instruction a st croix !!!

crotale a écrit:

le fameux "Popeye" nous donnait matelotage!
il nous racontait la vie à bord, comme le travail des électriciens qui passaient leurs journées avec des boîtes d'ampoules pour remplacer celles qui sautaient sans cesse.
il avait toujours à côté de lui son sac, car disait-il, un hélicoptère pouvait à tout moment arriver pour venir le chercher et le conduire à bord.
A un autre de ses cours, il a mis à la porte un élève car celui-ci avait osé dire qu'il ne savait pas nager! Donc ce n'était pas un "marrrheing"

Et dans la salle de matelotage,sous l'ancienne cuisine si je ne me trompe,il avait toujours un gros coffre pret pour si il devait embarquer.
Un beau jour,en fin de session,il décide de nous en montrer le contenu,
le rire fut général lorsqu'il sorti ses vieilles tenues tropicale,ses souliers blanc,et un tas de vetements qui n'avait plus vu la lumiere du jour depuis napoleon.
AAAAAAAH,rien que pour ces moments la,on recommencerait l'instruction.

L O Pour rappel voici une photo de Franz prise a/b du F 905 Demoor en 1967 Endroit : Great barrier reef Australie.


Salut

maïco a écrit:

ben nous à st croix

notre manie (made in wallonia)  aller dans les chambres flamande et retourner les lits et mettre les armoires a l'envers trop marrant.
pendant qu'il etaient de sortie .


falait pas être vu car la vengeance etait terrible aussi .

hhaaaa la belle epoque .

Oui sans compter le bleuco que certains faisaient passer par les trous d'aération des armoires... c'était quand même trop dégueu!

en 1965, lorsque j'étais à Bruges, il y eut des officier miliciens rappelés, il y avait dans le paquet des officiers qui en étaient à leur 1er rappel mais il y en avaient d'autres qui en étaient à leur 3eme ou 4eme rappel, comme chaque fois qu'ils étaient rappelés ils montaient d'un grade, il y en avait qui avaient 2, 2 1/2, 3 couilles. une fin d'après midi, je reçu l'ordre de les déposer dans la nature pour qu'ils rentrent par leurs propres moyens à Ste Croix. Vers 23 heures, on me réveille parce qu'aucun officier rappelé n'était encore rentré. nous avons patrouillé jusqu'à 2 heures du matin pour enfin les retrouver dans un petit café dans un patelin perdu. je ne vous dit pas l'ambiance !!!

En 78(RP) lors d'une marche ,nous avions comme responsable un ancien off ou sous off de la gendarmerie ,nous sommes donc parti en colonne et puis a un moment donne arret, devant un bistrot ,nous y sommes entre et passe la journee puis rentre et en colonne en caserne en aillant la consigne de marcher droit je pense que se responsable si mes souvenir sont bon s appele stenon marc???

jp

Il me restait une semaine à tirer, fin septembre 65, à Bruges, j'avais, comme c'était la coutume alors, mis 15 agrafes à l'arrière de ma mouche. En passant devant le bâtiment des NP, le chef Debrouwe( je ne suis pas certain de l'orthographe) qui était à la fenêtre, m'interpelle "matelot venez ici", je m'exécute et il sort de sa poche un canif et me dit de retirer mes 15 agrafes. Je les retire dans discuter et me rend au garage. Le lendemain matin, je repasse devant le bâtiment NP et me fais interpeller comme la veille. je prends son canif et retire mes agrafes. le troisième jour, rebelotte mais il rajoute "si demain tu as encore ces agrafes, tu vas me faire les pointes de mes bottines jusqu'à ce que je sache me raser en me regardant dedant. Adieu les agrafes !!!

jpsaxo a écrit:jpsaxo a écrit:Robertleffe01 a écrit:

Josué Richard m'a demandé de poster cette photo de instruction à St croix. (1972) pas vrai, c'étais mon peloton le meilleur , Tribord 3, mes amitiés , jipy
Josué est au premier rang, le 1er en partant de droite ou le dernier en partant de gauche.



