Sabordage Toulon 1942

Robert

L O  Grande différence avec Mers el -Kebir.

J'ai été à son bord en 1938 à Anvers. Je me souviens encore de ses belles coursives et de la bonne odeur de cuisine qui sortait du carré des officiers.

Il n'était pas à Toulon.

Je m'exerce pour passer des photo c'est très difficie pour moi, alors un peu de patience.Salut à tous et merci pour votre intéret. Robert.

Le "Léonor Fresnel" &tait un petit raviatilleur du service des "Phares et balises" , petit bâtimentde cent cinquante tonnes, chauffant au charbon., nrmalement basé Toulon.pendant cette fameuse nuit du 26 au 27 novembre 1942 il était amarrré à couple d'un remorqueur au petit port des Salins d'Hyères, un pru o l'est de Toulon. Son petit équipage était constitué de son capitaine,, un vieux loup de mer breton,son chef mécanicien et huit matelots.-, quand ils furent réveillé par le vacarme des exp Sasa soute avec du charbon que le remorqueur lui passa et décida d'appareiller pour Alger. Il resta sagement calme et inaperçu avec ses hommes cachés à bord il appareilla vers 22 heures. Grâce à sa connaisance de la baie, il parvint à se défiler à travers les filets et les mines qui protégeaient le port de Salins et mis le cap sur Alger. Au matin il apperçu un avion qui arrivait à basse altitude et fit rentrer ses hommes en n'en gardant que trois sur le pont. L'avion qui était bien allemand les orbta et les hommes lui fit des grands gestes de salutations. L'avion les quitta alors, il avait certainemment cru que c'était un petit bâteau de pêche espagnol. Sa traversée dura cinq jours et fut assez difficile dont les deux derniers jours sans nourriture et son charbon presque épuisé. enfin il arriva devant Alger alors qu'un convoi entrait au psort. ans être aperçu il y pénétra le dernier et se fit reconnaitre par optique ; "Ici ravitailleur Fresnel des Phares et Balises de Toulon, demande autorisation de renter au port" Son signal déclencha la stupeur et l'allégresse de la direction du port. Ces héros affamés fut reçus avec honneurs par un amiral qui les félicita et auqel le capitaine dit "Amiral, j'aurais préféré vous ramener le Strasbourg".
Seul bâtiment de surface évadé il fut affecté à un service de formation et de relève des équipages. Après la libération il fut rendu aux Phares et Balises et reprit son service
(Suite :

Depuis 1940 les Français ne participaient plus à la guerre, sauf quelques milliers de bravesdes troupes du général de Gaule avec à leut tête le général Leclerc, la minuscule marine FNFL et quelques aviateurs dans la RAF, en tout quelques dizaines de millers d'hommes.
Le débarquement allié en Afrique du Nord et le sabordage de la flotte à Toulon allaient
remettre les Français dans la guerre avec toutes les troupes de so empire colonial quelques centaines de milliers d'homme et les bâtiments de la flotte absents de Toulon, notamment les cuirassés Richelieu et Jean bart, celui ci en finition, et la petite escadre de l'amiral Godfroy conservée neutre à Alexandrie. Toutes ces forces rééquipées et réentraînées par les Alliés allaient reprendre les armes.
Cette nouvelle armée française allait d'abord collaborer à la libération de la Tunisie avec la capitulation de l'Afrika Korp et la 1ère armée du général de Tassigny remontant l'Italie pour débarquer en Provence le 15 août 1944 pour terminer sa guerre en prenant Bertschesgaden à la fin d'avril 1945. Sans oublier une des qutre sous marins qui étaient parvenu à s'échapper de Toulon, le CASABLANCA du commandant Lherminier, être le pricipal acteur de la libération de la Corse.
On ne refait pas l'histoire, contrairement à la science l'histoire-fiction n'existe pas, mais rien n'empêche de se poser la question de savoir comment aurait évolué l'histoire de la France, si le maréchal Pétain, comme le président Rooseveldt l'espérait, avait rejoint Darlan à Alger et commandé à la Flotte de Haute Mer de quitter Toulon suffisamment à temps avant l'arrivée des a-Allemands. Il y aurait été reçu de certainement de grand coeur et la situation du général de Gaulle très affaiblie.
Le hasard fair parfois mal les choses, on a retrouvé des mementos et des notes manuscrites dans les dossiers de l'amiral Darlan on peut y lire "Maintenir la date su 13 novembre pour remplacer le comte Jean quelles que soient les pressions" et on peut se demandercomment le choses auraient évolué s'il avait été présent à Vichy à cette date, et avait remplacé de Laborde par l'amiral Gouton à qui il accordait toute sa confiance.
Fin - terminé

