F930 : Les Photos

De helikopter is een onmisbaar deel van de uitrusting van een schip dat gebruikt wordt voor allerhande doeleinden: Search and Rescue, het transport van personen en materieel, het inwinnen van informatie over de omgeving… Aan boord van de Leopold 1 hebben we voor deze opdracht een Alouette III ingescheept, een betrouwbaar toestel dat al 50 jaar dienstdoet binnen de Belgische marine. Met meer dan 60 vlieguren tot nu toe gedurende deze inzetperiode mag je gerust van het werkpaard van de lucht spreken. Naast een goed opgeleide piloot heb je een sterke technische ploeg nodig om de helikopter vliegklaar te houden. Het groot aantal uitgevoerde vluchten is het bewijs bij uitstek van het goede werk dat door de volledige heliploeg geleverd wordt.


L'hélicoptère est un élément indispensable de l'équipement d'un navire, utilisé à toutes sortes de fins: Search and Rescue, le transport de personnes et de matériel, la collecte d'informations sur l’environnement... A bord du Léopold 1, nous avons embarqué pour cette mission une Alouette III, un hélicoptère fiable qui est en service depuis 50 ans au sein de la Marine belge. Avec plus de 60 heures de vol à ce jour pendant cette période de déploiement, on peut facilement parler de cheval de trait de l'aviation. Outre un pilote bien formé, une équipe technique solide est nécessaire pour maintenir l'hélicoptère prêt à voler. Le grand nombre de vols effectués est la preuve ultime du bon travail réalisé par l'ensemble de l'équipage de l'hélicoptère.







Thierry

Thierry

Thierry

photos de Sebastien Poncelet







Thierry

Thierry

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Thierry

Thierry

Thierry

Thierry

Thierry

reportage Sébastien poncelet

Thierry

très belles photos, surtout l'aspirateur sur le pont

La frégate Léopold 1 prend le chemin du retour et va quitter le Golfe persique
Société

belga
Publié le 23-04-21 à 14h56 - Mis à jour le 23-04-21 à 14h56

La frégate F930 Leopold I de la Marine a pris vendredi le chemin du retour dans le cadre d'une longue mission d'escorte du porte-avions français Charles de Gaulle, en quittant le port d'Abou Dhabi avant un (bref) retour prévu à sa base de Zeebrugge à la mi-mai et un nouveau déploiement dans l'Atlantique nord, a-t-on appris de sources militaires.



Le navire et son équipage de quelque 160 personnes avaient quitté la base navale de Den Helder (nord-ouest des Pays-Bas) le 18 février et a rejoint, en Méditerranée, la Task Force 473 formée autour du Charles de Gaulle, pour une mission baptisée Clemenceau 2021 par la marine française.

Le 6 mars, après plus de vingt jours d'opérations en Méditerranée, le Groupe aéronaval (GAN) rassemblé autour du porte-avions, a traversé le canal de Suez, avant de rejoindre le Golfe persique.

Le Léopold I s'est ensuite joint à l'opération Agénor, le volet militaire de la mission européenne de surveillance maritime dans le détroit d'Ormuz (EMASOH), dont le quartier général est installé aux Émirats arabes unis (EAU).

Le navire a quitté vendredi cette zone en compagnie du Groupe aéronaval pour amorcer son retour vers la Belgique, a précisé le service de presse de la Défense à l'agence Belga.

Lors de son retour, la frégate doit encore participer durant deux jours à l'opération EMASOH avant de soutenir temporairement l'opération européenne EUNAVFORMED Atalanta lors de son passage dans le golfe d'Aden et l'opération Sea Guardian de l'Otan lors de son passage en Méditerranée.

Thierry

Technieker zijn aan boord van een fregat is iets bijzonders. We staan dag en nacht paraat om het schip varende en leefbaar te houden. Dit begint ’s morgens vroeg al door het voorzien van elektriciteit om het licht aan te zetten, warm water om te kunnen douchen… Dit zijn maar enkele zaken, want naast het leefbaar houden moet het schip natuurlijk ook varen. Hiervoor heeft het schip 2 dieselmotoren voor lagere snelheden, gebruikt om zuinig langdurige verplaatsingen te doen, en 2 Rolls Royce gasturbines voor wanneer we het gaspedaal willen indrukken. Dit maakt het mogelijk om snelheden tot 29+ knopen te halen (omgerekend is dit 53.7 km/u). Dit is nodig om o.a. vliegdekschepen te kunnen bijhouden. We vormen met 35 personen het 2e grootste departement van de Leopold 1 en bestaan uit drie secties: Voortstuwing, Platform en Energie. Als technieker kan je ‘dagman’ of wachtloper zijn. Wachtlopers hebben als hoofdtaak om de technische systemen vanuit het hart van het schip te bewaken: de technische centrale. Deze is 24H/24H bemand om alle technische systemen in de gaten te houden. Een ‘dagman’ is een technieker die geen wacht moet lopen, maar preventieve of correctieve onderhoudstaken moet uitvoeren op de technische installaties.
Alle taken, werkzaamheden en herstellingen die het Technisch Departement uitvoert houden het schip varende, elk moment van de dag, waar ook ter wereld. Op deze manier dragen ze hun steentje bij aan het operationeel houden van het schip.

Être ingénieur à bord d'une frégate est quelque chose de spécial. Nous sommes en veille jour et nuit pour maintenir le navire en navigation et habitable. Cela commence tôt le matin en fournissant de l'électricité pour allumer les lumières, de l'eau chaude pour se doucher... Ce ne sont là que quelques éléments, car en plus de maintenir le navire habitable, il doit bien sûr aussi naviguer. Le navire est donc équipé de deux moteurs diesel pour les basses vitesses, utilisés pour les voyages économiques sur de longues distances, et de deux turbines à gaz Rolls Royce pour les moments où nous voulons appuyer sur l'accélérateur. Cela permet d'atteindre des vitesses de 29+ nœuds (convertis en 53,7 km/h). C'est nécessaire pour suivre des porte-avions par exemple. Avec 35 personnes, nous formons le 2ème département le plus grand du Léopold 1 et nous sommes composés de trois sections : Propulsion, plateforme et énergie. En tant que technicien, vous pouvez être un "homme du jour" ou un "homme du quart". La tâche principale des « hommes du quart » est de surveiller les systèmes techniques depuis le cœur du navire : la centrale technique. Ce dernier est occupé 24H/24H pour garder un œil sur tous les systèmes techniques. Un "homme de jour" est un technicien qui ne doit pas faire de veille, mais qui doit effectuer des tâches de maintenance préventive ou corrective sur les installations techniques.
Toutes les tâches, travaux et réparations effectués par le département technique permettent au navire de continuer à naviguer, à tout moment de la journée, partout dans le monde. Le département technique contribue ainsi à maintenir le navire opérationnel.





Thierry