M923 Narcis

Bonjour,

Ce qui m'épate vraiment, c'est qu'un petit navire comme un chasseur de mines puisse être déployé en mission durant 6 mois.
Cela ne doit pas être facile pour l'équipage.
Déjà sur une frégate durant 3/4 mois c'était juste.
Alain

voici ce que j'ai trouvé comme écrit sur le retour du narcis

De retour de Libye, le chasseur de mines Narcis est arrivé à Zeebrugge
L'arrivée du Narcis à Zeebruges
Le chasseur de mines tripartite (CMT) "Narcis" de la Marine et son équipage d'une petite quarantaine de personnes sont rentrés samedi à Zeebrugge d'une mission de six mois en mer Méditerranée, dont trois passés au sein de l'opération "Unified Protector" de l’OTAN au large des côtes libyennes.

Le M923 "Narcis" avait appareillé de Zeebrugge le 2 février, sous le commandement du lieutenant de vaisseau de 1ère classe Jurgen Van Daele, pour rejoindre la flottille de l’OTAN "Standing NATO Response Force MCM (Mine Countermeasures) Group 1", le SNMCMG1, une unité multinationale de lutte contre les mines.

Sa présence en Méditerranée a poussé le gouvernement à décider le 18 mars de l'engager dans les opérations militaires en Libye, d'abord dans le cadre d'une coalition de volontaires, puis, depuis début avril, sous le commandement de l'OTAN.

Il a notamment participé au contrôle de l'embargo sur les armes décrété par l'ONU contre le régime du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et pris part début mai à la recherche de mines devant le port libyen de Misrata (ouest), mais sans rien découvrir.

Le bâtiment sera relevé au sein de l'opération "Unified Protector" par un chasseur de mines du même type, le M921 "Lobelia", qui appareillera lundi afin d'être opérationnel sur zone le 12 août.

Belga

thierry

voici le lien sur le retour du narcis

source rtbf

http://www.rtbf.be/info/videos/detail_retour-de-mission-pour-le-chasseur-de-mines-belge-en-libye?id=1158863&mediaset=rtbfinfo--belgique&type=video

thierry

28/10/2011

Des chasseurs de mines de l'Otan de passage à Cherbourg

Cinq bâtiments chasseur de mines de l'Otan ont rejoint Cherbourg ce 28 octobre. Ils préparent une opération de guerre de mine qui se déroulera du 31 octobre au 11 novembre dans la Manche au large de Dieppe.

Le groupe permanent de guerre des mines de l’OTAN a rejoint vendredi 28 octobre 2011 le port militaire de Cherbourg pour préparer une opération de guerre des mines qui se déroulera du 31 octobre au 11 novembre 2011 en Manche au large de Dieppe.

Cinq bâtiments battant pavillon estonien, polonais, norvégien, belge (Narcis) et français participeront ainsi à l’effort d’assainissement des fonds marins et de sécurisation des activités maritimes fourni tout au long de l’année par les plongeurs démineurs et chasseurs de mines de la marine nationale...


Lire la suite et voir les photos sur ---> lamanchelibre.fr

olivier a écrit:

28/10/2011

Des chasseurs de mines de l'Otan de passage à Cherbourg

Cinq bâtiments chasseur de mines de l'Otan ont rejoint Cherbourg ce 28 octobre. Ils préparent une opération de guerre de mine qui se déroulera du 31 octobre au 11 novembre dans la Manche au large de Dieppe.

Le groupe permanent de guerre des mines de l’OTAN a rejoint vendredi 28 octobre 2011 le port militaire de Cherbourg pour préparer une opération de guerre des mines qui se déroulera du 31 octobre au 11 novembre 2011 en Manche au large de Dieppe.

Cinq bâtiments battant pavillon estonien, polonais, norvégien, belge (Narcis) et français participeront ainsi à l’effort d’assainissement des fonds marins et de sécurisation des activités maritimes fourni tout au long de l’année par les plongeurs démineurs et chasseurs de mines de la marine nationale...


Lire la suite et voir les photos sur ---> lamanchelibre.fr

Attention Olivier, ces navires ne font pas partie du même groupe OTAN , et le Narcis est toujours a Zeebrugge erreur sur le navires en fait une flotille de 4 navires, le Lobelia fait partie d'un autre groupe qui se trouve toujours devant la lybie et reste jusquau 31/10 quand j'aurai plus de nouvelles elles seront mise sur le site .

Salut J-C et merci pour l'info

2/11/2011

Opération internationale de guerre des mines en Manche

Du 31 octobre au 11 novembre 2011, le groupe permanent de guerre des mines de l’OTAN (SNMCMG1 - Standing Nato Mine Counter Measures Group) mène une opération de guerre des mines en Manche.

Le groupe de l'OTAN, composé de 3 bâtiments: le bâtiment de soutien Tasuja (Estonie), le chasseur de mines Maaloey (Norvège) et le chasseur de mines Flaming (Pologne), sera complété par un chasseur de mines belge le Narcis et un chasseur de mines français la Croix du Sud durant l'opération....


Lire la suite et voir les photos sur ---> defense.gouv.fr/marine

Le M923 Narcis est ce soir encore à Zeebrugge



@ suivre

bonsoir

ces bateaux ont une belle ligne je peux me tromper mais il me semble qu"ils doivent avoir

une meilleure tenue en mer que les msc ou mso


A+

Info du jour

Une opération de déminage sous-marin en cours au large la baie de Somme

samedi 05.11.2011, 05:07 - La Voix du Nord
| SÛRETÉ MARITIME |

La guerre des mines a repris au coeur de la Manche.