La guerre terminée,les responsables de Vichy durent assumer leurs responsabilités dans le drame de Toulon. Le premier fut le très vieux maréchal Pétain. Dans les derniers jours de la guerre, il put passer de son exode à Siegmaringen en Suisse.Le gouvernement suisse lui proposa l'asile poltiqu, mais naïvement il croyait encore qu'il pourrait justifier son action vis à vis du peuple français. Mal lui en pris, il fut immédiatement arrêté et incarcéré. Lorsde son procès, patmi les accusations qu'il avait à répondre le sabordage de Toulon fut considéré comme une circonstance aggravante. Condamné à mort, malgré son âge très avancé, il fut gracié par le général de Gaulle, alors chef du gouvernement français., mais celui-ci n'a jamais caché que'il n'aurait jamais introduit une demande d'extradition s'i avait accepté la proposition suisse.Le vieux maréchal survécu encore quelques années alors qu'il était détenu au fort de l'ïle d'Yeu.
L'amiral de Laborde qui avait mis sa flotte la nuit du 14 au 15 novembre 1942 pour aller attaquer le débarquement et qui avait dit urbi et orbi qu'il souhaitait une victoire allemande, fut aussi très gravement condamné. Peine de mort, indignité nationale à vie, dégradation et condamnés aux dépens et à la confiscation de ses biens. il eut plus de chance que Pétain, ij fut gracié par le président Vincent Auriol qui détestait la peine de mort, et sa peine fut réduite à quinze ans de prison dont il ne dut presté que six avant d'être libéré et enfin aministié en 1959. Il mourut en 1959 à l'âge de nonante-six ans dans sa résidece de Castillon la Bataille.
L'amiral Marquis fut condamné à l'indignité nationale et à cinq ans de prison mais amnistié en 1959. Quant à l'amiral Auphan, l'ancien Sous Secrétaire d'Etat à la Marine du gouvernement de Vichy, jugé par contumace, parceque il avait le pouvoir de démettre de de Laborde ou de lui donner l'ordre de rejoindre Alger, ce qu'il ne fit pas. Il bénéficia de circontances atténuantes dns la mesure où il avait tenté de convaincre Pétain de rejoindre Alger en un avion spécial qu'il tenait à sa disposition. Il l'aurait alors accompagné. Pétain refusas en disant que l'altidue de pouvait être dangereuse pour lui, et qu'il voulait rester à la disposition du peuple français. Le bruit couru que Pétain avait peur de l'avion mais ce ne fut probabement qu'une légende.
On terminera en disant qu'un Allemand fut aussi victime du sabordage. L'amiral Wever qui n'était pas favorable à la saisie de la flotte avait été chargé de transmettre à de Laborde la la promesse que Toulon ne serait pas envahi.7ème Panze, aux portes de l'Arsenal faute de guide et de l'arrivée tardive des marins de la Kriegsmarine. Ces deux heure de retard furent suffisantes pour achever le sabordage. Il est mort à 58 ans en Italie au printemps suivant d'un infarctus alors qu'il paraissait en excellente santé Après la guerre un amiral allemand à déclaré qu'il s'agissait d'une exécution camouflée par la Gestapo pour son opposition à cette opération.

Voici la fin du navire amiral de l'amiral de Laborde

Voici maintenant le Béarn, bien moins endommagé et récupérable