Sint-Kruis refectoire

L O heureusement que a cette époque pas question du SIDA , a mon avis aujourd'hui la film a du passer a la trappe , si film il y a encore , et tout en écrivant ceci je me rend compte que notre époque est bien révolue .

Archer a écrit:

En 1966, tous les bleus étaient obligés de voir le film "Le poison lent", toutes les maladie vénériennes.
Au souper, spaghettis sauce bolognaise, bon appétit !

En fevrier 66 c'était de grosses saucisses au diner quand on revenait de cette projection .
Evidement il en restait beaucoup dans les plateaux(moi j'aimais bien) .

polinar a écrit:

effectivement,ce singe pour finir, il passait tout seul....enfin....presque.il y a quelques années,j'avais  pris une boite chez "delhaize" et bien ce sont les chats qui.....

J'ai fais la meme chose il y a quelques années. Meme avec une louche de moutarde, cela ne passait pas et le comble mon petit chien n'en a pas voulu aussi;
Le premier jour à Ste Croix début octobre 1971. Au menu ; hochepot. C'est quoi ça ??. En temps que wallon élevé à la campagne , ce machin là m'est inconnu.
Lorsque que l'on a vu le résultat ( des trucs et des machins qui flottent dans l'eau) dans l'assiette
personne n'a fini. A la première sortie, cotisation pour un réchaud camping, interdit dans les chambres, mais on s'en moque, il faut bien manger et la gamelle servait pour mettre, la choucroute en boite, les boulettes sauce tomate ...

Bonjour Zinnia,

La ZM-FN, tout comme les autres corps d'armées, représentait un VIVIER dans lequel tous les belges voyaient
leurs horizons s'épanouir.
Qu'il s'agisse de relations communautaires, de langue, de discipline, de respect ou d'alimentation.
Ton origine étant la campagne wallonne le hochepot t'était inconnu, tu l'as ainsi découvert.
Le hochepot (hutsepot en flamand) est un des plats typiques de la campagne flamande.
Par ailleurs, la choucroute que tu sembles aimer a une origine bavaroise donc pas wallonne du tout.

Le service militaire obligatoire a été pour moi la découverte de nombreux amis wallons m'ayant permis d'apprécier
leur joie de vivre, leur amitié qui perdure depuis ces années, leur caractère mais aussi leurs problèmes à assimiler
l'autre langue nationale.

Je te souhaite, Zinnia, une très belle journée.

C'est avec grand plaisir que je partagerai une bonne bouteille avec toi Zinnia lors d'une prochaine rencontre.

Nos origines sont identiques, notre façon de voir les choses également.
Ce forum d'Olivier nous permet ces échanges courtois et intéressants.

Zinnia,
Ayant lu ton post, je me suis dis que tu as eu de la chance de faire ton service en 72, car si tu avais connu la bouffe en 59 tu aurais déserté.
A titre d'information un des menus dont je me rappelle était : pdt noire, purée de chou-fleur et saucisse de francfort. Et malgré tout nous étions contents d'avoir à manger.
Sans rancune wouard :

Repas traditionnel:
Purée de patates, compote de pommes et boudin noir. Attention de se brûler lorsque l'on pique dans le boudin ----> jets de graisse.

Bonsoir Zinnia ,
Dommage que tu n'as pas été milicien en 1952   24 mois de service puis  à 21 mois et après 18 mois
Demandes à Carlo et autres miliciens s'ils regrettent leurs voyages à bord ?
malgré les   et la discipline de l'époque
Amicalement,
Roger

Une grande différence entre la nourriture du bord et en caserne, quoi que dans les mess casernes cela c'est grandement amélioré ALL RANG au lieu des 3 mess par le passé.
Nous pouvions très bien manger dans une caserne et mal dans l'autre selon la taille de celle ci, du gestionnaire etc... Donc difficile de juger ce que chacun à connu
Pour le bord si pas bon = plainte et moral bas en mer.
Pour la caserne, il était possible de se débrouiller.

Comme impossible de comparer question repas à l'équipage comme dans les années 80-90 sur un dragueur qui fait 200 à 250 jours de manœuvre par an et avant=(4repas chaud par jours) ou à  Stanavforchan- Stanavforlant .
.
Pas sur que actuellement avec les mêmes menus des années 50-60 nous ne ferions pas le mur.
Aussi les menus et gouts ont changé aussi que à la maison.

Roger B. a écrit:

Bonsoir Zinnia ,
Dommage que tu n'as pas été milicien en 1952   24 mois de service puis  à 21 mois et après 18 mois
Demandes à Carlo et autres miliciens s'ils regrettent leurs voyages à bord ?
malgré les   et la discipline de l'époque
Amicalement,
Roger

Avis aux modérateurs , je crois que je me suis trompé de sujet
pouvez le mettre sur le site concerné
Amicalement
Roger

eh oui ont ne peut pas dire que c'était le top mais ont en est pas mort !comme j'avais connus l'internat a Izel j'étais préparé a la malbouffe !!! pour m'être occupé du réfectoire a Cedra pendant quelque temps (on allait en combi chercher les cantinières a Bosman)ce n'était pas trop mal quand même ..on attendait un patissier qui faisait son passage pour fourguer ces invendus !! devait être le cousin du coiffeur de Cedra (magouille & co)par-contre on devait acheter les spray contre les caquerlack par palette !!n'empêche cela ne ferait pas de tort a la génération actuelle de refaire l'armée.
a bientôt boubou

wouard a écrit:

Zinnia,
Ayant lu ton post, je me suis dis que tu as eu de la chance de faire ton service en 72, car si tu avais connu la bouffe en 59 tu aurais déserté.
A titre d'information un des menus dont je me rappelle était : pdt noire, purée de chou-fleur et saucisse de francfort. Et malgré tout nous étions contents d'avoir à manger.
Sans rancune  wouard :

En 59, je mangeais chez ma maman et je jouai au docteur avec ma petite voisine