Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (1)

Bonsoir et merci, Olivier.

Ne perdons pas patience ; ils vont bien finir par nous le retrouver...
Amitiés.

Xavier

L"équipement du RV Atlantis

https://twitter.com/MT_Consult/status/938586513868296193

Xavier MONEL a écrit:

Bonsoir et merci, Olivier.

Ne perdond pas patience ; ils vont bien finir par nous le rretrouver...
Amitiés.

Xavier

Bonsoir Xavier,

Oui, espérons, en tous cas ils ont élargi le zone de recherche vers le nord... pour cela, is se basent sur le trajet "probable" que le sous-marin suivait au moment de sa disparition, mais a-t-il coulé directement ?

Le navire Austral recherche désormais en eau profonde au nord-est de l’appel d’Iridium (pin vert). Le cercle rouge est est celui de l'enregistrement de l'« explosion », le pourpre est est celui du message de confirmation et le bleue celui de la dernière position confirmée avant l’appel de l’Iridium. Le cercle gris est celui d'un hypothétique appel à 15:36 le 11/15.

https://twitter.com/MikeChillit/status/939563516528295936

- le ARA ISLAS MALVINAS (équipé du ROV russe "Panther Plus" qui peut descendre jusqu'à 1.000 mètres) retourne à Base navale de Puerto Belgrano pour se réapprovisionner et pour embarquer du nouveau matériel de recherche ?

- le ARA PUERTO ARGENTINO (il a été équipé d'un système pour tracter un sonar à balayage latéral de l'us navy)

- sont sur la zone : le RV CABO DE HORNOS (Chili), le RV ARA AUSTRAL (Argentine), le RV VICTOR ANGELESCU (argentine), le HMS PROTECTOR (UK), le RV YANTAR (Russie, équipé de 2 mini sous-marin "habités" pouvant descendre jusqu'à 6.000 mètres), le RV ATLANTIS (USA, équipé du ROV CURV-21 qui peut descendre jusqu'à 6.000m) et la corvette ARA Robinson (Aregentine, qui a embarqué un petit "ROV Falcon" russe qui peut descendre jusqu'à ??? mètres)

le ARA PUERTO ARGENTINO (équipé d'un sonar à balayage latéral) arrive sur la zone de recherche

vue des secteurs sondés par les navires dans la zone de recherche :

https://twitter.com/MikeChillit/status/939597858172481538

Citation :

"Ayer, un grupo de marines norteamericanos -que llegaron hace dos semanas hasta la Patagonia para sumarse al operativo- trabajaban arriba del buque ARA Puerto Argentino."

Je pense que le ROV Sibitzky (qui peut descendre à 600 mètres de profondeur) qui était embarqué sur le navire Skandi Patagonia (qui a été retiré de l'opération) a été transféré sur le ARA Puerto Argentino !?

le navire chilien RV CABO DE HORNOS à terminé sa mission, traduction google :

Citation :

Le navire "Cabo de Hornos" de la marine chilienne termine sa mission de recherche pour le sous-marin argentin ARA "San Juan" (9.12.2017)

Après un travail intense qui comprenait la navigation de près de 5 mille kilomètres et plus de 340 heures de recherche effective, la commission a désigné le navire scientifique chilien AGS-61 "Cabo de Hornos" pour soutenir la marine argentine dans les tâches afin de localiser le sous-marin ARA "San Juan", qui a disparu le 15 novembre dans l'océan Atlantique avec 44 marins à son bord.

La décision du retour du navire chilien dans le pays a été prise en considération du fait que la marine argentine avait modifié le protocole de sauvetage, maintenant pour rechercher les restes et que le travail de prospection et de cartographie des fonds marins assignés à notre pays est terminé avec succès, réussissant à couvrir une superficie de 2 700 kilomètres carrés, soit l'équivalent de 200 000 terrains de football, établissant 3 points possibles où le sous-marin coulé pourrait être, laissant les analyses visuelles entre les mains de la marine argentine.

