Trams à la côte, souvenirs...

Tiens, aujourd'hui c'était la journée du patrimoine et il y avait une exposition de trams ayant servi sur la ligne de la côte.

Je suppose que des marins ont des souvenirs bons ou moins bons de ces trams qui les ramenaient à la caserne après un court week-end ou une permission.

Certains ont probablement des anecdotes à raconter ou éventuellement même des détails sur leur façon de resquiller





l'intérieur pas trop luxueux, les sièges sont assez durs....


un type PCC, bon, pas trèsjolijoli...


Ceux-là, je les ai connus quand j'étais jeune


A propos d'anecdote, il y en a un qui s'est tapé la honte aujourd'hui. Un gars en bleu de travail qui en tenait une bonne (peut-être qu'il était en route depuis vendredi...) est parvenu à monter dans le tram assez bien rempli quand même, vu son état, c'était "sauve qui peut" pour les gens qui ont eu la malchance de se trouver là, il titubait, disait des trucs incompréhensibles, puis vu qu'il avait soudainement beaucoup de place près de lui s'est affalé sur un double siège, après 2 arrêts, le voilà qu'il sort précipitamment et baf, la tête contre un panneau de publicité et s'étale par terre, tente de se relever....et je vous laisse deviner, j'ai d'abord vu de la bave commencer à sortir, ouyouille ...puis, une grosse pizza sur le trottoir et des spites sur son pantalon et godasses.
J'ai eu du mal à ne pas rire, enfin tout le monde était mort de rire dans le tram, la grosse honte

Bonjour Shrek, la seule anecdote que j'ai à raconter c'est avec le tram avec 2 wagons, le triple quoi, nous sortions à Bankenberghe et pour rentrer à l'ancienne base de Zeebrugge permission permanente de minuit vu la distance du plus proche lieu habité nous prenions toujours le dernier tram qui à cette heure était vide et désert,nous montions dans le dernier wagon sur la plate forme arrière la quand le tram se mis à rouler à 5 ou 6 selon le cas nous fessions tous ensemble un mouvement de haut en bas se qui donna un effet d'accordéon ce qui nous permis de faire connaissance avec le garde arrivé à 3 arrêts avant le notre nous avions le choix ou descendre de son tram ou in préviendrait la base comme se ne serait pas difficile de savoir qui est dehors n'écoutant que notre courage nous somme descendu en bon ordre quelle chance que nous avions quand même un peu d'entraînement nous sommes rentré en courant pour être à la base avant minuit la perme suivant comme on n'avait pas encore compris nous allons remettre cela chance se n'était pas le même garde on monte le tram ne démarre pas puis apparaît le garde vous avez deux minute pour aller devant ou vous desander de mon tram et vous pouvez attendre le suivant se qui ne changera rien car mon collègue à prévenu tous les autres collègues qui il fallait surveiller de près 6 maft de mataf voilà ma petit histoire malgré tous ces gardes étaient pas bien méchants c'est nous qui n'avions aucune idée du danger cordialement Luc

Bonjour
merci pour ces photos

shrek a écrit:

...j'ai d'abord vu de la bave commencer à sortir, ouyouille ...puis, une grosse pizza sur le trottoir et des spites sur son pantalon et godasses.
J'ai eu du mal à ne pas rire, enfin tout le monde était mort de rire dans le tram, la grosse honte

Et t'as pas pris de photo

non, cela s'est passé tellement vite que je n'ai pas eu le temps de faire une photo ou filmer, et le tram a redémarré quasi aussitôt.

Mon père m'avait raconté qu'à l'époque, le garde ne savait pas passer d'une remorque à l'autre car c'était fermé et il devait le faire quand le tram était arrêté.

Le jeu pour ne pas payer était de voir dans quelle remorque se trouvait le garde pour ne prendre celle-là, et ils étaient tranquilles 2 à 3 arrêts suivant les gens présents dans le tram, quand le garde changeait de remorque, toute la bande sortait du tram pour monter dans la remorque sans garde. Mais cela ne marchait pas toujours car il y avait quelquefois 2 gardes. Puis, avec les autres remorques, c'était fini car le vendeur de ticket était assis sur une sorte de petit bureau à l'entrée et il fallait passer devant lui pour entrer, et là...."betalen".

le tram,pour rejoindre"lombard" et l'école nautique aux environs de01hoo ,lombard...dorp ,sans oublier de boire le dernier dans l'estaminet de la rue ,avant le corps de garde.PAR CONTRE....le vendredi 16h00,le taxi...pour le train du retour

Salut j'ai aussi souvent pris le tram pour lombart après le sortie a Ostende cela avant le commissionnement du bateau , ce dont je me rappel le plus c'est de la marche pour rejoindre la base , c'était long et une fois nous avons fait une halte a la cantine des codos et nous avons été bien reçu étonnant n'est ce pas !!!

Bonjour,

non pas étonnant, je suis passé du 15 mai au 28 juin 73
et je n'ai jamais eu de problèmes avec les para.
Très belle cantine et jolies cantinières ce que nous n'avions pas
a Nieupoort car la bas les filles n'étaient pas terribles.

A oui les cantinières j'avais oublier de le mentionner elles étaient d'autan plus charmantes que comme tu l'a très bien dit nous les matafs on pouvaient se brosser , mais enfin nous on en avaient une dans chaque ports comme on dit , tandis que les codos a part leur cantine ce n'est pas pendu a leur parachutes qu'ils auraient pu se taper des nanas , sans rancunes pour eux !!! A bientôt.

Edebau jean charles a écrit:

Bonjour,

non pas étonnant, je suis passé du 15 mai au 28 juin 73
et je n'ai jamais eu de problèmes avec les para.
Très belle cantine et jolies cantinières ce que nous n'avions pas
a Nieupoort  car la bas les filles n'étaient  pas terribles.

A Lombardsijde en 65 les paras qui rentraient de sorties par la plage avait l'habitude de renverser les enormes guerites sur les artilleurs ou les matafs qui étaient de garde, ce qui fait que quand c'était mon tour je ne les utilisais jamais .
Le "gros truc" avec eu c'était le jeudi dans la rue Longue surtout au Stop c'était bagarre assurée toutes les semaines et la gros problème pour les matafs comme moi qui avaient des copains de leur patelain paras et qui faisait une partie (apres c'était chaqu'un avec son arme) du trajet en train avec eux , la solution etait d'aller dans des coins differents quand on sentait que ça allait peter .

Salut c'est vrai que souvent lorsque l'on rentraient a la base pendant la nuit on étaient pas toujours très détendus car ils courraient des bruits comme quoi les paras nous attendaient pour nous faire la peau mais par chance je n'ai jamais été confronté a ce problèmes , en fait cette riva lité entre paras et matafs était probablement une légende entretenue par certain pour foutre la trouille a ceux qui traversaient le camp para .A bientot