BREST

Frank Zappa a écrit:

le Baron a écrit:

Josée, pas connu, mais j'ai connu Cri-Cri, qui vieillissait déjà pas mal, mais elle avait recruté des jeunes filles pour reprendre le flambeau. Ma carte Visa s'en souvient, ahem...

un conseil: évitez les mastroquets comme "le Monocle" ou "le Stendhal", gros pièges à cons...

TSHAW!

Laurent

Salut Laurent,
Je vois que monsieur connait ses classiques
Pour Valkiri Après la Tour d'Auvergne, Josée a repris un hôtel sur la corniche "hôtel du Goulet", du temps où on allait à Brest avec le A963, c'était la "cantine" d'Armand Selvais, par après elle a repris un petit restaurant sur la place à droite juste avant le pont de Recouvrance, maintenant je ne sais pas !!!!!
Mon ami le Bosco et d'autres avons écumé cette ville, je pense que nous saurions écrire un livre

LO Pour Josée: maintenant elle doit être "retraitée" même avec la future loi Sarkosi( travaillé jusque 67 ans ) ;
déjà en 1959/60 elle "évoluait" du côté de la corniche il ne fallait pas traverser le pont de la recouvrance ,un peu comme a Ostende avec le pont de la chapelle .Bye bye

à vous tous,
Comme je le constate, vous ne parlez que de bistroquets,
Et des lendemains très durs.
Il y avait aussi le Cercle des Officiers Mariniers et ses chambres acceuillantes.
Réception au Cercle avec le F910.



Assis : Declercq André (Président du F910)
Debout : ? (Président du Cercle) , Boistelle Willy (moi), Gathot Daniel
A+.

L O Willy,

André était des plus connu au COM depuis son stage sur le Duperre et après le premier passage avec le F910, voir les pièces qui sr trouve dans les vitrines à l'entrée du bar

brrrrrrrrrrrrrrrr j,etais a brest en 1962 ammare pres du curasse le Richelieu a minuit je suis rentre a bord du m 929 heist avec un sacre mal de crane brrr trop de pastis

Bonjour,

Avec les MSI on était toujours amarré au poste "Yankee" mais je me rappelle aussi du téléphone sur le quai pour appeler les "taxis Brestois" c'était le 80.43.43



Dany

En 79 j' y étais avec le godétia et on avait notre QG à la Chouette, un bistrot dans une rue perpendiculaire à la rue de Siam, c'était un cul de sac qui se terminait par un escalier.

L O En recherchant hier les instructions nautiques pour le goulet de Brest (alignement du Minou avec le Portzic) j'ai trouvé une photo de "La tour d'Auvergne" célèbre par Josée ; remarque il ne fallait pas d'alignement pour se rendre dans cet établissement comme dans 3/4 des cas nous étions amarrés au quai des flottilles ont ne devait même pas
traversé la Penfeld (ni le pont de la Recouvrance).


Que de bons souvenirs

Salut  (merci les cols bleus et pompons rouges)

ça ne me rajeunit pas mais que de bons souvenirs me reviennent en mémoire par ces temps sombres

Que de bons souvenirs, ce qui était bien, c'est que son mari, taximan, pouvait rentré dans l'arsenal et nous déposait près de notre jetée.
Après elle a ouvert un autre établissement (le goulet, je ne suis plus sur) mais c'était bien moins pittoresque.

LO
Cet autre établissement était l’hôtel du Goulet

Pont de Recouvrance

Histoire
Le pont de Recouvrance
L'histoire de la ville de Brest se construit notamment autour du franchissement de la Penfeld, rivière ou bras de mer séparant le centre ville du quartier de Recouvrance.
Pendant des siècles, le passage d'une rive à l'autre s'effectue en bateaux. Les brestois doivent s'acquitter d'un droit pour traverser. Des témoignages nous rapportent les dérives courantes des bateliers, souvent ivres, laissant les commandes aux passagers. En outre, les accidents sont fréquents et chaque noyade remet en question le système des « passiers ». Ce n'est qu'en 1836 que les gouvernants acceptent enfin d'étudier des propositions de conception d'un pont suite à des pétitions signées par les habitants de Recouvrance.
Après maints projets délibérés et refusés, le Conseil Général des Ponts et Chaussées approuve celui des ingénieurs Cadiat et Oudry : Le 23 juin 1861, le « Grand Pont » est inauguré.
Afin de répondre aux exigences de la Marine, ce pont est constitué de deux volées tournantes qui permettent ainsi aux bateaux à haute mature de remonter la Penfeld. Cette rotation est commandée par des cabestans à bras.
Septembre 1944, le Pont National s'écroule dans la rivière pendant les bombardements de la libération de Brest de l'occupation allemande. L'armistice du 8 mai 1945 n'est pas signé, les autorités nationales décident de la reconstructions de deux ponts, un fixe sur lequel la route nationale 12 passera et l'autre, mobile, au cœur de la ville.
Pétition et manifestation réclament ce lien indispensable. Toutes les parties se mettent finalement d'accord pour un pont levant en 1948 alors que son édification ne commence qu'en février 1950. C'est le 17 juillet 1954 qu'a lieu l'inauguration officielle du plus haut pont levant d'europe.
La travée mobile, poutre en treillis en acier mesure 88 mètres de long et pèse 525 tonnes. Elle se déplace sur quatre pylônes en béton armé s'élevant à 64 mètres au-dessus des quais. Trois positions sont possibles : L'ouverture l'élève à 53 mètres au-dessus du niveau des basses marées ; La fermeture est à 27 mètres ; Et une position de sécurité abaisse la travée au niveau de l'eau pour qu'elle puisse être évacuée et mise à l'abri ...
Les débats à la Mairie portent sur le choix de la couleur de la partie centrale et le nom du nouveau pont. Ils oscillent entre bleu, rose ... ou gris qui l'emporte avec 19 voix contre 18 et la peinture sera refaite tous les 8 ans. La plaque de commémoration de la libération ne sera apposée, sur la rive droite, qu'à l'occasion de « BREST 1992 ». Au mois de juillet 2004, nous avons célébré les 50 ans du PONT DE RECOUVRANCE qui participe à la renommée internationale de la Ville de BREST