Bien que des navires de différents pays aient participé aux tâches d'aide à la marine argentine, l'AGS "Cabo de Hornos" et l'ARA "Islas Malvinas", étaient les seuls qui continuaient à travailler jour et nuit dans la zone.

Il est à noter que dans les recherches effectuées, le «Cabo de Hornos» a pu démontrer toutes les capacités technologiques des relevés 3D des fonds marins dotés de son équipement sonar et permettant de localiser des objets à grande profondeur dans l'océan. Cet équipement place le navire parmi les 5 plus modernes et mieux équipés au monde pour ce type de travail.

Le Capitaine César Miranda, commandant du navire "Cabo de Hornos" a souligné que "dans le cadre du travail incessant et des multiples contacts établis, nous avons trouvé un objet à 940 mètres de profondeur à travers les échos du navire. , il reste à la marine argentine avec le soutien du navire russe "Yantar" et un robot sous-marin, précisent la nature de l'objet détecté, mais en tout cas nous sommes fiers du travail long et sacrificiel accompli pour soutenir un pays ami ".

Le commandant Miranda a ajouté que «nous nous sommes retirés de notre zone de recherche assignée avec la satisfaction d'avoir fourni notre meilleur effort et notre professionnalisme, aidant avec notre technologie disponible dans la recherche d'ARA San Juan».

Le navire se trouvait dans la zone de Chiloé et a terminé une croisière scientifique de 30 jours, quand il a reçu l'ordre de se rendre à Punta Arenas pour soutenir la marine argentine. C'est ainsi qu'ils ont effectué un ravitaillement de 7 heures à un travail de nuit, et l'équipage de 45 a ajouté 5 de plus du service hydrographique et océanographique de la marine (SHOA), afin d'avoir une équipe multidisciplinaire pour traiter de manière optimale avec les tâches planifiées. Une fois tout en norme, ils ont continué avec le transit vers l'Atlantique.

Le "Cabo de Hornos" est prévu pour faire un arrêt logistique à Punta Arenas, avant de retourner à son port d'attache, situé à Valparaíso.

Source : ovejeronoticias.cl

traduction google :

Citation :

La zone de recherche est un "cimetière" de navires oubliés (9.12.2017)

Au cours des 25 jours de disparition de l'ARA San Juan, les navires qui ont participé à l'opération de recherche internationale, immense et coûteuse, ont réussi à détecter sept «contacts» sur le fond de l'océan. Ces pistes, qui ont d'abord généré des illusions de pouvoir trouver le sous-marin et ses 44 membres d'équipage, sont restées pour l'instant des illusions.

Cinq d'entre eux ont déjà été écartées, dont quatre étaient des bateaux de pêche coulés. Ce ne serait pas surprenant si les deux autres l'étaient aussi. C'est que la zone ratissée, un vaste secteur de 40 kilomètres carrés avec des profondeurs variant entre 200 et 1000 mètres, est un véritable cimetière de navires oubliés qui démontre le problème de la pêche illégale dans la mer d'Argentine.

Ces deux résultats ont été ajoutés à trois autres qui avaient déjà été vérifiés les jours auparavant. Le 1er décembre, ils ont découvert un bateau de pêche chinois coulé à 200 mètres et à 170 mètres un bateau de pêche dédié à la pêche au calmar, probablement illégal parce qu'il n'apparaissait sur aucun registre. Le contact à 477 mètres un « objet cylindrique » d'environ 62 mètres de long détectés par le navire de recherche argentin "Angelescu" avait déclenché les alarmes avec des mesures similaires au ARA San Juan, mais on a finalement déterminé que l'hélice ne correspondait pas celle du sous-marin. C'était un autre bateau de pêche.

