate = DEN HELDER
je sais tu vas dire que les nouvelles frégates ne rentrent pas au drog dock d'anvers  ; mais où vont les autres navire (civils )pour cause d' avaries et réparation (C'est pas chez SKB)!!!!!!
SKB = Contract avec marine .
Stan ,tu as suivis ce programme depuis le début, et où se trouvent 'on maintenant
les réparations se font plus souvent Où a part S.K.B Antwerpen

Salut Christian,
J'ai suivi le CMT depuis le début, construction du bâtiment de référence CM ERIDAN, jusque la conversion à mi- vie. Et ce pour la partie Armes Equipement, il en été de même pour les anciennes frégates et je n'avais aucun contact avec SKB qui eux s'occupés de la partie Coque, machine et électricité.

L O Il me semble avoir vu quelque part dans le forum que la SKB a été déclarée en faillite.(il y a quelques années déjà)
Quelle est la situation de cette firme actuellement? où
Merci pour les futures réponses.
Salut 

19 août 2010 – L'entreprise anversoise de construction et de réparation de bateaux SKB a été déclarée en faillite.

P.S. Les bassins de carènes français se trouvent maintenant en Normandie (Rouen)

http://nautisme.lefigaro.fr

Deux patrouilleurs commandés au chantier Socarenam

La Marine nationale belge a commandé deux patrouilleurs au chantier naval Socarenam, dont le siège est à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), a annoncé lundi l'entreprise française.

Ces navires de 52 mètres, qui seront affectés à des missions de patrouilles, surveillance, maintien de l'ordre, recherche et sauvetage, devront être livrés dans les deux ans, a précisé la Socarenam dans un communiqué.

Pouvant embarquer jusqu'à 32 personnes à leur bord, chacun des patrouilleurs sera équipé de deux embarcations rapides et d'un système d'armes et de détection du type Sewaco "lui permettant d'assurer l'ensemble de ses missions", a souligné le chantier naval.

La Socarenam ne donne pas le montant du contrat, mais, selon l'agence de presse Belga, le gouvernement belge avait accordé le marché au chantier français pour 26,6 millions d'euros en décembre dernier. Un recours devant le conseil d'Etat belge par l'un des cinq autres soumissionnaires en avait cependant retardé l'officialisation.

Le bureau d'études français Mauric est le partenaire de la Socarenam dans la conception de ces deux unités, qui seront construites sur le site boulonnais de l'entreprise navale.

Source: http://nautisme.lefigaro.fr/breves-nautisme/industrie-3/2013-02-05-08-53-52/deux-patrouilleurs-commandes-au-chantier-socarenam-9053.php

Marché conclu ! Socarenam fabriquera deux patrouilleurs pour la Marine belge

Le chantier boulonnais Socarenam, implanté à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), a remporté un joli succès avec l’appel d’offres de la Marine nationale belge pour la construction de deux patrouilleurs. Un contrat de 26,5 millions d’euros qui représente 100 000 heures de travail, sans compter le travail accordé aux sous-traitants. L’appel d’offres a été lancé en juin 2012.
Six chantiers allemands, français et hollandais avaient répondu. La réponse, retardée par un recours déposé par l’un des candidats malheureux, est finalement tombée il y a quelques jours. « Il concerne la réalisation de deux patrouilleurs de surveillance de 52 mètres de longueur dans le cadre du programme Ready duty ships », précise Mathieu Gobert, le fils du président et chargé d’affaires au sein de cette PME qui a réalisé un chiffre d’affaires de 42 millions d’euros en 2012. « Les études et la conception vont durer six mois. Ensuite viendra la fabrication de la première coque pendant un semestre. Nous devons livrer le premier navire dans dix-sept mois et le second dans vingt-quatre mois ».
Le chantier assurera également l’intégration des équipements et l’armement des navires. En plus de la fourniture d’équipements, des sous-traitants s’occupent de la peinture, de l’isolation et de l’électricité des patrouilleurs. Mais Socarenam ne part pas de zéro. Il a déjà réalisé deux patrouilleurs pour la douane française qui serviront de modèles.
Par Olivier Cognasse - Publié le 14 février 2013 | L'Usine Nouvelle n° 3318

Source: http://www.usinenouvelle.com/article/marche-conclu-socarenam-fabriquera-deux-patrouilleurs-pour-la-marine-belge.N191384

La Socarenam met à l’eau le « Belenos » pour l’armement Porcher

Le « Belenos », mis à l’eau le 30 janvier (photo Benoît Lobez).
Le chantier naval Socarenam a mis à l’eau, le 30 janvier à Boulogne-sur-mer, le Belenos, chalutier de 25 mètres pour Jean Porcher, l’armateur d’Erquy. Une mise à l’eau sans tambour ni trompette, à marée haute. Le Belenos est un chalutier à pont couvert, long de 25 mètres et large de 7 m 40. Sister-ship du Lazalaï, mis à l’eau en janvier 2010, du Taranis (mars 2011) et de La Fanette (février 2012), le Belenos est conçu pour un équipage de sept hommes.

