Loisirs des marins à bord

Surpris en découvrant ces cartes postales

Que faisaient les marins le dimanche ? .......ils dansaient




Il y en a même un qui boude ou qui est puni près de l'escalier à gauche

shrek a écrit:

Surpris en découvrant ces cartes postales

Que faisaient les marins le dimanche ? .......ils dansaient




Il y en a même un qui boude ou qui est puni près de l'escalier à gauche

Celui qui est puni, c'est parce qu'il ne veux pas faire partie de l'orgie qui va s'en suivre après.

polinar a écrit:

Comme je disais bien, l'orgie va commencer, debout sur la table, un pantalon déjà baissé.

LO , quand j'ai vu ces magnifiques photos publiées par Polinar cela m'a tout de suite rappellé une soirée mémorable a bord'mais je pense que l'on étaient a quai,cela ressemblait pas mal aux clichés ci dessus mais en plus plusieurs sous off s'étaient déguisés en femmes et donnaient une représentation de danse ensuite ,l'alcool aidant tout le monde s'y est mis et la fin....je ne m'en souviens plus, par contre le bordel du lendemain je crois que personne ne l'aura oublié.A bientot

Bal Populaire



Il est bien difficile de regarder ces scènes de bals du dimanche sans penser à malice... et pourtant, elles n’ont rien à voir avec les rythmes déjantés de l’endiablant  In the Navy du groupe new-yorkais Village People. On était en fait plus près d’Avignon que de New York et tout le monde pouvait chanter ensemble « sur le pont, on y danse, on y danse ».
Le disco, le twist, le jerk et autres danses individuelles n'avaient pas encore été imaginés et il était fréquent dans toute fête de village de voir valser au son de l’accordéon deux dames, amatrices de musique et de danse qu’aucun cavalier n'était venu solliciter. C'est exacte¬ment dans le climat et dans l'esprit de cette époque qu’il faut replacer les scènes reproduites. Il est d’ailleurs plus que probable que ces danseurs d’un jour pensaient alors fortement et avec nostalgie à leur amie restée au pays breton.
Il y avait également en ce début de XXe siècle de nombreuses danses régionales, encore produites par certains groupes folkloriques, où garçons et filles dansaient chacun de leur côté de façon prude et chaste. Les matelots photographiés en dansant s’entraînaient peut-être aussi pour d’autres danses exotiques qui les attendaient en galante compagnie en escale, qu’il s’agisse de la biguine antillaise, du tango argentin, du tamouré tahitien ou simplement d’une java qui fait chalouper les terriens en manque de mal de mer.




Editions Ouest France

En musique



Un amiral commandant une force à la mer se devait d’embarquer avec une musique, en sus de son état-major et de sa maison « civile » qui, malgré son appellation « civile », ne comportait que des militaires cuisiniers et maîtres d'hôtel.

La musique de l’amiral jouait naturellement en escale lors des appareillages et réceptions ; elle se devait de pouvoir interpréter impeccablement tous les hymnes nationaux des pays visités, mais elle se produisait également au profit de l’équipage le dimanche à la mer ou lors des corvées de charbonnage. Jouait-elle alors La Mer de Debussy ou WaterMusic de Haendel.

A côté de ces musiques officielles et professionnelles, de nombreux bâtiments avaient comme aujourd’hui dans leur équipage de véritables artistes amateurs qui tuaient agréablement le temps en taquinant leur instrument. Contrairement aux musiciens de l’amiral, dont c'était la spécialité et l’unique fonction, les amateurs n’avaient pas le privilège d’être « de musique », selon la formule d’emploi généralisée dans l’équipage pour désigner avec envie les marins dispensés de quart, qui pouvaient cumuler quotidiennement une sieste et une nuit complète « à la caille ».




Editions Ouest France

Serge Jacquet, Jean-Luc Vanberghem et moi soirée HARA_kiri!!! sur le Godetia après l'escale de Sta Kruis de Ténériffe.

Remarquable, ce fut aussi la première et dernière fois que j'ai fumé un cigarillo !

Un vieux s/off qui nous voulait du bien m'avait dénoncé pour avoir jeté un mégot dans un urinoir, alors que de notoriété publique, je ne fumais pas   !!


Résultat 4 jours de balles !!  

A la sortie de Rio



Fidèles à nos chapeaux ce qui faisaient râler les vieux juteux.



Au niveau de l'équateur, celui qui avait oublié ses sandales pouvaient courir vite, on pouvait faire cuire un oeuf sur le pont !


Faut dire que nous sortions en escale aussi avec nos chapeaux !!

Sur la dernière photo de Jean-Lux V on voit très bien que deux des trois se font cuire les oeufs sur le pont !!!

Cafetaria du Westdiep en Norvège en 87, je suis avec la Cruche et on a bien dansé ce soir-là