Comme en avril 2010, l'OTAN a engagé plusieurs bâtiments de sa flotte internationale dans une opération de déminage au large de la baie de Somme. Équipés de sonars de coque, quatre chasseurs de mines français, belge, polonais et norvégien, ainsi qu'un navire de soutien estonien passent les fonds marins au peigne fin depuis lundi.
« Leur but : assainirles fonds marins »

Après deux jours d'interruption pour cause de mauvais temps, les bâtiments de l'OTAN ont à nouveau appareillé de Cherbourg, hier, pour reprendre leur travail au large du Tréport. L'opération doit se poursuivre jusqu'à samedi.

« Leur but, c'est d'assainir les fonds marins », résume Christelle Haar, officier de communication à la préfecture maritime de Cherbourg. Un travail de longue haleine. Car, six décennies après la Seconde Guerre mondiale, la Manche est encore truffée d'obus allemands et alliés qui représentent un réel danger pour la navigation. Les systèmes d'amorçage, même endommagés, constituent toujours de vraies bombes à retardement. « On imagine les dégâts qu'une mine provoquerait si elle explosait sous un cargo ou un tanker, poursuit Christelle Haar. C'est aussi un problème pour les pêcheurs qui chalutent des bombes. » En plus des recherches menées par les chasseurs de mines français sur le littoral, l'OTAN organise régulièrement des opérations internationales de ce type.

L'occasion pour ses navires cosmopolites de travailler de concert dans des secteurs sensibles.
Déjà une bombe détectée

Les bâtiments engagés actuellement en Manche se sont vu attribuer chacun des zones de six kilomètres de côté. Ils effectuent des rails pour qu'aucun engin suspect ne leur échappe. En cas de détection, un appareil submersible équipé d'une caméra est mis à l'eau pour approcher l'engin et déterminer sa nature. Des plongeurs démineurs interviennent ensuite pour poser une charge explosive.

Depuis le début de cette campagne, les navires de l'OTAN ont déjà détecté une bombe au large du Tréport. Elle a été pétardée mardi après-midi. •

S. DELAGE

Source : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Boulogne_sur_Mer/actualite/Secteur_Boulogne_sur_Mer/2011/11/05/article_une-operation-de-deminage-sous-marin-en.shtml


@+ Frédo le marin

MIKE a écrit:

ces bateaux ont une belle ligne je peux me tromper mais il me semble qu"ils doivent avoir

une meilleure tenue en mer que les msc ou mso

non, les cmt's ne tiennent pas la mer et mieux vaut ne pas avoir le mal de mer !

Petite info concernant le Narcis : La semaine passée il a eu un problème de sonar et il est rentré à Zeebrugge pour réparer, il est reparti vendredi matin normalement jusqu'au 14 novembre.

olivier a écrit:

MIKE a écrit:

ces bateaux ont une belle ligne je peux me tromper mais il me semble qu"ils doivent avoir

une meilleure tenue en mer que les msc ou mso

non, les cmt's ne tiennent pas la mer et mieux vaut ne pas avoir le mal de mer !

eh,oui,c'est bien,ce que m'avait conté le "baron"lors du trajet,en train,pour zeebrugges.

je confirme la mauvaise tenue en mer

13/11/2011

Après une opération de déminage au large de la baie de Somme, l'OTAN à Boulogne !

Depuis hier et jusqu'à mardi, quatre bâtiments de l'OTAN sont amarrés au port de Boulogne, quai de l'Europe. Une escale méritée après une opération de déminage de douze jours au large de la baie de Somme. Bilan : quatre mines allemandes neutralisées.

Douze jours de mission (huit effectifs en raison des conditions météo), cinq navires mobilisés, deux cents membres d'équipage et « seulement » quatre mines repérées et détruites. On pourrait s'étonner de ce faible nombre d'engins explosifs neutralisés. « C'est vrai qu'on peut dire que nous n'avons trouvé que ça, concède le capitaine de corvette Guy Terryn, commandant de la flottille permanente de l'OTAN en guerre des mines.

Mais avec le temps, il y en a logiquement de moins en moins. Malgré tout, cela contribue à rendre la mer plus sûre. La difficulté réside aussi dans le fait que dans cette zone, il y a beaucoup de mouvements de fond. Avec les marées, un ensablement se fait progressivement et des mines apparaissent et disparaissent. » Un accident qui s'est produit en 2005 aux Pays-Bas faisant trois victimes (des marins-pêcheurs qui ont remonté une bombe dans leurs filets et qui a explosé) prouve, s'il en était besoin, l'importance de ces missions.

Les quatre engins explosifs qui ont été trouvés, à une trentaine de mètres de fond, sont des mines allemandes datant de la Seconde Guerre mondiale. D'une taille de 2,30 m, elles contenaient chacune près d'une tonne d'explosifs !

Une fois les mines ou bombes repérées grâce à des sonars, des plongeurs ou des caméras les identifient précisément avant qu'elles ne soient détruites, soit à l'aide de robots sous-marins qui les font exploser (photo ci-dessous) soit à l'aide de pains de plastique déposés par des plongeurs. Des opérations délicates car, même si « les mines ne sont pas dangereuses en tant que mines mais en tant qu'explosifs, précise le capitaine de corvette Guy Terryn, elles sont sensibles aux chocs et aux déplacements ». Lors des neutralisations, les explosions provoquent en mer des gerbes d'eau d'une cinquantaine de mètres.

Aujourd'hui dans le monde, la zone la plus touchée est la mer Baltique, massivement minée par la marine russe. L'OTAN prévoit encore une nouvelle opération de ce type l'an prochain, au large de nos côtes et de la baie de Somme.

Source : lavoixdunord.fr