Hamacs

A Valkiri: Côté potence nous faisions deux demi-clefs, sans tour mort.
Avec le tour mort, le gars dans son hamac ,il suffisait de tourner à la main sur le tour mort pour le dérouler. Cela jusqu'à ce qu'il ne restait que les demi-clefs.
Le gars prenait donc une inclinaison inconfortable.

Pour ceux qui ne savent pas.

L'expression "branle-bas de combat" vient du hamac !

Dans la marine, au XVIIeme siècle, le hamac était utilisé par les marins pour dormir sur le pont du navire. Il était alors appellé "branle". Le branle-bas était le signal donné le matin, à la suite duquel chaque marin devait décrocher son couchage. Comme son nom l'indique, le "branle-bas de combat" était l'ordre émis aux matelots en cas d'attaque du navire, afin d'en dégager le pont.

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Mon cher leurquin, chapeau avec la plume jusque par terre

à tous.



Dany

A Valkiri.
Je m'excuse d'avoir commis une erreur quant au noeud du hamac.
Nous faisions un noeud de cabestan, soit deux demi-clefs à capeler.
L'autre noeud doit être le noeud d'amarrage, soit un tour mort et deux demi-clefs sur le dormant.
Si je me trompe, veuillez me rectifier. Même à 77 ans j'aime apprendre.
Parce que j'ai l'âge limite pour lire Tintin, de 7 à 77 .
Suite à ton conseil, j'ai commandé le *Ashley book of Knots*, cela sera mon passe-temps pour les prochaines semaines.

L O en effet le nœud recommandé était un tour mort et deux demi-clef
certain matelot parvenait a faire un"nœud gordien"
Bonne lecture le Ashley book of knots est le top du top a point de vue nœuds excellent choix. Salut

salut les heureux qui comme moi ont dormi dans un hamac !!

savez-vous que je souhaiterais retrouver un hamac pour y dormir avec mes 69 ans !!
en effet de dec 58 jusqu'a leur disparition en 61 je pense j'ai dormi dans un hangmat et je peux vous assurer y avoir toujours bien dormi sauf les soirs de forte houle (ben il valait mieux dormir sur la table ou le sol )
j'ai deux photos de hamac avec votre serviteur dedans à stkruis mais ne sais toujours pas comment les montrer !! un jour viendra !!!
je me souviens aussi avoir dormi dans les grands batiments au bout de l'écolage Machines du côté du QM quand il faisait si froid que nous avons eu la permission de ne pas éteindre le gros poële au charbon se trouvant ds la chambre (appel est fait à qui aurait connu celà )
Je me souviens aussi des nuits sur le DEBROUWER pendant le voyage ECSO du 21fev au 15 mars 61 : à part la promiscuité et la quantité moi je dormais bien !! ah nostalgie de ce temps

anecdote: je viens de rencontrer RAYMOND DEJAIFFEgrand copain de FAVRESSE ) spéçialité PONT :il a été admis à la retraite en1996 !nous avons pu après 50 ans échanger des photos ! un moment certain d'émotion !!
allons salut à toutes et tous
papy michel

Bonjour,
Favresse était électricien, quand j'étais sur les MSI's 71/72 je pense que Dejaiffe était COX'n de l'Ougrée.

leurquin a écrit:

Pour ceux qui ne savent pas.

L'expression "branle-bas de combat" vient du hamac !

Dans la marine, au XVIIeme siècle, le hamac était utilisé par les marins pour dormir sur le pont du navire. Il était alors appellé "branle". Le branle-bas était le signal donné le matin, à la suite duquel chaque marin devait décrocher son couchage. Comme son nom l'indique, le "branle-bas de combat" était l'ordre émis aux matelots en cas d'attaque du navire, afin d'en dégager le pont.

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D'ailleurs lors d'un "branle-bas de combat" les matelots-canonniers plaçaient les hamacs enroulés autour des sabords afin de les utiliser comme protection rudimentaire lors d'un combat naval.

Centre - 74 canons (1753) - Waist - 74-gun Ship (1753)


Comme le dis Driss, les Hamacs étaient enrouler autour des sabords et aussi principalement le long du bastingage (7) (protection rudimentaire et principalement contre la mitraille)
Désoler je n'ai pas de photos d'époque originale...

Bonjour,

J'ai bien connu les hamas à bord du G. Lecointe en 65, nous avons été le dernier équipage de cette Algé&rine avant de reprendre le Godetia qui venait de sortir de chantier.

En effet, nous préférions mettre nos matelats sur les lockers (par facilité, car non occupés, les hamacs devaient être ferlés de manière à pouvoir flotter en cas de nauffrage.

Nous utilisions le système de couchettes chaudes (car il n'y avait pas assez de lockers) et les moins chanceux ou ceux qui ne montaient pas les quarts utilisaient leur hamacs

Bon vents à tous

jecorse a écrit:

En 1958, ces fameux hamacs insubmersibles (?) faisaient partie du décor à "Sinte Kruis" j'avais baptisé le mien Mustang ! Car à la première guindaille bourré comme "un petit Lu" il s'est mis à ruer ( )
La nuit pour tacher de rejoindre les "lieux d'aisance" j'ai sauté à l'aveuglette et ai percé une valise en carton, et oui matelot 'Marchand' c'est moi le coupable J'ose espérer qu'après 53 ans il y a prescription ?

Par contre celui qui "pendait" près de la fenêtre et qui s'est soulagé sur le képi d'un sous-off qui passait par la et qui s'est rué dans la chambre en nous sortant bruyamment de notre sommeil réparateur.
On a eu droit à la gueulante du chief Nizet à l'aube.
C'est trop injuste
Un (beau) matin on nous à demander de ferler les hamacs sans les ranger dans les râteliers. On a vite compris pourquoi ! C'était le jour des vaccins dont celui contre la fièvre jaune le hamac nous a servi de punching-baal pour faire circuler le produit qui nous faisait comme un oeuf de pigeon entre les omoplates ! Et dire qu'à Mahieu je suis passé du bon coté de la seringue en devenant infirmier.
Ben oui il en faut

Le chief NIZET, un ancien de Corée, bardé de plus de décorations qu'un commodore à l'époque. J'ai eu NIZET comme instructeur durant
le mois de décembre 1963 et le mois de janvier 1964, on ne rigolait pas avec cet animal. Par contre au cours des sorties du mercredi soir
il ne dédaignait pas de boire un verre avec nous chez COCOGE à Bruges.

stanwim
"J'vous frais pisser du sang moi"'Vous frais ch... des (je ne sais plus quoi)".
Je n'ai pas eu le chef Nizet comme instructeur à la DIP en févier 65 , nous c'était (heureusement) les chefs Ledain et Laloux pour TB1. Le chef Nizet c'etait TB2 , mais on l'entendait g... plus fort que nos instructeurs alors qu'il était pourtant à une certaine distance . .Comment l'oublier . Il était de Spa si mes infos sont bonnes.
Et à Bruges c'était Coucouille (merci Guy)

Guy
A vrai dire j'hésitais entre les deux. Il est vrai que je n'ai pas un grand souvenir de cet endroit ,un vrai bled(comme le reste) à l'époque de ma DIP contrairement à tout ce que les matafs passés avant et après moi ont pu constater.