Au jour le jour

3 - La Kriegsmarine s'éveille
Le 29 décembre Hitler avait convoqué trois conférences de situation. L'une de celles-ci érait prévue pour éclaircir un des fréquents différents qui opposaient le maréchal Göring à l'amiral Raeder. Elle portait cette fois sur la situations des transports de ravitaillement en Méditerrannée pour l"Afrika Korps. Le contre amiral Krancke, offocier de liaison de l'amiral au grand quartier général d'Hitler avit été chargé de défendre le point de vue de la marine.
Göring qui n'était pas convoqué arriva inopinément ce qui mit Krancke mal à l"aise de devoir se confronter directement à lui. Il sait l'occasion pour traiter immédiatement du cpnvoi qui venait d'être repéré par l'U 354 de Kapitän Leutnant Karl Heinz Herschleb et il proposa immédiatement de l"attaquer.
A l'époque la Kriegsmarine stationnait une force en Norvège du nord pour deux raisons principales, la première une Opération REGENBOGEN éventuellement prévue pour satisfaire Hitler qui croyait à tort à un projet anglais de débarquement dans la région, la deuxiéme une Opération Aurora envisagée pour l'envoi en guerre de course en Atlantique du cuirassé de poche Lützow ex Deutschland. A ces fins le  croiseur lourd Admiral Hipper et le Lützow accompagné de six destroyers attendairnt ancrés dans le sombre fjord d'Atltenfjord , un ancrage isolé peu propice au dévellopement de l'esprit combatif de leurs équipages.
L'attaque du convoi fut alors décidée et l'appareillage de la flotte fut calculé pour intercepter le convoi le 31 au petit matin.

] 4 - Regenbogen appareille.
Le 30 décembre la force "Regenbogen", c'est à dire le Hipper, le Lützow et son escorte de six puissants destroyers une fameuse puissance de feu, appareilla après quatre hrures de chauffe pour son point de rencontre avec le convoi qui naviguait alors à 8 noeuds dans le sud des îles aux Ours. pour une durée de route estimée de seize heures.
Il est important de rappeler à ce stade que les amiraux allemands, contrairement aux britannique qui étaient fonceurs par tradition, étaient dans une certaine manière limités pour leurs prises de décisions. ils avaient ordre de ne pas risquer des bâtiments importants bâtiments quand ils avaient à faire avec une force égale ou supérieure. Ceci était du à leurs gouvernants et principalement de Hitler. Ceux-ci étaient des continentaux qui en général n'avaient guère notion de l'importance du contrôle des mers dans un conflit mondial. La perte d'un bâtiment important était considérée par eux comme une perte de prestige néfaste à une bonne propagande

Un jour de grande bataille
 Voici avec un jour de retard le dernier jour de la saga du convoui JW51B va voir la bataille victorieuse de la Royal Nav malgré la grosse supériorité d'armement de la force allemande. L'amiral Kümnetz ddécida de prendre le convoi en tenaille en l'attaquant par le Hipper et une escorte de deux destroyers par le nord ouest et par le Lützow et les qautre autres destroyers au sud ouest. Une attaque directe lui aurait fort probablement été plus favorable grâce à ses armements nettement supérieurs.
Quand Sherbrooke eut repéré ces deux forces au radar , il détacha l'Obduate qui était à tribord attière du convoi en in,vestigation et ordonna à l'Achate qui était en babprd arrière de tendre un nuage de fumée decouvtit le convoi par un rideau de fumée. Quand à lui il fonça vers le Hipper avec ses deux consorts Orwelle et Obedient, tout en alertant une Force R détachée au nord du convou par l'Amirauté : deux croiseurs les HMS Sheffield et HMS Jamaica sur lequel le contre amiral Robert Burnett avait hissé son pavillon.
A ce moment le Hipper ouvrit le feu sur l'Obedient et puis sur le convoi que Sherbrook avait fait virer vers le sud est. L'Onslow fut alors durement touché et son commandant grièvement blessé.Son 1er lieutenant
le lieutenant de vaisseau prit alors le commandement du bâtiment et avisa l'officier le plus ancien, le nson tir sur l'Achate qui fut gravement touché et ne tarda pas à couler, première voctime de la bataille. La Force R qui s'approchait décmencha son tir sur le Hipper qui vira de bord pour tenter d'identifier ces nouveaux opposnts. puis rompit le combat et se retira par crainte des dangers de torpillage par les destroyers difficiles à repérer dans la pénombre règnante et les bancs de brumeN
Deux autres bâtiment furent encore perdus, l'anglais HMS Bramble et l'allemand le grand destroyer dans la mauvaise visibilité Friedrich Eckholdt qui n'avait pas réalisé qu'il s'approchait du Jamaica qu'il avait pris pour le Hipper et qui fut annihilé corps et biens sans avpor même lui même pouvoit ouvrir le feu.

[5 - L'attente du Führer
  Le 1er janvier 1943 la force de l'amiral Kümnetz battait en retraite vers la Norvège depuis la veille vers midi. Cette retraite était ptobablement causée par les fameux ordres de ne pas risuer des bâtiments importants en cas de rencotontre avec des bâtiments importants au risque de se faire couler. La fameuse" perte de prsetige pour la propagande"
Il naviguait en silence radio pour rentrer plus au sud dans la baie de Bergen pour se ravitailler don une route plus longue.
En décembre 1942 le Führer commençait à être nerveux, la guerre ne se déroulait plus comme il l'avait cru et il avait besoin de victoires. Montgomery avait déclenché le 23 octobre à El Alamein une puissante offensive qui repoussait l'Afrika Korps vers Tripoli, le 8 novembre les alliés avaient débarqué sur les c^tes ddu Maroc et en Algérie à sa toute grande surprise, il était évident que ces forces allaient bientôt venir menacer les arrières de ses troupes africaines, enfin sa sixème armée était encerclée à Stalingrad dans des conditions de ravitaillement insuffusant et de remps glacial et subissait les terribles assauts de l'armée rouge de venue très puissante.
Il attendait donc avec impatience les résultats de l'attaque du convoi et ne cessait de houspillier l'amira Kranke qui ne pouvait que tenter de lui expliquer les raisons du silence radio d'une flotte à la mer.
(Suite et fin : Le 4 janvier la fureur du Führer

Je crois que c'est un ndestroyer de cette classe qui tient le rôle du Caine dans leilm "Ouragan sur le "Caine" qu'il m'arrive parfois de regarger tant le trouve qu'il donnr une si bonne idée de la vie dans la marine américaine de ce temps là