Après les travaux de finition au bassin Napoléon et les essais en mer, il prendra la direction de son port d’attache dans les Côtes-d'Armor. La fidélité de Jean Porcher au chantier naval dirigé par Philippe Gobert est ancienne puisqu’il s'agit de son quinzième chalutier construit à Boulogne-sur-Mer. Et la construction d'un 16e a déjà démarré dans la cale sèche de la Socarenam.

Source: http://www.lemarin.fr/articles/detail/items/La_socarenam-met-a-leau-le-belenos-pour-larmement-porcher.html

http://www.echo62.com/
Socarenam, chantier naval à Boulogne-sur-Mer Les bateaux du futur ont leur labo
Des bateaux de pêche, des pousseurs remorqueurs, des navires militaires, des vedettes et patrouilleurs, des navires rouliers et passagers, des pétroliers, des bateaux fluviaux… la Socarenam (Société calaisienne de réparation navale et mécanique) est spécialisée dans la conception et la réalisation de tous types de navires.

Tout au bout du boulevard de Châtillon, à l’entrée du bassin Napoléon, les locaux du chantier naval Socarenam, 4 800 m² d’ateliers couverts, ne passent pas inaperçus. Sur place, une centaine de personnes y est affairée à la construction de navires. Tout comme d’ailleurs à Calais avec 40 salariés, à Saint-Malo avec également un effectif proche de 40 et Dunkerque où travaillent 20 personnes. À Étaples, où la Socarenam développe une autre activité avec la menuiserie navale Lefebvre, filiale à 100 %, ils sont six. Soit plus de 200 salariés pour l’ensemble du groupe auxquels il convient d’ajouter les effectifs en sous-traitance (électricité, peinture, climatisation essentiellement).
Implantée dans un premier temps à Calais en 1961 par la Société Navale Caennaise pour l’entretien de ses navires de commerce, la Socarenam a repris en 1969 les chantiers Baheux à Boulogne, constructeur des navires de pêche. Pour répondre à une forte demande en réparation navale, un troisième atelier a été créé à Dunkerque en 1973. Depuis 1989, à la faveur d’un RES (rachat d’entreprise par les salariés), la société appartient aux cadres et aux salariés, la direction étant aujourd’hui assurée par Philippe Gobert, P.-D.G. et actionnaire majoritaire, secondé par son fils Matthieu, chargé d’affaires constructions neuves.
« Ici, à Boulogne, on réalise la construction et la réparation de coques en acier jusqu’à 55 m de long en cale sèche, précise Matthieu Gobert. Le site de Calais est surtout spécialisé en chaudronnerie industrielle offshore alors que sur Dunkerque on pratique la maintenance et la réparation de mécanique générale pour la grande industrie dunkerquoise. À Saint-Malo, la cale sèche extérieure recouvrable de 110 m permet la construction de navires de plus grande taille ».