JP, tu est où sur la photo ? je ne suis pas sur cette photo, je suis rentré en avril 1972, mais j'hésite , je crois que c'était tribord 2 mais les sous-off et le csor, sont sur ma photo de roupe aussi, à part le qmt , nous , c'était un csor , il s'appelait caignier , bien à toi Joshua


A non c'étaient nous les meilleurs on a d'ailleurs gagnés les épreuves de fin de dip et on a eu les jours de condés supplémentaires "tribord 1"

Bonjour les ami(e)s,

Ayant revu Michel Rivir, je devrais dire le Capitaine de corvette Rivir, hier à Ostende pour l'OVA, ce dernier m'a rappelé une anecdote somme toute assez classique.
On se trouve dans la chambrée n° 18 au rez de chaussée près du salon de coiffure. C'est le couvre-feu. Michel doit "satisfaire" un besoin pressant. Il quitte donc la chambre. Deux ou trois "matafs" mettent un cube de cirage noir par terre près de sa paillasse puis se recouchent. Sur ce, Michel revient, toujours dans le noir, ouvre la porte et ferme celle-ci avec son pied. Il se dirige vers sa paillasse et se couche. Un des gars lui dit alors que son portefeuille est tombé par terre à côté de son lit. Michel se penche et dit alors qu'il verra ça le lendemain matin. Tout le monde se met à rire. Le bruit que l'on fait attire deux MP fraîchement arrivés d'Arlon. La porte s'ouvre et l'un des deux MP nous dit alors de la boucler sinon on serait tous mis au rapport pour tapage nocturne. La porte s'ouvre à nouveau et se referme. 15 seconde plus tard, la porte se rouvre, la lumière s'allume et les MP nous disent alors : "Tout le monde garde à vous devant les lits." Un mataf ayant l'habitude de dormir à poil est donc tout nu devant sa paillasse. Un des MP lui demande de se couvrir avec son pyjama puis dit alors en s'adressant à toute la chambrée : "Que celui qui a mis du cirage se dénonce et fait un pas en avant". Et comme un seul homme, tous les gars font un pas en avant. Les MP ne sachant pas quoi faire, s'en retournent donc dans leur quartier. Ils n'ont jamais su qui avait été le(s) coupable(s). Et un des MP a pu blancoter son baudrier car il était rempli de cirage noir. Michel et moi, on a encore ri de cette anecdote 47 ans après.

A bientôt.

André dit Seal.

Salut les DIP de décembre 1969. Voici quelques souvenirs de mon passage à St-Kruis.
Premier puni de de ma DIP le onzième jour (photo du rapport) pour avoir baptisé mon Kep. Malgré mon amour de la mer, de la marine et des bateaux (j'en ai encore un d’ailleurs) j'étais un peu rebelle et n'aimais pas trop les armes (c'étais l'époque aussi).
J'ai donc pris la photo suivante de la chambrée en voyant les camarades partir en perme et là, je chiais des barres.
Deuxième punition (doublée), le 5 février pour avoir parlé dans les rangs.
Dernière anecdote dont je me souviens, c'est d'avoir été surpris par l'officier de garde, la nuit au dépôt de munition. J'ai rien vu venir et j'ai eu la frousse de ma vie.
Pour le reste, j'ai terminé 4ème de la technique comme mécano et j'ai pu choisir un MSC que j'aimais déjà.

Premier départ en permission de la DIP Décembre 1969.

Pauvre Force navale, la mal-aimée, n'avait pas les moyens de payer des tenues de travail 2 pièces en vigueur à l'époque. Nous avons fait les deux années en salopette. Pas fier devant les marins d'autres pays...!

Heureusement, il y avait encore moyen de trouver et d'acheter un pantalon "pat d'eph, 7 plis" et de pull-over blanc en laine de l'ancienne FN mais qu'il nous était interdit de porter, alors dès le corps de garde franchi, nous enfilions pour draguer les filles. Les "pattes d'éléphant" étais d'ailleurs la mode à cette époque, c'était terrible, on faisait fureur dans les dancing en Wallonie ou au Limbourg.

Super photos et jolis souvenirs

Voici la photo de l'intérieur de mon Kep démagnétisé et baptisé que j'ai encore aujourd'hui, à l'exception de la cocarde tricolore qui a disparue.