Vous souvenez-vous de vos quarts à la coupée ?

BOUJOUR

olivier trés bonne idée cette rubrique coupée bcp ont apparemment de belles
histoires a raconter

amicalement

mike

Salut,
Je n'ai pas fait autant de voyages que vous, mais il me semble que les perm's étaient assez "dangereux" non ?

oups

Salut Mike,

Les pôvres ! Tel est prit qui croyait prendre ! Elle est savoureuse ton anecdote.
En '75, je n'ai jamais été de garde à la coupée, c'était le personnel de pont qui s'en chargeait. Je suppose qu'à l'heure actuelle, ça s'est élargi à tout l'équipage ?
à+

Bonjour Mike
Ton histoire me rappelle un peu celle avec les Russes à Anvers que je raconte plus avant,j'avais même du sortir mon arme...qui n'était pas chargée en plus. Ce dont on a pas encore parlé c'est le fait que les hommes à la coupée avait surtout du travail pour éviter que ceux qui rentraient à bord bourrés ne tombe à l'eau , j'en ai même connu un qui était de nuit accroché à une trosse entre deux navires côte à côte et qui paniquait car ils s'étaient rapprochés presque bord à bord,il a fallu les écarter pour le dégager.
Sail Roger

oups

Mike
Cela me rappelle aussi des navires "pendus" au quai de Cedra à marée basse car les équipages étaient en congé et les navires (pas trop)voisins qui devaient les surveiller n'avaient pas transmi la consigne. Enfin il y beaucoup à raconter sur ce sujet...et sur d'autres aussi.

Salut,

Je me souviens, pendant mon service militaire, sur le Veurne, nous étions amarré à la logistique
en quatrième position à coté du Vervier en troisième et deux Mso. D'habitude, les sous-officiers
de quart prenaient contact entre eux et nous montions, tous ensemble, un par un, à la coupée
de quai, ce qui, à minimum deux personnes sur chaque bateau, réduisait fortement les prestations.
Très avantageux, surtout en hiver et de nuit. Cette fois là, pourquoi je ne sais pas, il n'y avait pas
eu d'accord et chaque bateau avait un matelot de quart a sa coupée propre. Nous, en dernière
position, nous nous sommes habillé, tous les deux couché sur une couchette du bas dans le
mess, l'un face à l'autre avec, sur le sol, entre nous deux, le ceinturon avec le pistolet et un
réveil, que nous glissions vers celui de quart, lorsque qu'il sonnait au moment opportun.

Mais ca, c'était quand les bateaux étaient encore considérés...comme notre maison et ou l'on
passait des soirées folles entre amis. Ca doit être bien trisounet maintenant.

A+
Pat.

BONJJOUR SAIL ROGER

je comprends maintenant pourquoi on allait jamais ammarer a cedra il n'y a pas assez de fond
a l'époque en réponse a ma question on m'a répondu on ne peut pas
cela aurait été bien pour les sorties tout ce tour a pied par le pont

amicalement

mike

Pour sortir en ville c' était pas un problème depuis la Log, mais c' était rentrer qui était le plus difficile après avoir passer la soirée chez Paulette

bonjour
paulette , la patronne du reviens des marins

tu as fait la croix la bas pour les non initiés c'est pas un truc de priére

A+

MIKE a écrit:

BONJJOUR SAIL ROGER

je comprends maintenant pourquoi on allait jamais ammarer a cedra il n'y a pas assez de fond
a l'époque en réponse a ma question on m'a répondu on ne peut pas
cela aurait été bien pour les sorties tout ce tour a pied par le pont

amicalement

mike

Francis (Valkiri) pourra peut-être le confirmer, mais je crois que si le Zinnia et le Godetia étaient le plus souvent amarrés à la Logistique, c'était entre autre pour une question de longueur, car la base de Cedra n'était pas très longue,et du fait que tous les chargements en vivres et matériel se faisaient à la Logistique
Quant aux bateaux qui pendaient, je n'en ai jamais vu, mais je crois que la légende a encore de belles années. De marée haute à marée basse, il faut plusieurs heures entre les deux (Donc au moins deux quarts en coupée sont concernés.)
Lorsque tout un équipage partait en congé, automatiquement le navire était pris en charge par un autre équipage et tout ce passait très bien.


JeanMi

Mike
En 65 le Kamina et les plus gros navires étrangers allaient toujours s'amarer au" Quai au bois" après l'écluse, j'étais souvent de l'équipe d'amarage la juste devant Cédra. Je me souviens quand même d'un moullieur de mine(pourquoi en avait il encore?) Norvégien ou Danois amaré à Cedra, les vieilles Algérines y sont aussi passées,maus c'était surtout les drageurs et les vedettes.Pour la petite histoire le"Reviens" n'existait pas encore en 65/66,pour les matafs c'était sutout le Kamina près de Mahieu et le Rembrand entre la Place d'Arme et l'église des pêcheurs...Et en numéro un le Stop de Stephano bien sur,sans oublier chez Charlie pas loin de la gare.

bonjour a tous

l'amarrage quai au bois pur bonheur pas de maree prés viILLE prés GARE pas de nuissances
a part les SP

A+

Jean Mi ,ce n'est pas une légende,quand je dis pendu c'est dans le sans fortement inclinés, ils touchaient toujours l'eau evidement,et j'en ai été témoin étant RP à Cedra ce jour la,c'était du côté de la menuiserie et de la centrale électrique, certains ont decroché les haches d'incendie pour les dégager, mais ils ont trouvé une autre solution que je n'ai pas vue car après j'étais devant la grille. Pour le reste vu que c'était un WE , j'ai bien précisé que les autres navires n'avaient pas transmi la consigne et les avaient oubliés.Tu as peut être difficile de le croire mais tu sais qu'il en a eu d'autres encore plus "folklorique" et même grave parfois.