Sint-Kruis dans les années 60...

Jean Mi
C'était qui le "chef de Cédra adoré de tous?
Ce doit évidement être ce cher Zwan mon chef vénéré.
Je m'imagine bien la scène et le cirque qu'il devait faire avec ça, du pain béni pour lui.
Pourtant moi je n'ai jamais eu de gros problèmes avec lui (au contraire même il m'a évité "certains ennuis" mais il faut dire que moi et mes copains matelots de pont de l'époque faisaient partie de son jeu et qu'il avait besoin de nous aussi.

Roger

Salut JeanMi,

Ce devait être vraiment un "chef adoré".
En '74, j'ai connu un matelot qui était dans l'atelier à côté de l'atelier élec. il s'était réengagé après quelques années de son premier passage à la ZM-FN et portait un pantalon de tenue de travail en patte d'éléphant, avec le rabat ventral. On ne lui a jamais fait de remarque pour le port d'un ancien pantalon retiré du service. Pourtant, le RSM était connu, aussi pour "règlement, règlement". Comme quoi, les époques se suivent mais ne se ressemblent pas. Va comprendre ! Il y tenait comme à la prunelles de ses yeux. " - Pantalons d'ancien" qu'il disait.
à +

JVD a écrit:

Salut Jean Mi.
Sur la photo José et l'instructeur Keehr, l'instructeur à pour nom Régis Vandermeule de Mouscron.
JVD.

Merci Jacques, j'ai rectifié.

Par un bel après-midi ensoleillé d’août 1968, nous partîmes vers le stand de tir. Nos instructeurs trouvèrent que notre façon de marcher ressemblait plus à un troupeau de bovins qu’à une troupe disciplinée. Ils nous arrêtèrent, à l’entrée d’un petit village et nous obligèrent à mettre notre masque à gaz.
Comme la température était élevée, nous avions très chaud. L’un d’entre nous eut la bonne idée de nous faire comporter comme un troupeau de bovins, puisque tel était le cas, dixit nos instructeurs, et il poussa un meuglement. Meuglement que nous reprîmes tous en chœur.
Devant un tel tohu-bohu dans le village, nos instructeurs nous donnèrent l’ordre de stopper, et d’enlever directement nos masques à gaz.

Au retour, ils eurent l’idée incongrue de nous placer entre deux pelotons néerlandophones.
La marche étant monotone, nous décidâmes de mettre, en application, une petit film vu la veille (Comment s’évader d’une colonne en marche : Espacer de plus en plus les rangs afin que la colonne s’allonge et de permettre à un grand nombre de s’échapper lors d’un virage)
Nous appliquâmes, à la lettre, la méthode, mais les néerlandophones n’avaient pas, soit visionné le film, soit le même humour que nous. Et de ce fait le colonne en tête était bien alignée, puis nous qui allongions la dite colonne, et le dernier peloton qui ne comprenait rien, et essayait de garder, tant bien que mal, le pas, et voyait le premier peloton s’éloigner de plus en plus..
Après une engueulade de nos instructeurs, nous reprîmes la marche en alignement parfait.
Mais comme ce jour là, nous avions l’esprit guilleret, nous resserrâmes les rangs, au point d’être coller les uns contre les autres. Et comme le premier et le troisième peloton marchait au rythme imposé, c'était le foutoir complet.
Réengueulade des instructeurs, et déçus par la tournure des évènements, nous reprîmes notre marche jusqu’à la caserne, comme tout bon soldat aurait dû le faire depuis le début.

JeanMi a écrit:

Par un bel après-midi ensoleillé d’août 1968, nous partîmes vers le stand de tir. Nos instructeurs trouvèrent que notre façon de marcher ressemblait plus à un troupeau de bovins qu’à une troupe disciplinée. Ils nous arrêtèrent, à l’entrée d’un petit village et nous obligèrent à mettre notre masque à gaz.
Comme la température était élevée, nous avions très chaud. L’un d’entre nous eut la bonne idée de nous faire comporter comme un troupeau de bovins, puisque tel était le cas, dixit nos instructeurs, et il poussa un meuglement. Meuglement que nous reprîmes tous en chœur.
Devant un tel tohu-bohu dans le village, nos instructeurs nous donnèrent l’ordre de stopper, et d’enlever directement nos masques à gaz.

Au retour, ils eurent l’idée incongrue de nous placer entre deux pelotons néerlandophones.
La marche étant monotone, nous décidâmes de mettre, en application, une petit film vu la veille (Comment s’évader d’une colonne en marche : Espacer de plus en plus les rangs afin que la colonne s’allonge et de permettre à un grand nombre de s’échapper lors d’un virage)
Nous appliquâmes, à la lettre, la méthode, mais les néerlandophones n’avaient pas, soit visionné le film, soit le même humour que nous. Et de ce fait le colonne en tête était bien alignée, puis nous qui allongions la dite colonne, et le dernier peloton qui ne comprenait rien, et essayait de garder, tant bien que mal, le pas, et voyait le premier peloton s’éloigner de plus en plus..
Après une engueulade de nos instructeurs, nous reprîmes la marche en alignement parfait.
Mais comme ce jour là, nous avions l’esprit guilleret, nous resserrâmes les rangs, au point d’être coller les uns contre les autres. Et comme le premier et le troisième peloton marchait au rythme imposé, c'était le foutoir complet.
Réengueulade des instructeurs, et déçus par la tournure des évènements, nous reprîmes notre marche jusqu’à la caserne, comme tout bon soldat aurait dû le faire depuis le début.

Jeanmi

C'est comme dans la trilogie de la 7ème compagnie avec Aldo Maccione, Jean Lefebvre et Pierre Mondy.
Quel rôle jouais-tu, Aldo, Jean ou Pierre?

Suite des photos de José









Notre ami "Cormoran Bleu" se trouve au second rang (3eme gauche)

Dédidaces du peloton de la D.I.P.

Terminé pour les photos de la D.I.P. Suite à bord fu M930 ROCHEFORT

Mercie pour les Superbes fhotos de saint croix ,mais en 1961 en dormait dans des hamac et pas dans des lits

Salut
En 63 dans des lits, belles photos

PLOTON 5 ST CROIS BRUGE AVRIL 196

Dandois
Avril 65 juste quand j'ai quitté St Croix pour La Nautique à Nieuwport.
Le sous off sur la photo n'est il pas Alexis Ledain ?

L O Roger Oui le s/off sur la photo est bien Alex Ledain
Salut

Valkiri
Avec le kepi cachant ses cheveux gris , je doutais un peu. Il a été avec le QM Laloux mon instructeur à TB1.

Roger

Salut !
L'officier le plus à gauche est Delatauwer (orthographe ????) l'autre je ne sais plus !

Fin des années 60, ou début des 70, j'avais rencontré le QMT Laloux à Bruxelles. Il avait quitté la FN et travaillait chez Mobil.

Jomoro
Le QM Laloux était du Luxembourg ...Bastogne je crois . On a déja fait une partie du voyage en train (perm) avec lui .Collectionneur de timbre aussi il avait lancé un club d'échange à St Croix.