De la pêche à la Marine nationale
Spécialisée à l’origine dans les navires de pêche (elle a construit une centaine de chalutiers), l’entreprise, après avoir subi la crise de la filière pêche dans les années 90, a su se diversifier. Ainsi a-t-elle répondu avec succès à un appel d’offres de la Marine nationale pour trois bâtiments écoles. Depuis cette date, les commandes du même genre se sont multipliées. Pour la Marine nationale certes, y compris les remorqueurs du porte-avions Charles-de-Gaulle, L’Esterel et Le Lubéron, mais aussi pour les Douanes, les pompiers, la pétrochimie, la sidérurgie, les compagnies fluviales… et même la Marine belge pour qui la société va réaliser deux patrouilleurs de 52 m de long (30 hommes à bord), équipés de deux embarcations d’intervention rapide. Socarenam a d’ailleurs ses fidèles clients, à l’image d’un armateur de Saint-Alban (Côtes d’Armor) qui vient de lui commander son seizième chalutier.
L’une des dernières commandes est plus du domaine grand public : un bac de 60 m de long pouvant accueillir 300 passagers et 40 véhicules, qui naviguera dans quelques mois sur la Gironde pour assurer la liaison entre Blaye et Lamarque. « Pour ce navire, la coque a été réalisée à Saint-Malo et l’assemblage se fera à Boulogne, après deux ans de construction, y compris quatre à cinq mois pour les études » s’empresse de souligner Matthieu Gobert avant d’ajouter que la Socarenam, certifiée ISO 9001, est en capacité, grâce à son bureau d’études en ingénierie navale intégré, de répondre à toutes les commandes, sauf évidement les paquebots, cargos et supertankers. Fort de plus de 230 navires construits, ce bureau possède les compétences nécessaires pour proposer aux armateurs des bateaux sur mesure, pratiquement à la carte, et répondre à toutes leurs exigences et demandes d’innovation technique.
Économiser l’énergie
D’innovation il est également question en recherche et développement puisque « le bureau d’études travaille beaucoup pour réduire la consommation de carburant et diminuer la pollution. Les axes de développement sont particulièrement les propulsions hybrides, électriques et au gaz, la production et la gestion de l’énergie, les optimisations de carène… » insiste Matthieu Gobert citant en exemple les travaux réalisés sur la Frégate III, chalutier étaplois de Thierry Leprêtre sur lequel la Socarenam (où il a été construit) a installé une nouvelle motorisation, c’est-à-dire un moteur électrique alimenté par deux générateurs au fuel et au gaz naturel comprimé. Une fois les travaux terminés, le chalutier, soutenu notamment par France Pêche Durable, va reprendre la mer pour deux années d’expérimentation de ces nouvelles technologies et vérifier les prévisions de 35 à 40 % d’économie d’énergie et de réduction de 70 % des émanations de CO2. À suivre.
Dans la même démarche, la Socarenam participe au projet ARPEGE (Approche Réaliste pour une Pêche Réaliste) lancé par l’Ademe dans le cadre du programme Navires du Futur. Le caractère innovant de ce chalutier, long de 24 m, repose notamment sur une propulsion électrique bi-ligne d’arbres avec une architecture de puissance intégrée, une nouvelle organisation architecturale permettant une meilleure stabilité et une meilleure répartition des emménagements. Pour la Socarenam, toujours à la pointe de l’innovation, le projet ARPEGE « visant à réduire la consommation, réduire l’accidentologie, mieux valoriser les produits de la pêche, améliorer la rentabilité des navires… » est tout à fait d’actualité. Philippe Gobert et ses collaborateurs savent bien que la flotte des chalutiers français et de la Côte d’Opale n’a guère été renouvelée depuis une trentaine d’années. Du travail en perspective… c’est sûr.
Source: http://www.echo62.com/article-socarenam-chantier-naval-a-boulogne-sur-merles-bateaux-du-futur-ont-leur-labo

Et voici le site de l'architecte navale qui dresse les plans du patrouilleur.


Site: http://mauric.com/fr/realisations/patrouilleurs-opv

CASTOR et POLLUX : les noms de nos futurs patrouilleurs


La décision est enfin tombée quant aux noms de nos futurs patrouilleurs. Ces deux nouvelles unités qui sont attendues à la composante Marine pour juin 2014 et janvier 2015 seront baptisées CASTOR et POLLUX et porteront respectivement les numéros de coque P901 et P902. CASTOR et POLLUX sont les noms de deux étoiles de la constellation des Gémeaux (Gemini) qui est est visible dans le ciel belge entre les constellations de la Grande Ourse et d'Orion. Les étoiles et corps célestes ont, de tout temps, été étroitement liés aux gens de mer qui les utilisaient couramment pour déterminer leur position et naviguer en toute sécurité.
Ces noms se réfèrent également à des figures de la mythologie grecque puis romaine, les frères jumeaux immortels Castor et Pollux. Nés de la même mère, Leda, Castor a pour père Tyndare, le roi de Sparte et époux de Leda, tandis que Pollux est né d'une liaison de Leda avec le dieu Zeus (Jupiter pour les Romains). Célèbres pour leurs nombreux exploits, Castor et Pollux ont d'ailleurs été divinisés comme protecteurs des marins.

Source: http://www.mil.be/navycomp/subject/index.asp?LAN=fr&ID=2159&FILE=subjecttext&MENU=0&PAGE=1

L O Bon choix ; voici une vue de la constellation Gemini comme le dit Fred visible en Belgique en prenant la ceinture d'Orion regardé vers la gauche.

Salut

Beaux noms, en espérant que personne à bord ne s'appellera Zébulon    

La date et lieu pour dévoiler les deux noms  
 
Pour rester neutre  dans les noms de nos navires, c'est encore bien vu.
Cela nous change un peu des noms de fleurs.
 
Zeus et Apollon étaient déjà pris par la serie Magnum

Beaux noms et pour les prochaines navires TINTIN et MILOU