« Pas étonnant que tant navires engloutis apparaissent. Dans la région de la mer d'Argentine qui va de Puerto Madryn au sud est l'une des plus grandes pêcheries (zone maritime où les pêcheurs tirent leurs filets pour l'abondance de poissons) dans le monde, » a expliqué à Clarín Fernando Morales, expert naval et vice-président de la Ligue navale argentine.

"Les images ne correspondent pas au sous-marin San Juan, nous avons une vidéo (d'un objet) à 940 mètres, qui selon les Russes est une formation rocheuse avec des incrustations", a déclaré hier Enrique Balbi, porte-parole de la Marine. en référence à l'un des deux contacts qui ont été examiné dans les dernières heures par le mini submersible Panther Plus. L'autre à 833 mètres, tel que précisé par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie, correspondait à un chalutier coulé .

Selon les normes établies par l'Organisation maritime internationale, ces bateaux sont libres de faire ce qu'ils veulent en dehors des 200 milles. Le problème, explique Morales, est que « les poissons suivent les hauts-fonds » et les poissons se déplacent dans et hors de la zone économique exclusive de l'Argentine par les courants océaniques. C'est pourquoi là, à la limite qui marque cette ligne imaginaire de 200 milles, une flotte de pêche illégale attend le bon moment pour traverser illégalement. Au total, on estime qu'il y a plus de 450 bateaux chaque année qui effectuent ces manœuvres, qui leur permettent de prendre plus d'un demi-million de tonnes de poissons et crustacés. La grande majorité est d'origine chinoise, bien qu'il existe aussi des japonais, des taïwanais et des espagnols.

«Quand ils voient approcher un navire de l'Armée ou de la Prefectura, ils s'échappent de nouveau de l'autre côté, ce qui explique comment ils ont fonctionné depuis des décennies», ajoute Morales. Alors que les navires sont rapides et maintiennent un système de communication huilé les uns avec les autres pour s'alerter sur la possibilité d'être capturés, certains ne parviennent pas à s'échapper à temps. C'est alors que, avant de céder, de perdre la cargaison et de devoir payer des amendes coûteuses, ils préfèrent couler leur bateau: «Ils se déplacent toujours en une flotte, après avoir ouvert la vanne, ils ont deux heures pour se rendre à un autre navire. Ils sauvent la cargaison et beaucoup d'entre eux perçoivent même l'assurance, la plupart de ces bateaux ne se conforment pas aux règles de sécurité, donc la Prefectura ne les laisserait pas repartir.

Bien qu'une partie des naufrages dans l'Atlantique Sud ait à voir avec cette méthode, beaucoup d'autres bateaux finissent dans le fond en ne pouvant pas supporter les rigueurs de l'océan. Selon Horacio Tobías, ancien chef à bord de l'ARA San Juan, la mer d'Argentine "est très courageuse": "Il y a de très hautes vagues et de nombreux jours suivis d'une tempête, cela décime l'équipage, mais si le navire est laissé sans propulsion, peut le gonfler.

Précisément, lors de son voyage d'Ushuaia vers Mar del Plata, l'ARA San Juan patrouillait dans la zone économique exclusive de l'Argentine. "Pour détecter un navire illégal, il doit le filmer et les images sont prises avec le périscope. Parfois on appelle des avions ou des bateaux pour le capturer »", dit Tobias, attendant la vérification des deux autres contacts.

Source : clarin.com

Image prise par le Russes ROV Phanter emarqué sur le ARA « Islas Malvinas » d’un objet détecté avec le sonar actif de la corvette ARA « Robinson »



Remarque : Je suppose que la corvette a embarqué un sonar tracté à balayage latéral parce qu'aussi non je ne vois comment la corvette aurait pu détecter une épave sur le fond de l'océan

le ARA ISLAS MALVINAS (équipé du ROV russe "Panther Plus" qui peut descendre jusqu'à 1.000 mètres) approche de la Base navale de Puerto Belgrano où il se réapprovisionnera avant de retourner sur la zone de recherche ?