Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière.
Une vie saine, au grand air et des rêves plein les yeux.
polinar Amiral
Nombre de messages : 51210 Age : 73 Localisation : Dison / VERVIERS Date d'inscription : 02/11/2009
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mar 10 Nov 2015 - 19:27
tout à fait
Invité Invité
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mar 10 Nov 2015 - 19:58
Bien vrai n'oublions pas!
René Amiral
Nombre de messages : 7392 Age : 66 Localisation : Trazegnies Date d'inscription : 23/12/2010
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mar 10 Nov 2015 - 20:35
Ne jamais oublié pour ne pas revivre un tel carnage dans ce monde toujours fou...
14-18 c'est "entre autre" pour moi : Des dirigeants narcissiques qui créent des rivalités d'intérêts et engendrent des conflits, conduisant à une boucherie orchestrée.
Ce n'est pas seulement un jour férié !
SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7727 Age : 69 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 9:08
"NE LES OUBLIONS PAS"
Le choix de l'Inconnu Belge Le choix du Soldat Inconnu belge se déroule sur le même principe que le choix du Soldat Inconnu français. Des corps non identifiés de soldats tombés lors des défenses de Liège, Namur, Anvers, sur le front de l'Yser et lors de l'offensive libératrice de 1918 dans les Flandres sont exhumés des cimetières militaires du pays Le 10 novembre, les cinq cercueils de chêne, surmontés d'une croix noire, sont placés dans la salle d'attente des premières classes de la gare de Bruges dès 8h45. Figure 8La Nation Belge, 11 novembre 1922, p.2
A leur arrivée, une délégation de l'armée est présente, les clairons sonnent et les drapeaux du 4e régiment de ligne, du 8e lanciers et du 7e d'artillerie viennent s'incliner devant eux. Un service d'honneur est assuré par des Invalides et des officiers de la garnison. A10h, l'évêque de Bruges célèbre, à la cathédrale, un service solennel pour le repos de l'âme des soldats inconnus. A 16h30, en présence du général Maglinse - chef d'Etat-Major général-, du Colonel Giron - chef du cabinet du ministre de la défense-, des lieutenants colonels Goffin et van der Eycken, du commandant Declercq et de délégationsd'Anciens Combattants, Albert Devèze, ministre de la défense nationale, est conduit dans la chapelle. Là, l'aveugle de guerre, Raymond Haesebroeck, attend le ministre qui le prend par le bras et lui dit : « Je vais vous faire toucher le cercueil des cinq camarades qui sont ici. Après cela vous choisirez celui qui doit être enterré à Bruxelles ». Raymond Haesebroeck fait halte devant chaque bière afin de se rendre compte par lui-même de la présence des cinq corps. L'aveugle les touche de la main et les compte à haute voix, puis fait trois pas en arrière, de manière à se trouver en face du cercueil du milieu. Ici, les récits diverges, Haesebroeck aurait dit « le quatrième à gauche » ou « le deuxième à droite ». Quelles que soient les paroles qui furent prononcées, le cercueil désigné est le même, l'avant-dernier. Raymond Haesebroeck dépose aux pieds du catafalque la couronne de laurier que lui tend le ministre de la défense, suite à quoi, un dernier salut aux morts est réalisé.
Et je termine par;
Amazing Grace & The Last Post
Archer Amiral
Nombre de messages : 33248 Age : 76 Localisation : LIEGE Date d'inscription : 09/03/2012
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 9:25
Au cours de l’été 2014, en visitant le cimetière militaire belge de Ramskapelle, j’avais été intriguée par les petites fleurs blanches qui ornaient le pied des pierres tombales. J’avais déjà entendu dire que comme les pays du Commonwealth et la France avaient érigé respectivement le coquelicot et le bleuet en fleurs du souvenir de la Grande Guerre, la Belgique possédait elle aussi sa fleur de mémoire : la pâquerette… Les sources historiques étayant ce fait se sont néanmoins avérées difficiles à trouver. Ma petite enquête m’a permis de trouver des éléments de réponse auprès de Walter Lelièvre, Archiviste de la Ville Nieuport. Voici ce qu’il explique : « Le coquelicot, la pâquerette et le bleuet ont en effet une histoire commune. C’est durant la Grande Guerre déjà (après la bataille de la Marne – 6-9 Septembre 1914), que le coquelicot, le bleuet et la pâquerette deviennent des fleurs commémoratives. Alors que les Britanniques ont adopté le coquelicot comme fleur de mémoire, les Français ont adopté le bleuet comme symbole de souvenir et de solidarité, et les Belges ont choisi la pâquerette en raison de sa couleur blanche, évocatrice de la paix.
Alors que le « poppy » a été adopté officiellement en 1918, et le bleuet en 1920, ce n’est que dans les années 1930 que la pâquerette a été officiellement adoptée par les Belges : sous l’égide de la Princesse Jean de Mérode, née Princesse de la Beauffremont Courteny, la « Fédération Interalliée des anciens combattants (FIDAC) » crée en effet alors le fonds de « La Pâquerette de l’Ancien Combattant de l’Yser ». Ce Fonds a vendu des pâquerettes pour venir en aide aux anciens combattants.
SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7727 Age : 69 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 10:49
Merci René pour ce complément d'info et il est vrais que les français portent a la boutonnière le bleuet.
calamar1942 Amiral
Nombre de messages : 9506 Age : 82 Localisation : Espagne,spanje,empuriabrava Date d'inscription : 01/11/2009
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 13:02
Mercie pour se beaux documentaire en oubliera jamais les soldats tombe pour notre liberte
NAVYCOOL nous a quitté
Nombre de messages : 5948 Age : 66 Localisation : Ostende-Oostende Date d'inscription : 10/11/2009
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 15:20
Nombre de messages : 6085 Age : 86 Localisation : OSTENDE Date d'inscription : 27/09/2009
Sujet: Re: 11 novembre 2015 Mer 11 Nov 2015 - 17:57
L O 11 novembre 3 pays /3 motifs de commémoration
de g.à d. Bleuet France - Coquelicot Grande-Bretagne - Marguerite Belgique
Salut
_________________ Dans la vie il y a trois routes L'estime:l'idéal que l'on poursuit La route vraie:la vie réelle de tous les jours La route sur le fond:c'est le destin